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Don't worry be happy... (Scarlett Bullock )
Bruce Smith
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Bruce Smith
Don't worry be happy... (Scarlett Bullock ) 200
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Mer 28 Avr - 12:38
Don't worry be happy
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Bon c’est le temps de faire une petite tournée  d’inspection autour de la baraque qui me sert de refuge pour la nuit. Putain que je me sens pris dans une routine et je commence à virer fou à faire juste les même activités. Sortir m’amuser à taper du zombie, essayer de trouver de la bouffe et chanter à tue-tête. Je suis planté au milieu Merdeville dans le trou du cul du monde. Je me suis arrêter ici car le nom m’a bien fait marré et que je me suis dit qu'il devait bien avoir des joujoux touristiques. Mais j’aimerais bien déconner avec une personne, pourquoi pas baiser un peu si ça s’adonne. Un trou c’est un trou et une queue n’a pas de yeux. Une de mes meilleures philosophies. Juste à penser à des mouvements lubrique fait relever mon kilt et ce n’est pas le froid qui affecte mon général à moustache qui aime monter sa tente. Mon bouclier au bras, mon bec de corbin à la main et mon reste sur mon dos, j’ai l’air d’un vendeur itinérant.  Mon casque à visière avec deux canettes de bières dessus me donne un panache que j’adore.  Je me fous du comment je suis habiller. Juste pour dire je suis en chaps de cuir et en kilt. Donc j’ai mon crache yaourt à tête violet qui se fait caresser par le vent et ma zone venteuse est libre comme l’air. Je marche en restant plus ou moins alerte en dansant un peu. Je virevolte dans tous les sens comme une toupie. Comme ça je peux zieuter autour de moi en et je suis fabuleux dans mes déhanchements. Je sais que je provoque l’appétit de tous. Mais merde ces derniers temps c’est des zombies qui veulent mon cul. Au moins ça me fait du sport.

Donc me voilà en train de me promener au milieu de ce quartier fantôme. Je rêve de me trouver un bidon d’essence pour Rosie mon scooter rose trop classe. Aussi des munitions ou bien des joujoux de tous les goûts pour me désennuyer. Pour m’empêcher de songer à Riley. Ma sexy bad ass me manque encore plus que Porn hub pour tout avouer… En marchant dans ce paysage complètement laisser à l’abandon, je suis étonné de ne pas voir monsieur cannibale qui ne vit plus, ou bien des vrais comme Hannibal, de se promener en farfouillant partout.

Bruce- Bordel les zombies sont invités à une fête! Ils ont oublié de le dire à leur vieux copain Bruce? Je suis tout tristounet! Si je les attrapes je vais leur planter mon marteau dans la tronche pour leur apprendre que ce n’est pas sympa de me laisser tout seul comme un gland dans le sable.

Je fais même « exprès » pour frapper du pied une conserve qui rebondit sur le bitume. Rien du tout. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Je me fous du bruit et je commence à chanter d’une voix de fausette et amusante tout en sifflotant quand c'est le moment.

Bruce-
Here's a little song I wrote
You might want to sing it note for note
Don't worry, be happy
In every life we have some trouble
But when you worry you make it double
Don't worry, be happy
Don't worry, be happy now
don't worry
Ooh, ooh ooh ooh oo-ooh ooh oo-ooh be happy
Ooh, ooh ooh ooh oo-ooh ooh oo-ooh don't worry, be happy
Ooh, ooh ooh ooh oo-ooh ooh oo-ooh don't worry
Ooh, ooh ooh ooh oo-ooh ooh oo-ooh be happy
Ooh, ooh ooh ooh oo-ooh ooh oo-ooh don't worry, be happy
Ain't got no place to lay your head
Somebody came and took your bed
Don't worry, be happy
The landlord say your rent is late
He may have to litigate
Don't worry, be happy
Oh, ooh ooh ooh oo-ooh ooh oo-ooh don'...



Ça met du pep dans une expédition qui va être trop longue. Mais je suis arrêté alors en plein milieu de ma chanson par un cri d’épouvante. Mon sang se fige et même mon érection quasi-permanente retombe. C’est celui d’une femme car je l’ai entendu plus qu’une fois. Putain de merde je me revoie dernièrement avec une survivante qui était encerclé par des bouffeurs de chairs. J’ai arrivé trop car elle fut mordue. Elle m’a supplié de la tuer et ma santé mentale fragile en a pris pour son rhume. Alors pas cette fois si je peux réussir à intervenir comme Batman. Je m’élance et j’arrive en dérapant dans une sorte de terrain vague clôturé avec des bagnoles abandonnées. Le coin favori des violeurs et des pourritures qui ont un phallus de la taille de mon petit doigt. J’arrive au moment où trois types semblent maintenir un superbe corps sur le capot d’une voiture. L’un la gifle violemment et aussitôt me voilà le méchant Brucie. Le genre de type qui va te marteler les couilles avec son marteau pour te les faire recracher et qu’ensuite il va te les faire ravaler pour recommencer juste à l’infini et plus loin encore. Je suis encore loin et là c’est le sprint de la mort quand celui qui se tient un peu les burnes ramasse le couteau pour menacer la demoiselle hurlante.  Celle-ci s’arrête sous la menace et je me promets de lui faire avaler son couteau par le cul à ce type. J’arrive donc au moment pour capter quelques mots de la pourriture qui essaie de relever la manche du manteau de la femme qui se remit à se débattre avec l’énergie du désespoir.

Mauvais type- Tenez la bien les gars, j’vais lui faire la marque du gang sur le bras, histoire qu’elle nous oublie pas.

Les deux autres se mirent à ricaner comme des hyènes dans le Roi Lion. Tiens je pourrais jouer le macaque qui sait? Ils ne m’ont pas entendu arriver malgré le fait que je suis aussi discret qu'un éléphant qui tombe sur le cul. Je me plante derrière et je leur dit avec toute la haine que me provoque cette scène que tout bon père de famille voudrait jamais voir.

Bruce- Vous êtes en train de d'essayer de vous taper une demoiselle à trois gang d'enfoirés.... C’est moi ou vous ne valez pas un pet de lapin mort dans un sac de merde?

Je fais un clin d’œil espiègle et remplis de sollicitude à l'adolescente et un grand sourire encourageant.

Bruce- Désolé des mauvais mots… Maintenant ferme les yeux car je vais leur apprendre à comment traiter une femme à ces connards d’enculés de leurs mères!

Je commence par le type qui pense être un pirate avec un couteau de l’armée entre les dents. Je balance un coup de mon bec de corbin directement sur la garde de l’arme et le choc est bandant. Le gus recule en crachant la lame de combat, quelques dents et du sang en gueulant comme une vache amoureuse. Je rigole et aussitôt je me tourne vers l’autre qui manie une batte de baseball. Il se croit un cogneur de la ligue Majeur et me balance son arme vers ma tête. Dommage mon bouclier est là pour bloquer. Ça résonne comme un coup de gong et si je pourrais ressentir de la douleur j’aurai peut-être mal au bras pour peut-être m’empêcher de décharger ma sauce du chef ce soir. Il se replace en position et je vois une ouverture. Je lève bien haut ma bottine à cap d’acier direct dans la jonction de ses jambes. Le type hurle d’une voix de castra, la puissance de mon coup doit lui avoir émietté les burnes c’est sûr. Comme il me casse les oreilles, je l’assomme avec le bouclier en acier. KO et je danse un peu comme déconner. Monsieur Lapin attacher à ma ceinture danse avec moi. Mais un choc dans mon dos me fait arrêter. Je ne sens pas que le dernier type vient de me planter un couteau à cran d’arrêt direct dans l’omoplate, un peu plus et il perçait mon sac à dos Dora l’Exploratrice. Je me retourne et mon regard d’azur glacier brule  de haine et de fureur. L’homme lève les mains, incrédule que je ne sois pas à terre en train de pleurer ma mère.

Type- Mec on ne veut pas d’embrouille. Cette salope à buter notre ami Karl…

Je fais mon expression 23 de type en colère et sadique à souhait.

Bruce- Si c’était un enculé comme vous trois, je l’appuie… Peace mon frère… En passant dis-moi le nom de ton gang de merde

L’idiot fait le symbole de la paix avec ses doigts en me le disant. Je le fait aussi avec ma main qui tient mon marteau de guerre. Ensuite je l’envoie chier avec un doigt bien dresser et lui balance un coup au niveau de la tempe pour l’envoyer au sol en convulsion. Celui qui cherche ses dents à le cul bien dressé et j’ai une putain de bonne idée. Je pivote mon bec de corbin dans ma main gantée et je prends un élan. Je fais un arc parfait et le bout pointu pénètre entre les fesses du type. Il se redresse un instant sur le choc que le pique de métal lui déchire l’élastique brun et tombe dans les pommes en hurlant de souffrance. J’essuie alors mon arme qui semble avoir des résidus de merdes et de sang du cul du type édentés. Je l’adore ce marteau de guerre et je dis à voir haute.

Bruce-Rien que de mieux que le Pénétrator pour défoncer les con nards fini…

Je fige en me rappelant de la demoiselle et me retourne en m’excusant comme un gentleman pris en défaut. Hors elle semble en convulsion et je m'approche inquiet. Ce n’est pas noter qu'elle est en train de mourir de cette cochonnerie de virus de merde. En plus je ne sais pas qu'il y a encore un salopard de vivant et qui s'en vient en douce pour me faire une cravate mexicaine avec son poignard...



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Mer 28 Avr - 15:19
Une journée de plus. Toutes ses journées étaient des jours bonus pour elle. Que du bénéfice, si bien sûr les survivants de l'apocalypse peuvent considérer cela comme une bonne chose. Elle continuait de penser que les chanceux étaient déjà morts. Cela dépendait de sa manière de voir certainement et Scarlett n'était clairement pas la plus optimiste. Elle était encore partagée entre la rage de survivre et l'absence de peur de mourir. Voulait-elle continuer à vivre ? Si oui, pourquoi ? Etait-elle prête à se laisser mourir ? Sinon, pourquoi ? Elle n'était sûre de rien, c'était la seule chose qu'elle pouvait dire.

Bon, dans tous les cas, ce fut un début de journée assez banal. Enfin... pas totalement banal en vérité. Elle s'était trouvé un endroit ou poser ses affaires, un banal appartement dans un immeuble banal. L’intérêt de l'endroit était la vue que donnaient les fenêtres, le fait que la porte soit entière et verrouillable et qu'il y avait l'eau courante. Quelques fouilles dans le bâtiment et d'autres appartements lui apportèrent du savon. De l'eau et du savon, elle réussit donc à se laver, pour de vrai cette fois. L'eau n'était pas chaude, mais elle prit son temps, l'eau qui s'écoulait de son corps était tellement brune, oui, c'était bien nécessaire.

Elle put se sécher ensuite, remplir en partie la baignoire pour y mettre ses vêtements sales à tremper. Elle se sécha les cheveux et se regarda dans un miroir. A nouveau, sa peau était claire et ses cheveux avaient retrouvé leur couleur blonde. Elle ne put s'empêcher de sourire en se voyant ainsi. Un soir, elle essayerait peut-être de se préparer comme avant l'apocalypse... et comme avant son apocalypse. Mais ce serait peut-être inutile, voir cela lui rappellerait trop de bons et de mauvais souvenirs... à voir.

Après avoir enfilé des habits ''propre'', secouer un bon coup son manteau cache poussière et son chapeau, elle s'équipa, prit son sac à dos vide pour aller faire un peu de prospection en ville. Comme d'habitude, elle faisait surtout le tour des immeubles et de leur appartement, partant du principe que les lieux les plus intéressants avaient déjà été pillés. Bien entendu si un immeuble était peu bénéfique, elle se rattrapait sur des lieux plus classiques. Après avoir trouvé un peu de café soluble, du tabac, elle pensa qu'il était temps de rentrer, ne pas trop pousser sa chance. Jusqu'à ce qu'une voix se fit entendre.

Un homme qui chantait ? Habillé d'un kilt, d'un sac d'enfant et d'autres détails extrêmement... singulier diront nous. Bon, c'était l'apocalypse, chacun s'habillait comme il le voulait. Mais cet homme faisait énormément de bruit. Voulait-il mourir ? Où voulait-il tuer du marcheur comme certains idiots qu'elles avaient rencontrés sur le chemin ? Curieuse, elle décida de le suivre.

Mais le temps de sortir de l'immeuble l'homme failli lui échapper, ce dernier allait répondre à l'appel à l'aide d'une jeune femme aux prises avec trois hommes qui semblaient vouloir se soulager. Ce n'était guère étonnant par les temps, qui courraient. Elle s'approcha, mais sans intervenir, avec un peu de chance tout le monde finirait par mourir et elle pourrait récupérer ce qu'il y avait à prendre.

Mais l'homme en kilt savait se défendre, très bien même vu qu'il se permettait des traits d'humour et des pas de danse. Elle ne put pas s'empêcher de faire une moue compatissante, à la manière de l'expression que l'on fait quand on voit un skater se croûter, quand elle vit le bec-de-corbin se loger dans le fondement de l'un des agresseurs. Malheureusement, la jeune femme avait succombé, une morsure antérieure ? Un coup perdu dans la bagarre ? Peu importe. Le sauveur assistait aux convulsions alors qu'un des agresseurs était derrière lui, il était temps de se faire voir et entendre.

Elle dégaina son arme, arma le chien et tendit le bras pour viser au mieux et tira. Elle n'était pas au contact, mais à une si petite distance et avec le temps de viser, elle ne pouvait que toucher. La balle perfora le crâne de la victime en cours de transformation, éclatant l'arrière de son crâne avec l'impact de sortie et déversant un paquet de fluide et autres sur le pare-brise de la voiture, le crâne du cadavre venant percuter et fracturer une partie du dit pare-brise.

Il fut logique que les deux hommes regardent en direction du tir. Scarlett les visa, l'un après l'autre, avant de lever le bout de son canon. Elle était assez proche pour leur mettre facilement quelques pruneaux, mais assez loin pour les voir venir.


Je vous laisse vous finir, messieurs.

Elle n'allait pas gâcher deux balles, qu'ils s’entre-tuent, c'était le meilleur moyen, pendant ce temps, elle continuait de faire attention aux bruits alentour. Le coup de feu allait peut-être attirer quelques rôdeurs.
Bruce Smith
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Don't worry be happy... (Scarlett Bullock ) 200
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Ven 30 Avr - 19:57
Don't worry be happy
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Je m’avance prudemment de l’adolescente étendu sur le capot. Ses convulsions ont stoppé et aussitôt le médic en moi refait surface. Habituellement c’est Brucie Jr qui est en permanence en avant de moi pour me guider comme un chien de chasse, mais le sérieux de la situation lui a ordonné d’aller faire dodo dans sa niche comme une brave bête. Je prends le pouls et déjà la gamine est morte. Mais je vois alors la morsure sur son avant-bras et je soupire autant de frustration que de remords. Encore une autre personne que je n’ai pas sauvé. Pourquoi moi qui veut crever de la manière la plus honorable ou à défaut la plus amusante qui soit et je ne peux rejoindre mes anges. Bordel je porte une poisse d’enfer c’est sûr. Hors une détonation se fait entendre et je sursaute malgré moi en voyant la tête de la gamine exploser sous l'impact d'un projectile.  Un peu plus et je fais un petit pipi nerveux. Je me retourne à la vitesse grand V et mon kilt se soulève sous le mouvement comme la jupe blanche de Maryline Monroe par-dessus cette ventilation des plus chanceuses. Voit la culotte d’un sex-symbol ça doit être top. Moi c’est un perçu de ma face nord et de Brucie Jr que j’offre gratuite à la demoiselle qui se rapproche de ma gueule ébahi. Une cowgirl à la chevelure blonde comme les blés. Comiquement je zieute le type qui voulait m'égorger, l’approche de la demoiselle et je balance ma tête d’un point à l’autre comme les humoristes de mon enfances. Alors un immense sourire éclatant la salut et mon regard d’azur se fait pétillant d’espièglerie suite à la déclaration de la demoiselle.

Bruce- Tu as entendu Ok Corral? Désolé ce que femme bandante veut femme bandante va avoir!

Fulgurant je frappe le type dans le visage avec mon marteau dans un geste plein de nonchalance. Le connard tombe au sol les bras en croix. Pour remercier le genre de femme qui me plait, sexy à mort et dangereuse, je lui fais une révérence avec mon kilt comme une demoiselle de la haute. Son timbre de voix qui me fait écho dans le passé. Un accent que je ne peux oublier grâce à ses intonations. Je me revois brutalement en uniforme en train d'arrêter une junkie à répétition.  J’étais le gentil flic à l’époque, le type qui voulait que tous s’en sortent et non les blasés du service qui disait qu’il n’y avait que la racaille et les flics dans ce monde de merde. Je suis persuadé que je connais ce timbre de voix, que même en un moment on plaisantait dans l’auto-patrouille et que je lui payais un burger, lui donnait des biscuits à la mélasse que Zayna me faisait. Ce que je m’ennuie de ce goût et d’elle surtout. Je réponds alors de ma voix chaude et rauque qui fait frémir bien des lèvres lors de mon passage.

Bruce- Merci

Je vais vers sa victime pour lui fermer les yeux. En me penchant elle doit remarquer le manche du cran d’arrêt qui déposa de mon dos avec un peu de sang. Plein de charme je saisis le flingue d’un des gus et je l’essuie avec l'un des strings qui dépasse de la poche de cuir mon kilt. Je lui donne comme le ferait un maitre samouraï qui transmet son katana à celui qui l’a surpris dans son entrainement.  Je me redresse comme si j’étais monté sur des ressorts. Je laisse pendre mon bouclier par sa lanière de transport et place le Pénétrator dans son anneau. Mes paupières cachent un peu les lueurs inquisitrices d’azur renversant de mon regard devant cette mystérieuse femme qui cache un visage que je parierais superbe, des lèvres sensuelles et surement une paire d’yeux à faire tomber. Sa chevelure est belle et doit tellement se former en une queue de cheval pratique à tenir lors des explorations de Brucie Jr.  Coquette et meurtrière. Le mix qui me plaît parfaitement. Alors je lui fais un sourire de reconnaissance, charmeur à deux balles et comique à souhait.

Bruce- Merci de m’avoir évité de me ramasser un coup dans le dos. Je vous en dois une ma belle Lucie Luke. Si la place de Jolly Jumper Sauteur est libre pour te faire cavaler je postule c’est sûr et certain.

Je lui tends la main pour me présenter. Comme ça je lui montre que je ne pas lui faire de coup fourré, mais que fourré plus tard sera sympa.

Bruce- Bruce Murphy en chair et en os… Bordel votre voix me dit quelque chose… Texas c’est ça? Le déguisement c’est pas de la frime?

Elle me semble sous le choc et je hoche la tête satisfait. Je provoque toujours cet effet sur les demoiselles comme je frôle la perfection avec ce corps d’apollon, ce sourire d’ange et ce regard qui promet une nuit au paradis orgasmique. C’est là que les autres emmerdeurs de classe mondiales décident de se montrer leurs faces de plaies de guerre de sécessions qu’on on vient de chier dedans. Donc c’est laid et ça ne sent pas la rose. Il en un « frais » qui se dandine le cul frénétiquement, mais le reste essaient de démarrer un chant de gospel qui me saigner des oreilles. Je me redresse et me place devant l’archère que je sais qu’elle peut se défendre comme une chef. Ce n’est pas de ma faute je suis comme ça. Elle voit parfaitement le couteau à cran d’arrêt dans mon dos, mais je m’en fous comme de mon premier slip. Rageusement je pointe la gang de morpions putrides avec un index accusateur et leur gueule dessus haineusement.

Bruce- Ma gang de bouffeur de phallus passé date! On ne vous a pas sonné! Et votre chant c’est de la merde en conserve.

Je me retourne alors vers la trop sexy blonde avec un clin d’œil complice et encourageant.

Bruce- Je crois que je viens d’énerver un peu le groupe de glands défraichis et il en a trop. Le premier qui se rend à la ruelle gagne et choisis ce que l’autre doit faire d’accord?

La blonde commence à se mettre en mouvement et je lui regarde sa face nord au point de me faire saisir par un Michael Jackson. Du vif-argent et elle bouge à me faire dresser un chapiteau dans mon kilt. Qui sait… elle voudrait voir la trompe d’éléphant qui se cache en-dessous. Wow elle doit valoir le coup dans la chambrette car elle semble flexible et souple. Je dois la rattraper pour lui demander si elle vit encore chez ses parents histoire de savoir si ses parents sont encore vivants et si ses derniers ont un ménage ouvert. Je pique alors un sprint et ça démontre ma vitesse de course car je la rattrape. Comme un con qui fait son jogging relaxe je dis « gauche » pour l’avertir que je la dépasse pour ce côté et je me régale de sa course. Elle a vraiment un corps de déesse. Qui pense au sexe pendant qu’une horde le poursuit? C’est moi!

Bruce- Hello beauté fatale! Je voulais vous dire que vous avez fait un carton dans mon cœur! J’aimerais bien vous emmener souper aux chandelles, mais on doit se débarrasser de ces pots de colles passé date. Il y a une échelle de secours pas loin. On pourrait prendre de la hauteur et je pourrais me présenter comme il faut

Galamment je fais signe à la sexy botteuse de culs de passer devant et je cours avec elle. Nous courons bien. Un zombie surgit alors d’une ruelle et va intercepter la blonde qui fait battre mon cœur, les autres Michael Jackson sont pas loin. Un coup de rage me fouette les sens et je sprint pour foncer sur la tête de gland que la belle ne semble pas avoir vu car elle jette un œil derrière. J’adore la lutte de la WWF et je lui fais le coup de la corde à linge. Le zombie fait presque un tour complet autour de mon bras avant de s’écraser au sol. Aussitôt j’ai une idée rigolote et je lui fais tomber sur la tronche variolée par le virus une grosse boite à lettres en acier. La tête explose comme un melon et je rigole comme un con en faisant quelques pas de victoire qui va rendre le véritable Michael Jackson blanc de rage. Tiens je me demande si je pourrais faire une chorégraphie de Thrillers avec les zonzon? Prochaine quête pour moi me trouver le gant et le manteau du Roi de la Pop! Mais je reviens à ma victime au crâne ouvert.

Bruce- Tu vois mon vieux les lettres peuvent être mortelles. Je crois que les comptes de cartes de crédits sont vachement lourds après les fêtes!

Je cours de nouveau et comme de raison on arrive dans un putain de cul-de-sac. Je regarde partout et voit une échelle d’incendie qui semble hors d’atteinte pour le commun des mortelles. Mais si je fais grimper la blonde sur mes épaules elle pourra la saisir et se hisser en sécurité. Comme ça moi je pourrais faire du tir à la cible et avoir les zonzons juste pour moi. Je sais je suis égoïste en matière de baston!

Bruce-Écoute Lucie Luke je vais t’aider à grimper à cette échelle. Je te fais la courte échelle. En haut il y a un mécanisme de blocage. Ce sera très gentil en descendant l’échelle ma caille.

Je la sers dans mes bras pour lui procurer un peu de courage et me faire plaisir, la vie est vachement courte et c’est toujours agréable de sentir un corps de déesse contre moi.  Je cours près du mur et fais un panier de mes paumes pour la propulser vers le salut. Je me place près du mur pour lui permettre de saisir cette échelle de mon cul quand elle réussit je fais quelques pas de cheerleaders pour l’encourager. J'aurai sûrement battu les meneuses de claques des Cowboy de Dallas et en plus j'ai plus de sex-appel que ce groupe. En plus j'en ai sauté une partie après une prise d'otages que j'ai dû intervenir à titre de freelancers. Chez moi j'ai encore les pompoms et le costume que j'ai piqué à l'une d'elle.

Bruce- YES tu es la meilleure! Tu es la best!!!!

Les zombies s’approchent et je fais mines de les compter. Pour la provocation je soulève mon kilt, en prenant garde que la demoiselle ne voit pas Brucie junior en dessous, ça pourrait la faire rougir et arrêter dans son ascension, et je fais l’hélicopqueue. Ensuite je fais basculer mon Garand pour me préparer à faire feu

Bruce- Qui veut gouter mon gros salami? Attention ça vient avec du plomb en accompagnement mes jolies!

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Je suis aguicheur et trop drôle. Je reprends la position de tir classique debout et j'en ligne la horde. Je commence à tirer dans le groupe de zombies comme si j’étais au champ de tir tout en bougeant la tête en suivant le rythme. Calme et surtout en train de me marrer tout seul comme un grand. Car ou il n’y a pas de plaisir il n’y a pas Bruce dans le coin…

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