Le Deal du moment :
Funko POP! Jumbo One Piece Kaido Dragon Form : ...
Voir le deal

I've been called a lot of things, but never funny. (Silas Wilson)
Invité
Invité
avatar
Dim 30 Aoû - 18:47

Rusty mon chien et ma gueule



Avatar


DERRIÈRE L'ECRAN




Silas Wilson
ft. Clint Eastwood


AGE: 70, le 14 juillet 1950
NATIONALITÉ: Australienne et nouvel arrivant mexicain, mais Irlandaise à 100%
ORIENTATION SEXUELLE / SITUATION FAMILIALE: Veuf et je n’encule pas des citrouilles.
GROUPE: Survivant
ARMES DE PRÉDILECTION: Arme de poing, arme de précision et lames
MÉTIER: Vétéran de l'armée, fermier et gueulard professionnelle
La force : 10/25 (70 balais on est plus monsieur muscle, mais on réserve des surprises à la bleusaille)
L'intelligence: 25/25 (Je suis le plus vieux et je sais tout ferme ta gueule)
L'agilité: 10/25 (70 balais et mes os craquent quand je dois me bouger le cul donc...)
La ruse: 25/25 (Vétéran du Vietnam, longue carrière dans l'armée, le plus vieux des macaques des environs donc je sais bien des trucs sinon je te lance un de ces regard qui va te faire chier dans les culottes.)
Compétences notables :Tir précision, tir réflexe, corps à corps et technique de guérilla, survie, entretien moteur et bâtiment, explosif, agriculture et soins animaux, intimidation.


CARACTERE:

Silas a subi plusieurs chocs post-traumatiques de par son historique militaire sans faille, mais il a su les affronter avec la détermination et une volonté d’airain. Il dort très peu, de par ses épisodes de cauchemars chroniques et sa vieillesse, mais il affronte la réalité du mieux qu’il le peut. À savoir avec ironie, hargne et une attitude que le monde entier à pisser dans sa gamelle. La seule chose qui lui permet de garder un cœur sont ses gamins Mia et Liam et surtout celle qui considère comme sa fille adoptive. Sa cailín est sa fierté et le premier qui lui a fait du mal s’est retrouver avec les couilles coincé dans la gorge grâce au coup de pied du vieux soldat.

Il n’est pas fin psychologue et a parfois du mal à comprendre les réactions humaines, principalement féminines. Il est doté d’une autorité naturelle et mène ses troupes sans être trop être tyrannique. Mais en contrepartie les gens qui bafouent l’autorité sont malmenés par l’ancien récipiendaire de la Croix de Victoria. Il a une bonne opinion de lui-même et peut se montrer légèrement (beaucoup) orgueilleux. Mais il est aussi des plus courageux et honnête, Silas respecte les plus faibles et n’hésite pas à prendre leur défense. Il aime les personnalités sans travers ni vices, et ne supporte pas les mesquineries. Il est aussi assez humble, contrairement à ce que laissent penser sa carapace d’assurance et la force de son regard intimidant. Il possède un sens du devoir important et aime rendre service même si il grogne en le faisant.

Son souci de sécurité et sa peur du lendemain font de lui un travailleur méticuleux qui ne prend pas sa tâche à la légère. Le vieux briscard est exigeant et n’aime ni l’imprévu, ni perdre son temps. Il fera tout pour organiser sa vie de manière à ce qu’il n’y ait jamais de caillou dans l’engrenage. Ce trait de caractère limite ses ambitions : il aimerait voyager, découvrir de nouveaux horizons, mais il aime encore plus le confort de sa maison et ses habitudes rassurantes. Il est, de prime abord, très attaché à l’ordre et aux règles préétablies, il n’apprécie pas que quelque chose dénote ou sorte du cadre. En revanche, il peut se montrer très tolérant quand il s’agit de ses proches. Les liens sociaux et les amitiés que Silas s’autorise sont, en effet, très importants pour lui. L’Irlandais est indéniablement un conformiste. Respectueux des traditions et conventions, il manifeste toujours une certaine méfiance à l'égard de tout changement et de toute innovation. On l'entend souvent chanter les louanges du passé et déplorer la dégradation des mœurs d'aujourd'hui.

« Papy » déteste le mensonge, la duplicité et il semble réagir de manière violente et imprévisible quand il se sent berner. Sa tolérance est légendaire toutefois pour quelques rares individus. Son instinct de protection est très développé et il couvre du mieux qu'il le peut les gens sous sa garde. Bien entendu si cette personne venait à le trahir, le doute va submerger Silas et ce dernier va tenir une rancœur absolue et une animosité à son égard. Ce n'est jamais l'homme du changement ou des idées nouvelles. Il s'accroche à ses habitudes ancrées, à ses idées arrêtées une fois pour toutes. D'où sa tendance à se montrer exigeant, voire agressif lorsque quelqu'un conteste ou remet en question son comportement ou ses décisions. Il est véritablement une bête de travail. Rien ne peut l’éloigner de son train-train quotidien en fait. Fumeur et buveur de café irlandais, la fin du monde va seulement arriver pour lui au moment il va finir sa dernière clope. Alors là tout le continent va l'apprendre c'est sûr. Aussi sa dernière ambition, à part de retrouver les siens, c'est de tirer un coup. Quoi que de mieux de mourir après avoir pris son pied...

Silas est à l’image de son pays, un peu sec et vieillot. Mais comme la terre et les montagnes il est fait pour résister contre vent et marée. Malgré son âge, le vieil homme est une véritable force de la nature. Une crinière blanche comme le vieux lion qu’il est, une peau parcheminé mais encore robuste démontrant une vie de combat tous ardues. Des lèvres exsangues qui peuvent cracher son venin avec le débit d’une mitrailleuse lourde. Un nez un peu croche par des corps à corps et des traits taillé au burin. Une voix sèche, claquant comme un fouet et surtout autoritaire qui fait pisser les mâles alpha de tout acabit. Il est comme un épouvantail en fait, haut de terre, maigre mais sinistre quand on le fait chier. Un Tatouage de son ancienne unité au niveau biceps gauche et le prénom de sa Mary sur mon cœur. Des cicatrices d'impacts de balles et de shrapnels un peu partout gracieuseté de mon temps dans les 1 ATF, des cicatrices défensives sur mes avant-bras. Comme le vieux dit souvent : « On ne se faisait pas des mamours au Vietnam bordel de Dieu et de toutes ses lopettes de joueurs de harpes à la con. » Un passé de fumeur et à mâcher du tabac fait que le vieux croulant tousse souvent, crache même du sang à l’occasion.  Il a même subi une crise cardiaque mineure, un avertissement de son corps que l’homme s’en balance comme de son premier slip.

Son vieux funny hat du Vietnam, son vieux sac à dos de cet époque jumeler à sa baïonnette et son vieux colt 1911 à sa ceinture. Il possède son vieux pick-up Ford 1977« c’est de la vrai mécanique et pas une saloperie de voiture de bridé plein d’électronique de mon cul » et dans son râtelier à l’arrière il y a un vieux calibre 12 deux coups « gros sel pour ceux qui me font chier » et le M1903A4 Springfield de son tour au Vietnam « solide et viable pas comme les armes en plastiques qui crache plein de cartouches… Bordel moi une balle et c’est fini… ». Des vieilles jungles boots et un pantalon  de ville et une simple chemise de coton suffise à l’habiller. Pourquoi ressembler à Rambo et faire de nous une putain de cible?





Histoire

Dernier fils d’une famille irlandaise typique immigré en Australie dans les années 1900 tranquille. Donc quatre enfants, un père alcoolo fermier et une mère au foyer. Déjà les Wilson étaient connus du quartier comme des bagarreurs, des frères intimidants et revanchards qui ne cédaient aucun terrain. Étudiant plus que moyen, le jeune homme débrouillard quitta le nid familial pour s’engager dans les forces armées. Un endroit ou Silas sera logé, nourris et dont son caractère d’ours mal léché et de dur à cuir sera canonner à sa juste mesure. L’irlandais têtu avait réussi à mentir sur son âge, lui qui n’était qu’une grande asperge de 16 ans, pour un homme de 18 ans. Il ne visa rien de moins que le 1er groupement tactique australien (1 ATF). Il s’incorpora vie à la vie de bidasse, démontrant esprit combatif et d’initiative qui lui valut rapidement le grade de caporal. Très tôt il fut déployer au Vietnam (1968) et le briscard était déjà reconnu sur bien des théâtres d’opération pour sa résolution face au tir ennemi et surtout sa hargne rageuse pour remettre les idiots à leurs place. Début 1968 il fut déployé avec une section pour assister les forces Sud Vietnamienne engager dans une guerre d’usure contre « les éculés de pyjamas noirs ». Lui et quatorze hommes des alors tombèrent dans une embuscade au niveau de la colline 286. Une boucherie sanglante et une lutte pour la survie se déclara et au sommet de la colline se trouva des anciennes fortifications nipponne datant de la guerre du Pacifique. Déjà 7 hommes étaient tombés au champ d’honneur et le reste de la section avait son lot de blessures. Il ne restait que trois combattants Australiens qui pouvaient riposter à l’avancée des commandos de la mort. Silas combattit avec hargne, une volonté d’acier et surtout un entêtement digne du sang irlandais qui coulait dans ses veines. Ramassant la majorité des armes et explosifs, envoyant à l’arrière les deux hommes valides qui étaient toutefois salement amochés, Silas fit un dernier carré à lui seul en attendant que le spécialiste des communications puisse réparer le matos sévèrement endommagés. Le lendemain alors que les hélicoptères d’évacuations arrivèrent enfin, les hommes de bord découvrirent une trentaine de corps éparpiller tout autour des fortifications et le caporal Wilson lourdement blessé qui tenait avec résolution son poste de vigie solitaire. Alors fut né son surnom qui faisait trembler les bleusailles « Gunny Highway » car c’était toujours un aller simple vers la baston et le tir quand Silas était présent. Les survivants racontèrent la bravoure, la témérité et surtout les provocations imagés et salaces que l’irlandais hurlaient juste à plus voix. Il fut alors évacuer avec les autres blessés vers l’antenne médicale et ensuite un centre hospitalier à Sidney. Le commandant recommanda l’irlandais bagarreur pour la Croix de Victoria et le soldat s’en moqua comme de sa première clope. Déjà il revoyait sans cesse les visages de ses compagnons d’armes disparus et ceux des ennemies qu’il avait étripées dans ses songes.

Au milieu de sa descente aux enfers il rencontra son amour unique. Mary l’infirmière qui s’occupait du blessé. Une forte connexion s’installa, leurs cœurs s’accordèrent pour chanter la même mélodie et bientôt le couple se maria dans la petite église du quartier qui verra celui qui deviendra «Pitbull» ou « Gunny » Wilson devenir celui que tous connait. Ne voulant pas laisser son épouse derrière pour un nouveau déploiement à l’étranger, Silas devint instructeur dans l’armée et reçut plusieurs médailles. Des fois il devait aller sur le terrain avec les bleus et quand les balles sifflaient, il menait par l’exemple. Les années passèrent et bientôt la bravoure et les exploits de tête brûlée de l’irlandais furent connus de tous. Il eut deux jumeaux qui ne furent que déception par ses choix et bientôt quittèrent le nid familial pour fonder leur propre famille. Malheureusement Mary mourut laissant Silas dans un grand chagrin et une hargne envers tous les imbéciles et les crétins du monde. Car c’était l’un d’entre eux qui avait fauché l’amour de sa vie. Le conducteur était drogué et peu de temps après il disparut de la circulation. On ne put faire aucun lien entre cette disparition et Silas. L’irlandais était devenu une bête du travail. Passant des jours éveillés pour former les recrues. Un modèle de persévérance et surtout d’entêtement typiquement Irlandais. Mais l’attitude de vieil ours mal léché le préserva de bien des problèmes, mais deux personnes surgirent dans sa vie. Aria et Liam, les rejetons de ses bons à rien de fils. Grognant pour la cause, le vétéran les prit sous son aile et avec discipline et amour il en fit des gens respectables. Sa pension passa en partie pour financer les études de sa Sa cailín, sa fierté, et fut heureux de voir son gamin se débrouiller dans l’armée qu’il aimait tant. Silas était fier comme une putain de paon.

Lors que ces connards de zombies sont revenus d’entre les morts, Silas était peinard à la maison qu’il s’était acheter au Mexique car l’Australie lui rappelait trop sa Mary. Flattant le golden retriever qu’il avait donné à sa Mary, Rusty, il vit à la chaine de nouvelle le déferlement de violence. Comble du malheur une certaine agitation se dirigea vers la ferme de Pedro et la sienne. Grognant comme à son habitude, jurant entre ses dents, l’irlandais saisit son Springfield M1904A03, ses clopes, son holster dont reposait son vieux colt et son café irish pour aller s’assoir sur la galerie et faire sa vigie solitaire. Il éteignit sa radio, la cassant même pour avoir la paix. Il savait que les plus vulnérables de son patelin vivaient non loin et il ne voulait pas qu’on leur casse les pieds. Deux ombres chancelantes semblaient faire chier ses vaches et ils réussirent à en buter une. Ils la bouffèrent joyeusement justes au moment qu’ils virent le vieil homme se redresser en crachant dans l’herbe. La gueule menaçante de l’arme de précision, pas autan intimidante que l’ancien sergent en colère, se porta sur les types. Une simple sommation « Vous êtes dans ma ferme bandes de connards! Vous vous tirez d’ici vissa sinon je vous plombe le cul de cuivre. Vous allez gueuler vos mères si je vous attrape je vous le garantis. » Les zombies se levèrent et commencèrent à s’avancer vers le vétéran qui ne comprenait tout simplement pas pourquoi ils ne se pissaient pas dessus au lien de pisser un sang noirâtre d’une tonne de plaie. Premier tir à la jambe et le mort-vivant rampa sans éprouver de douleur. Deuxième tir dans le bide et encore rien. Commençant à s’énerver, le vieux tireur d’élite envoya une basto dans la tête. Le zombie bougea plus. Même remède pour le rampant. Provocateur l’irlandais hurla aux quatre vents. « Allez les enfoirés je suis ici! Je commence à m’amuser comme au Vietnam! J’ai une balle avec le nom de chacun des emmerdeurs qui va venir me faire chier…! »

Liam, devenu officier de police mexicaine après son retour de l’armée, arriva alors et le Silas embarqua le maximum de munitions, de clopes et aida l’adjoint à sauver les brebis égaré de la ville. Aria fut repêcher au passage et Papy ne put pas dire qu’il ne s’amusait pas. Il pouvait flinguer des connards qui le faisait chier et qui s’était transformer en cannibales. Mais bientôt il déchanta et dut faire face avec sa hargne et surtout sa persévérance de d’irlandais vétéran de trop de bastons. Les 3 Wilson furent le fer de lance pour retrouver des survivants et aider à les barricader. Mais comme d’habitude un connard n’a pas écouter et a ouvert le refuge aux zombies qui se fait un brunch bien sanglants.

Donc les voilà sur la route avec le vieux Pick-up et même Rusty le chien. Ils s’allièrent à un convoi et très vite le vieux briscard fut élever comme chef de groupe. Pas de tir au flanc et discipline. Presque un an à sillonner les routes, aider des survivants et faire du troc. Poudrer des zombies pour piller les habitations. Pour Silas, c’était munitions, clopes et café les priorités! Mais un faux appel à l’aide fut une embuscade par des putains de cannibales. Par chance Silas fut séparer et put faire de la guérilla pour harceler ceux qui détenait ses gamins. L'un des gamins de Silas put s’enfuir et ils se perdirent de vue. Mais Aria fut dévorer sous les yeux du vieil homme impuissan. De rage il alluma chaque rôdeurs et resta avec sa Fierté juste à la fin. Il l'abattit pour l'empêcher de revenir selon son souhait et il lui fit un cain ou personne n'ira jouer avec le corps de sa gamine. Le vieil ours parcourut les alentours pour le retrouver, mais rien. Pas même une trace. Exténuer le reste du convoi trouva refuge dans une ferme à flanc de montagne. Ils purent souffler et avec l’aide d’un autre fermier du groupe Silas pour démarrer une petite ferme avec quelques animaux rescapés et même un jardin. Mais le nom de Dieu de bordel de hasard du vieux cul fripé de l’irlandais décida d’agir et un tremblement de terre secoua le continent. Silas reçut littéralement la montagne sur la tronche, mais la chance des Irlandais semblait être encore avec lui. Il put sauver le pick-up, Rusty et de l’équipement et ainsi que des vivres. Mais les autres furent ensevelis et rajouter au compte des disparus… Seul quelques personnes purent s’en échapper…






Dernière édition par Silas Wilson le Lun 31 Aoû - 5:07, édité 1 fois
Invité
Invité
avatar
Dim 30 Aoû - 20:13
Bienvenue avec ce vieux lascar ! Very Happy
Invité
Invité
avatar
Dim 30 Aoû - 20:41
Bienvenue par ici cheers
On devrais penser à s'ouvrir un club d'age d'or  I've been called a lot of things, but never funny. (Silas Wilson) 1523722787
Invité
Invité
avatar
Dim 30 Aoû - 21:00
Yeah bienvenue 😄
Charlie Mc Ferley
THE Survivor
Charlie Mc Ferley
 I've been called a lot of things, but never funny. (Silas Wilson) Margot-robbie-est-harley-quinn
Messages : 673
Localisation : les ruines Maya
Dim 30 Aoû - 21:21
Bienvenue !
Invité
Invité
avatar
Lun 31 Aoû - 5:03
Silas Wilson a écrit:

Rusty mon chien et ma gueule



Avatar


DERRIÈRE L'ECRAN




Silas Wilson
ft. Clint Eastwood


AGE: 70, le 14 juillet 1950
NATIONALITÉ: Australienne et nouvel arrivant mexicain, mais Irlandaise à 100%
ORIENTATION SEXUELLE / SITUATION FAMILIALE: Veuf et je n’encule pas des citrouilles.
GROUPE: Survivant
ARMES DE PRÉDILECTION: Arme de poing, arme de précision et lames
MÉTIER: Vétéran de l'armée, fermier et gueulard professionnelle
La force : 10/25 (70 balais on est plus monsieur muscle, mais on réserve des surprises à la bleusaille)
L'intelligence: 25/25 (Je suis le plus vieux et je sais tout ferme ta gueule)
L'agilité: 10/25 (70 balais et mes os craquent quand je dois me bouger le cul donc...)
La ruse: 25/25 (Vétéran du Vietnam, longue carrière dans l'armée, le plus vieux des macaques des environs donc je sais bien des trucs sinon je te lance un de ces regard qui va te faire chier dans les culottes.)
Compétences notables :Tir précision, tir réflexe, corps à corps et technique de guérilla, survie, entretien moteur et bâtiment, explosif, agriculture et soins animaux, intimidation.


CARACTERE:

Silas a subi plusieurs chocs post-traumatiques de par son historique militaire sans faille, mais il a su les affronter avec la détermination et une volonté d’airain. Il dort très peu, de par ses épisodes de cauchemars chroniques et sa vieillesse, mais il affronte la réalité du mieux qu’il le peut. À savoir avec ironie, hargne et une attitude que le monde entier à pisser dans sa gamelle. La seule chose qui lui permet de garder un cœur sont ses gamins Mia et Liam et surtout celle qui considère comme sa fille adoptive. Sa cailín est sa fierté et le premier qui lui a fait du mal s’est retrouver avec les couilles coincé dans la gorge grâce au coup de pied du vieux soldat.

Il n’est pas fin psychologue et a parfois du mal à comprendre les réactions humaines, principalement féminines. Il est doté d’une autorité naturelle et mène ses troupes sans être trop être tyrannique. Mais en contrepartie les gens qui bafouent l’autorité sont malmenés par l’ancien récipiendaire de la Croix de Victoria. Il a une bonne opinion de lui-même et peut se montrer légèrement (beaucoup) orgueilleux. Mais il est aussi des plus courageux et honnête, Silas respecte les plus faibles et n’hésite pas à prendre leur défense. Il aime les personnalités sans travers ni vices, et ne supporte pas les mesquineries. Il est aussi assez humble, contrairement à ce que laissent penser sa carapace d’assurance et la force de son regard intimidant. Il possède un sens du devoir important et aime rendre service même si il grogne en le faisant.

Son souci de sécurité et sa peur du lendemain font de lui un travailleur méticuleux qui ne prend pas sa tâche à la légère. Le vieux briscard est exigeant et n’aime ni l’imprévu, ni perdre son temps. Il fera tout pour organiser sa vie de manière à ce qu’il n’y ait jamais de caillou dans l’engrenage. Ce trait de caractère limite ses ambitions : il aimerait voyager, découvrir de nouveaux horizons, mais il aime encore plus le confort de sa maison et ses habitudes rassurantes. Il est, de prime abord, très attaché à l’ordre et aux règles préétablies, il n’apprécie pas que quelque chose dénote ou sorte du cadre. En revanche, il peut se montrer très tolérant quand il s’agit de ses proches. Les liens sociaux et les amitiés que Silas s’autorise sont, en effet, très importants pour lui. L’Irlandais est indéniablement un conformiste. Respectueux des traditions et conventions, il manifeste toujours une certaine méfiance à l'égard de tout changement et de toute innovation. On l'entend souvent chanter les louanges du passé et déplorer la dégradation des mœurs d'aujourd'hui.

« Papy » déteste le mensonge, la duplicité et il semble réagir de manière violente et imprévisible quand il se sent berner. Sa tolérance est légendaire toutefois pour quelques rares individus. Son instinct de protection est très développé et il couvre du mieux qu'il le peut les gens sous sa garde. Bien entendu si cette personne venait à le trahir, le doute va submerger Silas et ce dernier va tenir une rancœur absolue et une animosité à son égard. Ce n'est jamais l'homme du changement ou des idées nouvelles. Il s'accroche à ses habitudes ancrées, à ses idées arrêtées une fois pour toutes. D'où sa tendance à se montrer exigeant, voire agressif lorsque quelqu'un conteste ou remet en question son comportement ou ses décisions. Il est véritablement une bête de travail. Rien ne peut l’éloigner de son train-train quotidien en fait. Fumeur et buveur de café irlandais, la fin du monde va seulement arriver pour lui au moment il va finir sa dernière clope. Alors là tout le continent va l'apprendre c'est sûr. Aussi sa dernière ambition, à part de retrouver les siens, c'est de tirer un coup. Quoi que de mieux de mourir après avoir pris son pied...

Silas est à l’image de son pays, un peu sec et vieillot. Mais comme la terre et les montagnes il est fait pour résister contre vent et marée. Malgré son âge, le vieil homme est une véritable force de la nature. Une crinière blanche comme le vieux lion qu’il est, une peau parcheminé mais encore robuste démontrant une vie de combat tous ardues. Des lèvres exsangues qui peuvent cracher son venin avec le débit d’une mitrailleuse lourde. Un nez un peu croche par des corps à corps et des traits taillé au burin. Une voix sèche, claquant comme un fouet et surtout autoritaire qui fait pisser les mâles alpha de tout acabit. Il est comme un épouvantail en fait, haut de terre, maigre mais sinistre quand on le fait chier. Un Tatouage de son ancienne unité au niveau biceps gauche et le prénom de sa Mary sur mon cœur. Des cicatrices d'impacts de balles et de shrapnels un peu partout gracieuseté de mon temps dans les 1 ATF, des cicatrices défensives sur mes avant-bras. Comme le vieux dit souvent : « On ne se faisait pas des mamours au Vietnam bordel de Dieu et de toutes ses lopettes de joueurs de harpes à la con. » Un passé de fumeur et à mâcher du tabac fait que le vieux croulant tousse souvent, crache même du sang à l’occasion.  Il a même subi une crise cardiaque mineure, un avertissement de son corps que l’homme s’en balance comme de son premier slip.

Son vieux funny hat du Vietnam, son sac à dos de cet époque jumeler à sa baïonnette et son vieux colt 1911 à sa ceinture. Il possède son vieux pick-up Ford 1977« c’est de la vrai mécanique et pas une saloperie de voiture de bridé plein d’électronique de mon cul » et dans son râtelier à l’arrière il y a un vieux calibre 12 deux coups « gros sel pour ceux qui me font chier » et le M1903A4 Springfield de son tour au Vietnam « solide et viable pas comme les armes en plastiques qui crache plein de cartouches… Bordel moi une balle et c’est fini… ». Des vieilles jungles boots et un pantalon  de ville et une simple chemise de coton suffise à l’habiller. Pourquoi ressembler à Rambo et faire de nous une putain de cible?





Histoire

Dernier fils d’une famille irlandaise typique  immigré en Australie dans les années 1900 tranquille. Donc quatre enfants, un père alcoolo fermier et une mère au foyer. Déjà les Wilson étaient connus du quartier comme des bagarreurs, des frères intimidants et revanchards qui ne cédaient aucun terrain. Étudiant plus que moyen, le jeune homme débrouillard quitta le nid familial pour s’engager dans les forces armées. Un endroit ou Silas sera logé, nourris et dont son caractère d’ours mal léché et de dur à cuir sera canonner à sa juste mesure. L’irlandais têtu avait réussi à mentir sur son âge, lui qui n’était qu’une grande asperge de 16 ans, pour un homme de 18 ans. Il ne visa rien de moins que le 1er groupement tactique australien (1 ATF). Il s’incorpora vie à la vie de bidasse, démontrant esprit combatif et d’initiative qui lui valut rapidement le grade de caporal.  Très tôt il fut déployer au Vietnam (1968) et le briscard était déjà reconnu sur bien des théâtres d’opération pour sa résolution face au tir ennemi et surtout sa hargne rageuse pour remettre les idiots à leurs place. Début 1968 il fut déployé avec une section pour assister les forces Sud Vietnamienne engager dans une guerre d’usure contre « les éculés de pyjamas noirs ». Lui et quatorze hommes des alors tombèrent dans une embuscade au niveau de la colline 286. Une boucherie sanglante et une lutte pour la survie se déclara et au sommet de la colline se trouva des anciennes fortifications nipponne datant de la guerre du Pacifique. Déjà 7 hommes étaient tombés au champ d’honneur et le reste de la section avait son lot de blessures. Il ne restait que trois combattants Australiens qui pouvaient riposter à l’avancée des commandos de la mort. Silas combattit avec hargne, une volonté d’acier et surtout un entêtement digne du sang irlandais qui coulait dans ses veines. Ramassant la majorité des armes et explosifs, envoyant à l’arrière les deux hommes valides qui étaient toutefois salement amochés, Silas fit un dernier carré à lui seul en attendant que le spécialiste des communications puisse réparer le matos sévèrement endommagés. Le lendemain alors que les hélicoptères d’évacuations arrivèrent enfin, les hommes de bord découvrirent une trentaine de corps éparpiller tout autour des fortifications et le caporal Wilson lourdement blessé qui tenait avec résolution son poste de vigie solitaire. Alors fut né son surnom qui faisait trembler les bleusailles « Gunny Highway » car c’était toujours un aller simple vers la baston et le tir quand Silas était présent. Les survivants racontèrent la bravoure, la témérité et surtout les provocations imagés et salaces que l’irlandais hurlaient juste à plus voix.  Il fut alors évacuer avec les autres blessés vers l’antenne médicale et ensuite un centre hospitalier à Sidney. Le commandant recommanda l’irlandais bagarreur pour la Croix de Victoria et le soldat s’en moqua comme de sa première clope. Déjà il revoyait sans cesse les visages de ses compagnons d’armes disparus et ceux des ennemies qu’il avait étripées dans ses songes.

Au milieu de sa descente aux enfers il rencontra son amour unique. Mary l’infirmière qui s’occupait du blessé. Une forte connexion s’installa, leurs cœurs s’accordèrent pour chanter la même mélodie et bientôt le couple se maria dans la petite église du quartier qui verra celui qui deviendra «Pitbull»  ou « Gunny » Wilson devenir celui que tous connait. Ne voulant pas laisser son épouse derrière pour un nouveau déploiement à l’étranger, Silas devint instructeur dans l’armée et reçut plusieurs médailles. Des fois il devait aller sur le terrain avec les bleus et quand les balles sifflaient, il menait par l’exemple. Les années passèrent et bientôt la bravoure et les exploits de tête brûlée de l’irlandais furent connus de tous. Il eut deux jumeaux qui ne furent que déception par ses choix et bientôt quittèrent le nid familial pour fonder leur propre famille. Malheureusement Mary mourut laissant Silas dans un grand chagrin et une hargne envers tous les imbéciles et les crétins du monde. Car c’était l’un d’entre eux qui avait fauché l’amour de sa vie. Le conducteur était drogué et peu de temps après il disparut de la circulation. On ne put faire aucun lien entre cette disparition et Silas. L’irlandais était devenu une bête du travail. Passant des jours éveillés pour former les recrues. Un modèle de persévérance et surtout d’entêtement typiquement Irlandais.  Mais l’attitude de vieil ours mal léché le préserva de bien des problèmes, mais deux personnes surgirent dans sa vie. Aria et Liam, les rejetons de ses bons à rien de fils. Grognant pour la cause, le vétéran les prit sous son aile et avec discipline et amour il en fit des gens respectables. Sa pension passa en partie pour financer les études de sa Sa cailín, sa fierté, et fut heureux de voir son gamin se débrouiller dans l’armée qu’il aimait tant. Silas était fier comme une putain de paon.

Lors que ces connards de zombies sont revenus d’entre les morts, Silas était peinard à la maison qu’il s’était acheter au Mexique car l’Australie lui rappelait trop sa Mary. Flattant le golden retriever qu’il avait donné à sa Mary, Rusty, il vit à la chaine de nouvelle le déferlement de violence. Comble du malheur une certaine agitation se dirigea vers la ferme de Pedro et la sienne. Grognant  comme à son habitude, jurant entre ses dents, l’irlandais saisit son Springfield M1904A03, ses clopes, son holster dont reposait son vieux colt et son café irish pour aller s’assoir sur la galerie et faire sa vigie solitaire. Il éteignit sa radio, la cassant même pour avoir la paix. Il savait que les plus vulnérables de son patelin vivaient non loin et il ne voulait pas qu’on leur casse les pieds.  Deux ombres chancelantes semblaient faire chier ses vaches et ils réussirent à en buter une. Ils la bouffèrent joyeusement justes au moment qu’ils virent le vieil homme se redresser en crachant dans l’herbe. La gueule menaçante de l’arme de précision, pas autan intimidante que l’ancien sergent en colère, se porta sur les types. Une simple sommation « Vous êtes dans  ma ferme bandes de connards! Vous vous tirez d’ici vissa sinon je vous plombe le cul de cuivre. Vous allez gueuler vos mères si je vous attrape je vous le garantis. » Les zombies se levèrent et commencèrent à s’avancer vers le vétéran qui ne comprenait tout simplement pas pourquoi ils ne se pissaient pas dessus au lien de pisser un sang noirâtre d’une tonne de plaie. Premier tir à la jambe et le mort-vivant rampa sans éprouver de douleur. Deuxième tir dans le bide et encore rien. Commençant à s’énerver, le vieux tireur d’élite envoya une basto dans la tête. Le zombie bougea plus. Même remède pour le rampant.  Provocateur l’irlandais hurla aux quatre vents. « Allez les enfoirés je suis ici! Je commence à m’amuser comme au Vietnam! J’ai une balle avec le nom de chacun des emmerdeurs qui va venir me faire chier…! »

Liam, devenu officier de police mexicaine après son retour de l’armée,  arriva alors et le Silas embarqua le maximum de munitions, de clopes et aida l’adjoint à sauver les brebis égaré de la ville. Aria fut repêcher au passage et Papy ne put pas dire qu’il ne s’amusait pas. Il pouvait flinguer des connards qui le faisait chier et qui s’était transformer en cannibales. Mais bientôt il déchanta et dut faire face avec sa hargne et surtout sa persévérance de d’irlandais vétéran de trop de bastons. Les 3 Wilson furent le fer de lance pour retrouver des survivants et aider à les barricader. Mais comme d’habitude un connard n’a pas écouter et a ouvert le refuge aux zombies qui se fait un brunch bien sanglants.

Donc les voilà sur la route avec le vieux Pick-up et même Rusty le chien.  Ils s’allièrent à un convoi et très vite le vieux briscard fut élever comme chef de groupe. Pas de tir au flanc et discipline. Presque un an à sillonner les routes, aider des survivants et faire du troc. Poudrer des zombies pour piller les habitations. Pour Silas, c’était munitions, clopes et café les priorités! Mais un faux appel à l’aide fut une embuscade par des putains de cannibales. Par chance Silas fut séparer et put faire de la guérilla pour harceler ceux qui détenait ses gamins. L'un des gamins de Silas put s’enfuir et ils se perdirent de vue.  Mais Aria fut dévorer sous les yeux du vieil homme impuissan. De rage il alluma chaque rôdeurs et resta avec sa Fierté juste à la fin. Il l'abattit pour l'empêcher de revenir selon son souhait et il lui fit un cain ou personne n'ira jouer avec le corps de sa gamine. Le vieil ours parcourut les alentours pour le retrouver, mais rien. Pas même une trace. Exténuer le reste du convoi trouva refuge dans une ferme à flanc de montagne. Ils purent souffler et avec l’aide d’un autre fermier du groupe Silas pour démarrer une petite ferme avec quelques animaux rescapés et même un jardin. Mais le nom de Dieu de bordel de hasard du vieux cul fripé de l’irlandais décida d’agir et un tremblement de terre secoua le continent. Silas reçut littéralement la montagne sur la tronche, mais la chance des Irlandais semblait être encore avec lui. Il put sauver le pick-up, Rusty et de l’équipement et ainsi que des vivres. Mais les autres furent ensevelis et rajouter au compte des disparus… Seul quelques personnes purent s’en échapper…




Invité
Invité
avatar
Lun 31 Aoû - 5:05
Voici la copie finale les jeunôts. Merci pour l'acceuil!
Charlie Mc Ferley
THE Survivor
Charlie Mc Ferley
 I've been called a lot of things, but never funny. (Silas Wilson) Margot-robbie-est-harley-quinn
Messages : 673
Localisation : les ruines Maya
Lun 31 Aoû - 11:08

Validation

 I've been called a lot of things, but never funny. (Silas Wilson) Q78w

Félicitations !


Tu as gagné le droit de mourir...

Bienvenue dans l'aventure The Last Day of our Lives ! J'aime beaucoup ton personnage Very Happy

Félicitations, tu es accepté dans ce monde apocalyptique. Est-ce une bonne chose ? On te souhaite bien du courage !

Tu peux à présent aller dans les divers lieux que The Last Day te propose. N’oublie pas de te méfier de tout le monde, après tout, la base des survivants vient de l’Île, une prison regroupant les personnes de la pire espèce qui seront surement plus un danger que les rodeurs eux même.

Mais avant de te lancer corps et âme dans l’aventure, nous te demandons juste un léger petit détour ! Il y a quelques endroits par lesquels il faut que tu passes avant de ne peut-être jamais revenir de tes expéditions dans les décors paradisiaques de Cancùn.

Il te faudra :
- recense ton avatar ici
- inscris toi dans l’organigramme de ton groupe là
- tes liens sont importants et peuvent être ici ainsi que tes sujets


Bien évidement, tu peux aussi profiter de la fiche de réponse de The Last Day, elle se mettra à jour à chaque changement de design.

Amuse toi bien parmi nous, et n’hésites pas si tu as des questions !

C'est bon ? Tu es prêt(e) ?! Alors jette-toi dans l'arène !
Halloween
 I've been called a lot of things, but never funny. (Silas Wilson) Ok0u I've been called a lot of things, but never funny. (Silas Wilson) Xrq6
Invité
Invité
avatar
Lun 31 Aoû - 12:09
Bienvenu parmi nous :coeur : Contente de te voir parmi nous avec ce personnage détonant  I've been called a lot of things, but never funny. (Silas Wilson) 1572720090
Invité
Invité
avatar
Mar 1 Sep - 0:02
Yesss bienvenue old man!!!
Contenu sponsorisé
Aller à la page : 1, 2  Suivant

Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum