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DERRIÈRE L'ECRAN
Valentin Kramer ft. Peter Stormare AGE: 63 ans NATIONALITÉ: Américaine (Texas) ORIENTATION SEXUELLE / SITUATION FAMILIALE: Hétéro, marié GROUPE: Les Scabreux ARMES DE PRÉDILECTION: Masse MÉTIER: Autrefois moonshiner (fait de la gnôle), il pratique toujours son art pour le groupe et aide dans les travaux manuel ainsi qu'à la défense du fort. La force : 25/25 L'intelligence: 10/25 L'agilité: 15/25 La ruse: 8/25 CARACTERE: Direct et peu charmant, la personnalité de Kramer pourrait se résumer à ‘’gros porc’’. C’est un homme avec peu d’hygiène qui n’hésitera pas à faire des remarques indésirables aux femmes, sans se soucier du fait qu’il soit marié depuis des années. Bien qu’il ait une dose d’humour, elle est souvent dénigrante et parfois sombre.
Peu instruit, on ne pourrait le décrire comme étant la plus grande lumière du monde. Il croit aux stéréotypes accordés aux genres, races et différentes nations de la terre comme si tout avait été classer par catégories.
Insouciant et peu empathique, il est capable de commettre des atrocités s’il le juge nécessaire ou utile. Malgré cela, certaines de ses valeurs sont respectables, ce qui le pousse parfois à se montrer serviable – même s’il faut admettre que sa générosité a pris un coup depuis la prison.
Histoire Vous serez peut-être surpris d’apprendre que Kramer fut l’aîné d’une famille riche et sophistiquée. Jouets à l’abondance, école privée, ses parents avaient tenté de tracer en vainc le chemin qui le conduirait jusqu’au succès. Dison que c’est à un jeune âge qu’il réalisa que le monde dans lequel il vivait était, pour lui, la plus grande des farces terrestres. Rebelle et insoumis, ses copains étaient des moins recommandables aux yeux de sa famille mais cette petite bande de junkies était un modèle beaucoup plus facile à suivre. Il est rapidement devenu la risée de sa famille, ce qui l’a poussé à abandonner l’école dès l’âge de seize ans pour emménager chez un copain. Loin d’être lâche pour autant, il a appris à travailler manuellement sans avoir à prétendre d’avoir peur de se salir. Allant au-delà du physique, il a également eu le plaisir de se salir les mains en touchant un peu à la vie criminelle.
Après trois ans de travail au noir, il a fait l’achat d’une roulotte sur le petit terrain où il s’est installé, en campagne. S’il s’était d’abord lancé dans la vente de drogues, il a quitté cette voie quelques années plus tard en décidant qu’il était temps pour lui d’abandonner la consommation pour ouvrir la porte à une femme. Pas qu’il n’avait jamais connu de femmes; les prostituées de la ville avoisinante se trimballaient entre chaque coin de rue mais Kramer voulait quelque chose de plus permanent... une famille, peut-être même des enfants. Bien qu’il n’ait pas la sagesse de reconnaître que son style de vie n’était pas très compatible à la vie familiale, il reconnaissait, au moins, que la consommation de drogues était un obstacle à abolir. Ainsi, il s’était plutôt lancé dans la fabrication et la vente de gnôle. Cherchant toujours son âme sœur, il s’était attaché à quelques femmes mais l’histoire continuait de se répéter : elles finissaient par appeler la police et il se voyait forcé de les laisser partir. Pas qu’il les enfermait dans son placard, il était plutôt du genre à les suivre un peu partout, d’insister sur des trucs plus ou moins chrétiens et les insulter si elles le rejetaient, ce genre de truc très charmant...
C’est en une belle journée d’été qu’il a fait la rencontre de sa femme. Il se baladait en camion dans les rues inondées de la ville et n’avait pas manqué de rire lorsqu’il aperçut le commerce de ses parents, engloutis sous plusieurs centimètres d’eau. Ah, oui, c’était un désastre qui encombrait plusieurs personnes mais il ne pouvait s’empêcher de penser que le karma avait finalement fait son œuvre. Distrait par le spectacle, il avait failli renverser une piétonne qui, à quelques centimètres plus profonds, aurait plutôt été nageuse. L’aidant à monté dans son camion pour la sortir de l’eau polluée, il avait ensuite appris qu’elle était itinérante et qu’elle n’avait nul part où aller, autre que dans les vagues. Honnêtement, il ne pensait pas grand-chose en l’invitant à séjourner chez lui; les gens de la rue étaient un peu comme sa nouvelle famille et il n’allait pas laisser mourir une sœur quand c’était si facile de lui tendre la main. Cependant, les choses ont rapidement changés et il n’a pas hésiter à utiliser la générosités de cette journée-là pour lui mettre des chaînes. Sans lui, elle n’était rien du tout et il s’est assurer qu’elle le sache.
Inutile de spécifier que Kramer était un homme difficile; s’il avait lâché la drogue, la boisson avait rempli ce vide et l’obsession malsaine qu’il exerçait auprès de sa femme devait certainement se faire sentir. Jalousie, contrôle et dénigrement; s’il n’a jamais eu à se montrer violent pour la garder sous son emprise, qui sait de quoi est capable un homme comme lui ? Malgré cela, elle était restée à ses coter et avait même donné naissance à leurs fils, quelques années plus tard.
S’il a toujours eu des problèmes avec les autorités, ce n’est que plusieurs années plus tard que les choses ont éclaté. Complètement ivre, il s’est présenté au poste de police pour y mettre le feu en douce avant de déguerpir au volant de son camion. Une fois chez lui, il s’était installé devant la télévision pour visionner un film comme si tous ses problèmes étaient bien loin derrière. Malheureusement, il n’allait même pas apprendre que l’incendie avait fait des morts avant que la police défonce sa porte. Des cris s’en étaient suivis, puis le décors du salon s’était soudainement assombri alors qu’un bruit sourd venu lui ciller aux oreilles. Les sanglots de sa femme l’avaient atteint, peut-être un peu moins près du cœur que la balle, mais ça avait tout de même suffi à lui faire réalisé qu’il avait fait une erreur. Cette nuit-là, il a visité l’enfer et si vous lui demandiez, il vous dira sans doute qu’il y est toujours en rigolant et se moquant complètement de ce qu’il a cru voir. Passant à un cheveu de la mort, c’est en prison qu’il a dut vivre son rétablissement.
Après plusieurs années passées sur l’île, la minuterie n’aurait pas pu arriver trop tôt. C’est avec plaisir qu’il y participa en tuant sauvagement le plus de gardes possible pour se forger une place bien méritée avec les Scabreux… De plus, l’apocalypse lui a permis de retrouver non seulement la liberté, mais également sa famille qui partie à sa recherche; il vous dira donc que c’est la meilleure chose qui soit arrivée.
Dernière édition par Valentin Kramer le Mar 4 Aoû - 2:13, édité 3 fois |
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Bruce Smith Expéditionnaire Messages : 1537
Localisation : Un peu partout
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| | Lun 3 Aoû - 2:41 | Ooooh le voilà ! L'époux de mon futur DC ! Un homme charmant et chaleureux. Rebienvenue sur le forum ! J'ai hâte de te rejoindre avec ta douce moitiée. |
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| | Lun 3 Aoû - 6:29 | Hey hey re bienvenue oh que j'ai hâte de lire et apprendre à connaître ce personnage. Chez les scabreux en plus évidemment on va sûrement se croiser hein!? On se recontacte * clin d'oeil clin d'oeil* |
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Ténèbrus Grimsditch THE Survivor Messages : 96
Localisation : A l'Hôtel, dans son bureau, surplombant les plages de Cancùn
| | Lun 3 Aoû - 8:33 | Bienvenue avec ce personnage là ! John Abruzzi !!!! |
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Katherine Lindley Expéditionnaire Messages : 150
Localisation : Sur la plage
| | Lun 3 Aoû - 11:33 | Re-Bienvenue Je sens que c'est le genre de personnage qu'il ne vaut mieux pas croiser J'ai hâte de lire ton histoire |
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Charlie Mc Ferley THE Survivor Messages : 673
Localisation : les ruines Maya
| | Lun 3 Aoû - 12:35 | Bienvenue ! Je pense qu'on aura un petit lien avec Lana, elle va trainer par chez vous bientot |
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| | Lun 3 Aoû - 13:44 | Rebienvenue avec cet homme si bien éduqué XD |
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Charlie Mc Ferley THE Survivor Messages : 673
Localisation : les ruines Maya
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