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Arielle Campbell |TERMINÉ]
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Sam 10 Oct - 23:18

Mitan



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DERRIÈRE L'ECRAN




Arielle Campbell
ft. Deborah Ann Woll


AGE: 30 ans
NATIONALITÉ: Américaine
ORIENTATION SEXUELLE / SITUATION FAMILIALE: Hétérosexuelle/ célibataire
GROUPE: Mitan
ARMES DE PRÉDILECTION: une faucille
MÉTIER: Vétérinaire
La force : 15/25
L'intelligence: 20/25
L'agilité: 18/25
La ruse: 17/25


CARACTERE:

Arielle est l'archétype de la femme qui a changée, qui s'est transformée avec les événements. Autrefois douce et gentille, la demoiselle, avait le cœur sur la main. D'un naturel doux, elle aidait au mieux ceux qu'elle pouvait, la générosité était son let-motive. Naïve dans l'âme, elle croit que le monde est bon naturellement, que tout le monde peut être gentil, faire le bien autour de soit. Elle a de l'autorité, une certaine sévérité envers ses sœurs qu'elle protège, qu'elle materne bien plus qu'elle ne le devrait parfois.
Et puis, le monde à changer. La mort est venue et elle a appris, elle a changer. Ne plus faire confiance, laisser mourir ceux qui ne sont pas de la famille si cela implique de mettre en danger la famille, faire ce qu'il faut pour la sécurité de ceux qu'elle aime. C'est une femme brisée qui tente de se reconstruire, d'apprendre à survivre dans ce monde qui est le notre aujourd'hui. Elle n'offre plus sa confiance, vois le mal presque partout, mais au final, elle reste une gentille fille qui aidera quand elle peut. On ne peut pas totalement se transformer. Quelques petites choses en plus sur la jolie demoiselle :

Aime faire les boutique ♠ Adore les marshmallow ♠ Est très coquette ♠ Déteste ceux qui se vante ♠ Aime plus que tout sa soeur ♠ N'aime pas les dragueurs lourd. ♠ Est allergique aux brocolis ♠ Adore feuilleté des tabloids ♠ Garde dans son sac ses livres préférés ♠ Est très pragmatique ♠ A un petit tatouage en forme de patte de chat de sur la hanche gauche



Histoire

je flotte, je nage, me blottissant contre moi même dans ces eaux sombres et tumultueuses qui font mon monde. Qui suis je, Ou suis je, je n'en ai la moindre idée. Je suis prisonnière d'un monde de sang et de chair, dont une femme  à la voix douce est la geôlière. Le temps s’écoule et offre temps à ma métamorphose. Montagne de chair bosselé je crois chaque jour un peu plus, prenant forme et vie , délaissant petit à petit cette âme noire qui dors à mes pieds, prête à me happer en son univers avant même ma venue en ce monde. Ma métamorphose pris en tout neuf mois. Neuf long mois prisonnière de ce monde, soit deux cent soixante douze jours, huit heures, trente et une minutes et douze secondes après ma conception, une tempête éclatât en ce lieu, les eaux bouillantes s'agitaient en tout sens, me heurtant, me submergeant comme si elles tentait de me noyer, je me sentait aspirer, attirer par une force plus puissante que moi qui me fit choir dans une allée qui me déchirer la peau, m’écorcher me brutalisé, jusqu'à me laisser entre les mains d'un démon  qui m'extirpant de mon lieu d'habitat introduit une pipette entre mes lèvres insufflant en mon corps le premier souffle qui décolla mes poumons brûlant de douleur, me laissant pousser mon premier cris, mon premier pleurs. Je venais de naître en ce monde dont je verrais la chute. Ma mère me nomma... Arielle.

Les années passèrent avec rapidité, emmenant mes premières années en son sillage, j'appris rapidement à prononcer mon nom et différents mots utile à mes demandes. Mes jambes rondelettes apprirent à porter mon poids et le monde semblait m'appartenir en cet instant. J'étais la fille d'un pasteur et d'une décoratrice d'intérieur. Je sais que ces personnes étaient aimantes et attentionnées envers moi. Elle m'offrirent tout ce qu'ils pouvaient pour mon bonheur, riant de mes cheveux naissant et de leurs couleur identique à celle de ma mère. Je serai belle selon mon père, je serai douce selon ma mère. Je ne comprenait rien à tout cela, si ce n'était que mes sourires les rendez heureux, alors je souriais autant que je le pouvais. Mais l'état de Bambin ne dure que peu de temps et déjà j'atteignais l'age ou salopette bleu et couette à nœud rose, l'on m'emmenait en cet endroit que l'on appelait école. Je me souviens de ma surprise en voyant tant d'enfants avec lesquels jouer. Bien sur j'avais déjà vu des enfants au parc, mais autant en un même lieu, je ne m'en souviens pas. Il ne fallut pas plus de deux minutes pour qu'une bande de fillettes m'attire vers elles afin de participer à leurs jeux et que je m'en fasse des amies qui pour mon age me semblait être pour la vie. Ce fut en cette première année d'école que le ventre de ma mère s’arrondir de nouveau, me laissant présager l'arrivée d'un frère ou d'une sœur. Ô le nombre de  dessin animés et de film ou je voyais des frères et sœurs, le coté protecteur du plus grand, la fierté des parents. Je n'avais que quatre ans et pourtant je voulais être la meilleure des grandes sœurs, celle vers qui cet enfant à naître se tournerait sa vie durant pour chercher une oreille attentive et un cœur protecteur. Ce fut une sœur que j’eus et le jour ou mon père m'amena à la maternité afin de la rencontrer je fustigeais celui ci de bien me présenter à elle comme sa grande sœur, elle devais savoir qu'elle avait quelqu'un pour la protéger. Il en fut ainsi pour chacune de mes sœurs à naître par la suite...

Lorsqu'agée de quinze ans j'entrais au lycée, j'étais l'aînée d'une fratrie de six jolie jeune fille aux cheveux tantôt roux, tantôt blond, mais aux sourires candides et innocent qui vous mettez de bonne humeur à simplement les voir. Jeune fille assez populaire à l'école pour mon apparence et ma gentillesse, j'étais comme je l'avais souhaité une grande sœur à toute épreuve, qui malgré quelques prises de bec avec mes cadettes de temps à autres, les avaient toujours protégées et écouter du mieux que je pue. Mais lorsque l'on a quinze ans, malgré nos souhait d'enfant l'on veux être adulte. Porter de beaux vêtements, se maquiller, porter une robe qui ferai de vous la reine d'une soirée de fête et plaire aux garçons. Les trois années que je passais en ce lycée furent donc pour moi les plus belle de ma vie. Appréciée de nombreux garçon et membre des pom pom girl du lycée j'avais tout pour plaire, j'étais populaire, jeune, jolie, avait un petit ami membre de l'équipe de basket  et bonne élève. Le rêve américain tel qu'on le voit dans ces films ou ces séries l’après midi . Mes sœurs prenaient exemple sur moi, cherchaient à me ressembler, Faith, la petite dernière s'est même teint les cheveux à l'aide de jus de carotte et passé ma tenue de pompom girl pour être mon sosie. Ce qui attisa de violent fous rires dans la famille et beaucoup de photos. A la sortie de notre promotion, je devint reine de notre bal dans ma merveilleuse robe bleu vert et observer l'une de mes amies prononcer le discours de remise des diplômes avant que titulaire de celui ci nous jetions tous notre chapeau en l'air heureux d'avoir passé cette étape de vie, prêt pour l'université, le travail ou tout autre chose que devait nous amener la vie d'adulte.
Les études m'amenèrent au monde vétérinaire, passionnée par les animaux et grand cœur sensible envers tous les petits être, j'avais décidée de se joindre à l'école Vétérinaire d'Atlanta afin de poursuivre mes études et devenir l'un de ces vétérinaires de campagne qui soignerai chevaux et vaches. Mon diplôme obtenu avec succès, je savais que ma voie était la bonne. J'avais tout pour plaire, tout pour réussir. J'avais mon propre appartement, mon emploi, ma voiture, ma vie et un petit ami doux et aimant. Qu’aurai je pue rêver de mieux qu'une vie aussi douce ? Mais la vie est faite de ces changements qui ne permettent pas la douceur.

Tout avait commencé en juin deux mille vingt. Il y avait eu cette histoire d'épidémie étrange, la prise de mesures sanitaires, le confinement partiel. Un virus qui allait disparaître rapidement. Probablement même ce qu'ils avaient cru et continuez de croire durant un certain temps. Les choses avaient pourtant bien vite dégénérés. En quelques semaines seulement l'hôpital qui avait accueilli l'homme blessé n'était plus et la ville en quarantaine. Les souvenirs de ces reportage parlant d'un accident dans une usine avait fait le tour du pays. Quel drôle d'accident d'usine que celui qui fait se relever les défunts pour attaquer les vivants, cherchant  à se repaître de leur chair pour continuer d'errer en ce monde.
Malheureusement leur tentative de quarantaine n'a pu tenir.  Il devait forcément y avoir des trous dans la faille, entre les personnes cherchant à sauver leur proches et ceux parvenant à fuir avant la quarantaine, le virus mortel avait bientôt pris le pays, le continent et assez rapidement le monde. Cela n'était au départ qu'une rumeur lointaine, quelques petites villes qui parlait d'incident, d'attaque de bande de jeunes casseur. Nous avions mis cela sur le compte d'une recrudescence de la violence dans les campagnes. Si seulement nous avions su.
En quelques semaines à peine l'état d'urgence était déclaré dans le pays tout entier et le vandalisme commençait à prendre la part belle. Mes parents firent quelques sorties afin de récupérer de quoi survivre, des conserves, de l'eau, des couvertures...des armes.

Nous qui n'avions jamais eu d'arme à la maison nous nous retrouvions soudain avec deux pistolets et des outils de jardinage incroyablement aiguisés. J'étais pour l'occasion retourné vivre chez mes parents, cela les rassurés et ne me dérangeait pas plus que cela, c'était toujours mieux que d'aller se calfeutrer dans les grands villes. Idée incroyablement stupide quand on veut éviter une pandémie que de regrouper tout le monde au même endroit. Mais le temps passa et bien vite l'on appris par la radio que la ville était attaqué par des personnes atteinte de folie qui emplissait rapidement les rues. Sortir était devenue une épreuve. Nous avions dû fortifier la maison, nous cachant à la cave chaque nuit, ajoutant verrou et système de fermeture à la porte de celle ci au cas ou des pillards ou...ces choses viendraient à entrer chez nous.  Oui car si nous avions eu quelques réticence à le croire sur le début, nous étions parfaitement au fait de ces cadavres ambulant revenant des enfers pour dévorer les vivants. Nous avions vu de nos propres yeux notre voisine Miss Mitelmann une vieille dame sortant ses poubelles se faire attaquer par un de ces démons qui lui arracha la gorge de ses dents, nous laissant totalement coït à notre fenêtre, surtout lorsqu'il vint à lui arracher les chair, dévorant son corps meurtri par les années avant de suivre on ne sais quelle idée, laissant alors le corps de cette pauvre vieille dame se relever, les viscères glissant sur sa robe à fleur alors qu'elle avançait à la suite de ce démon.

Nous sommes parvenue à tenir deux, trois semaines tous ensemble avant d'avoir besoin de quitter la maison pour nous ravitailler. Nos parents partirent ensemble, me laissant mes sœurs à charge... bien que nous étions toutes en âge de prendre soin de nous même. Nous les attendîmes neuf jours, mais ne les avons jamais revu. Devant me résoudre à l'idée qu'ils ne reviendraient jamais, je pris sur moi de faire faire leurs sacs aux filles et les emmenaient avec ma voiture personnelle aussi loin que possible, devant demander à Blanche de faire baisser la tète aux plus jeune lorsque nous passions prêt de créatures ou de personnes nous implorant de l'aide tandis que nous roulions sans même un regard pour eux. Nous n'avions plus rien, ni famille, ni amis, nous avions vu nos camarades, nos professeurs, nos voisins,petits amis, mort démantibulés  grognant à notre encontre, laissant couler les larmes à nos yeux....

Nous avons su parcourir environ  cent kilomètre, espérant trouver un camp de survie militaire, du gouvernement, quelque chose qui nous permettrez de survivre plus longtemps, mais qu'importe ou nous passion, la mort était de partout.  Les grandes villes étaient tombés et nos vivres diminuer bien vite. Un petit raid dans un magasin nous permit de nous réapprovisionner quelque peu, mais coûta une vilaine morsure à ma sœur. Si seulement j'avais su qu'une simple morsure aller coûter la vie de deux de mes sœurs... Blanche mourut dans la nuit, se réveillant peu après. Ce furent les cris de Caitlinn qui m’éveillèrent alors qu'elle avait aperçu notre sœur arrachant la gorge de Dinah. Je dut les achever toutes les deux a l'aide d'une hache. Traumatisant les survivantes et perdant une partie de mon âme et de mon cœur dans l'action. De ce jour, je me jurais de ne plus laisser mes sœurs approcher des lieux dangereux, nous réapprovisionnant par moi même, manquant de mourir ou de me faire mordre plusieurs fois. Les temps furent dure, nous devions dormir de ci de là, dans des maisons abandonnés, nous enfermant dans les grenier, là ou nous étions sur que les morts ne nous atteindraient pas. Puis ce groupe de survivant qui nous accueillis avec gentillesse, nous offrit de la nourriture, une certaine sécurité.  Le temps semblât passé, lentement, nous étions un groupe, nous étions donc en sécurité et pouvions de temps à autres prendre repos. Malheureusement, à trop se reposer on en oubli le danger et ce fut lors d'une attaque que la majorité du groupe mourut dans les cris et le sang. Sur mes trois sœurs survivantes, je ne sue en sauver qu'une, les deux autres succombant respectivement aux démons et à une balle perdue. Il ne restait donc plus que Faith et moi, les survivantes de la famille. Il nous faudrait ruser pour continuer de survivre, trouver un nouvel abris, penser les plaies qu'on occasionnés la mort de nos familles et amis, mais nous survivrons malgré tout cela. La route nous attend ici, nous sommes deux, marchant à la dérive d'un monde en feu, n'attendant que de pouvoir nous dévorer. Survivrons nous à notre marche ? Trouverons nous un nouveau groupe ? Qui sais...
Les mois passèrent, la survie devint de plus en plus difficile. Nous ne croisions que peu de survivants, mais tentons au mieux de les éviter de crainte de nous faire attaquer, voler, tuer. Pourtant, nous n'étions pas avares d'aide et quand une personne était en besoin, nous l'aidions, du moins si j'en jugeais l'intérêt. Nous avons ainsi offert un peu d'eau à une femme et sa fille qui tentaient de survivre, une aide dans la récupération de vivre pour un jeune homme qui avait, semble-t-il, plusieurs personnes à sa charge dans un camp plus loin. Nous rejoignions des camps ainsi pour quelques heures ou une journée, ne dormant que d'un œil, inquiet à l'idée d'une attaque, d'un viol, d'un meurtre pour nos ressources et, finalement rien de tout cela n'est arrivé.
Ma sœur et moi avons ainsi passé plusieurs mois à errer dans les environs de la Georgie, dont plusieurs dans une petite ville quasiment déserte de tout rôdeur ou nous avons pu prendre un peu de repos, mais comme toujours le monde cherche à nous mettre à l'épreuve, nous avons dû fuir en voyant au loin l'arriver de ce qui nous semblait être une horde de pourries comme aime à les appeler ma sœur. La marche reprit ainsi, la fuite plutôt pour notre survie, pour le souvenir de notre famille disparue et, finalement, nous trouvâmes ce bateau, l'homme à bord avait l'air gentil et acceptait de nous emmener, de nous sauver. Il disait connaître un lieu excempt de toute attaque zombie. Je l'ai crue, naïve que je suis. Je n'aurais pas dû, car les semaines que nous avons passé sur le bateaux furent l'enfer sur Terre. L'homme et ses amis m'ont fait une proposition que je dû accepter. Me laisser faire ou ils s'occuperaient de ma sœur de quinze ans. Alors durant trois semaines je suis devenu un objet, passant de mains en mains, jusqu'à ce qu'on accoste au mexique. C'était l'occasion rêvée pour buter quelques un de ces enfoirés et une fois le passage libre, certains morts, d'autres en expédition, nous avons fuis, Faith et moi. Nous fûmes accueillis par un groupe de personnes plutôt sympathique qui nous offrit asile, nourriture eau. Nous avons dû parler longtemps avec eux avant d'accepter de rester, au départ pour un test, mais pourrais je réellement les quitter alors qu'ils apportent sécurité à ma sœur ? Qu'importe ce qui m'arrive, Faith doit survivre !






Dernière édition par Arielle Campbell le Dim 11 Oct - 13:29, édité 2 fois
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Bienvenue a toi Very Happy
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Arielle Campbell |TERMINÉ] 200
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Bienvenue à toi... je ne suis pas un dragueur lourd mais bien un poids santé !!!
Nate Keller
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Bienvenue gente dame !
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Bienvenue Arielle Campbell |TERMINÉ] 2559752766
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Dim 11 Oct - 23:07

Validation

Arielle Campbell |TERMINÉ] Q78w

Félicitations !


Tu as gagné le droit de mourir...

Bienvenue dans l'aventure The Last Day of our Lives !

Félicitations, tu es accepté dans ce monde apocalyptique. Est-ce une bonne chose ? On te souhaite bien du courage !

Tu peux à présent aller dans les divers lieux que The Last Day te propose. N’oublie pas de te méfier de tout le monde, après tout, la base des survivants vient de l’Île, une prison regroupant les personnes de la pire espèce qui seront surement plus un danger que les rodeurs eux même.

Mais avant de te lancer corps et âme dans l’aventure, nous te demandons juste un léger petit détour ! Il y a quelques endroits par lesquels il faut que tu passes avant de ne peut-être jamais revenir de tes expéditions dans les décors paradisiaques de Cancùn.

Il te faudra :
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- tes liens sont importants et peuvent être ici ainsi que tes sujets


Bien évidement, tu peux aussi profiter de la fiche de réponse de The Last Day, elle se mettra à jour à chaque changement de design.

Amuse toi bien parmi nous, et n’hésites pas si tu as des questions !

C'est bon ? Tu es prêt(e) ?! Alors jette-toi dans l'arène !
Halloween
Arielle Campbell |TERMINÉ] Ok0uArielle Campbell |TERMINÉ] Xrq6
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Bienvenue sur le forum Very Happy
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Lun 12 Oct - 17:31
Bienvenu et amuse-toi bien parmi nous Arielle Campbell |TERMINÉ] 3103673002
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