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Maelstrom de sentiments...
John Karlsen
John Karlsen
Maelstrom de sentiments... BeautifulShamelessFlea-small
Messages : 120
Localisation : Ruines
Jeu 11 Fév - 12:07



Maelstrom de sentiments...

Le vent se levait de plus en plus fort et déjà des trombes d’eau se déversaient des cieux comme les pleurs d’un millions d’êtres célestes. Utilisant ses connaissances en construction et son physique autant ingrat qu’à la puissance formidable, le golem de chair nouvellement adopter par le clan des Ruinards fortifiait un abri pour sa nouvelle famille. Heureusement que ses gestes étaient mécaniques et innés car l’esprit pathétique de la Bête était à des milliers de lieus de cela. Dès qu’un moment pour songer était présenté dans le quotidien chargé du colosse balafré, ses pensées étaient immanquablement tourner vers Myranda. Cet être céleste qu’il avait rencontré il y a quelques semaines. Ils s’étaient aidés mutuellement dans un supermarché dont l’item le plus couru par les clients trépassés était les deux âmes solitaires. Après un lien très fort s’était tisser entre l’être de lumière et la lie de l’humanité. Une véritable mélodie de bonheur s’était tissé entre leurs palpitants respectifs et toujours le géant conciliant et paisible écoutait attentivement chaque envolés lyriques qui franchissaient les lippes sensuelles de la magnifique brunette. Ce visage ciseler par des mains divines car rien d’humains ne pouvait rivaliser avec cette beauté et cette douceur. Le monstre de foire se rappelait de chaque mot, de chaque fou rire. Hors une horde avait encerclé le camping-car et voyant que l’inaction allait provoquer la mort de son ange et du frère de celle-ci, John avait bondit du toit du véhicule tout en enlevant ce collier de chien qui gardait le Cerbère sous contrôle. Dieu sait comment Copain avait retrouvé le géant haletant et blessé peu que John eut emmené les macchabés ressuscité en servant de son immonde carcasse comme d’un appétissant appât. La dernière vision de son ange fut de sa beauté surnaturelle au travers de la vitre arrière qui tapait du poing sur le verre protecteur alors que le véhicule s’enfuyait au loin. Hors un cri dans l’abri fit dresser l’oreille du golem de chair. Une femme disait que son enfant était à l’extérieur. Le protecteur difforme hocha la tête et voulu sortir. Hors la patronne au sourire lumineux et l’ami du massif homme à la musculation disproportionné voulurent l’empêcher d’aller dans le cœur de cette tempête infernale. John avait alors simplement levé ses larges épaules et dit de sa voix caverneuse et triste à la fois.

John- Un ange vie et un monstre meure… Euh… Marché honnête… Euh… Enfant ne peut pas mourir… Euh… Moi pas grave…

Avec aucun effort et une facilité presque enfantine le géant au cœur d’or si torturer avait repoussé son ami à la chevelure poivre et sel et s’était ruer à l’extérieur suivit de son fidèle ami. Mettant sa main pour faire un piète rempart contre le déluge maudit, le vent tourbillonnait furieusement contre la carcasse de l’erreur de la Nature. Avec son ouïe amoindrit le colosse balafré de toute part n’entendit aucunement les supplices de ses amis qui hurlaient que la petite était saine et sauve, caché dans les tréfonds du refuge. Luttant contre les éléments, hurlant de sa puissante voix qui était aussitôt engloutie par les rafales furieuses, le géant à l’apparence cauchemardesque s’avança vers Dieu seul savait. Hors le hasard fit qu’au milieu de ce chaos le vieux chien de prison senti une odeur familière et attira son maître vers une forme étendu au sol. C’était l’être céleste qui arpentait chaque pensée et chaque songe du Cerbère des Arènes maudites. Immobiles et toujours aussi magnifique. Copain la lécha au visage pour la réanimer et la paume immense et saturer de cicatrices de John se posa près de ce visage si magnifique qu’il ne pourrait jamais caresser même dans ses rêves les plus fous. Car elle devait être avec un être aussi beau et merveilleux qu’elle l’était au regard océanique si doux de l’être indigne. Un soupir de soulagement naquit entre les lippes exsangues de la créature en sentant le souffle de vie percuter sa paume. Voyant une belle bosse près de son cuir chevelu, le golem de chair supposa que la Belle s’était fait assommer par des débris volant. Le vent augmentait et maintenant il tombait des hallebardes. La montagne humaine de muscles disproportionné se devait de trouver un abri pour la sauver elle. Lui n’avait aucune importance.

Le monstre de foire fléchit un peu sa grande carcasse et il prit le corps gracile dans ses bras immenses. Il rejeta alors son malaise de sentir cette perfection divine près de son corps atrocement déformé et sans demander son reste, il commença à s’éloigner du lieu de douleur en grande enjambée. Sentant la chaleur que le corps si fragile et si fort en même temps produisait dans ses bras, John sut au plus profond de ses tripes qu’il éprouvait des forts sentiments envers Myranda. L’étrange duo s’enfonça un peu plus dans le bois lugubre pour trouver un abri contre le chaos ambiant. Autant pour calmer son cœur emballé d’être aussi près pour la première fois d’être aussi proche de celle qui occupait chaque pensée et pour permettre à l’ange échoué dans ses bras de se sentir moindrement en confiance d’être avec un membre de la lie de l’humanité, le colosse balafré fit une promesse. Le son de sa voix se fit alors étrangement calme et serein, laissant transparaitre l’instinct de protecteur qui coexistait dans ce corps parsemé de cicatrices et de difformité. Une bonté sans borne et une sollicitude se dégageaient du colosse comme si celui-ci avait revêtu une cape sublime. Une sorte d’aura en quelque sorte de calme et d’assurance.

John- Je ne laisserais pas les méchants vous faire du mal madame… non jamais… Euh… On va arriver Jamais je ne veux te quitter… Euh… Je me sens bien près de toi…

Les pas du monstre de foire avaient permis aux deux âmes solitaires de distancés les simulacres de vie qui malgré la tempête était en maraude et bientôt une caverne, refuge contre la folie ambiante, sera en vue. Le cœur immense et torturer de la chose battait maintenant calmement dans sa poitrine, laissant le loisir à l'ange d'apprécier un tempo pur, envoutant et si serin à la fois.  John s’assit lourdement au sol, épuisé d’avoir lutté pour marcher au travers de ce temps meurtrier. Plusieurs débris avaient percuté le gaillard, mais il avait fait un rempart de son corps immonde pour protéger l’être qui comptait le plus à son regard océanique si doux et pur. Le colosse balafré avait encore récolter de nouvelles cicatrices, mais à cet instant toute son attention était tourner vers la merveilleuse femme dans ses bras puissants et réconfortant ainsi que de la présence de son fidèle ami. Sortant maladroitement une immense couverture de laine de son sac à dos qui ne quittait jamais les épaules volumineuses de l’être immonde, la gargouille à peine sculpté emmitoufla les trois corps grelottant de froid. Profitant de l’inconscience de la Belle pour la bercer avec une douceur et une tendresse qui devrait être étrangère dans ce corps cauchemardesque, John se sentait si bien. Car il savait qu’au réveil de Myranda il n’allait devenir que son ami alors qu’un amour puissant battait en son sein.

Souriant grandement de la joie et de l’allégresse tout à coup rendues à son cœur mis en charpie, la beauté intérieure du monstre se manifesta alors de la plus belle manière qui soit. Un chant pur à la sonorité presque parfaite se produisit alors. Le don caché par la montagne de muscles déformés se dévoila au grand jour. Perdu dans des notes magnifiques rattachées à des souvenirs tristes et heureux à la fois, le colosse balafré continua à prodiguer chaleur et présence à l’ange qui semblait toutefois ne plus dormir. Les yeux presque fermés, essuyer du passage des larmes sur son horrible faciès, lunatique et perdu dans un état de rêve des plus soyeux, le monstre de foire continua de charmer et de déclamer son amour par le biais d’une chanson qu’il avait écrite de sa main maladroite. L’esprit lent du mineur ne vit aucunement la forme gracieuse dans ses bras qui le regardait. La voix chaude, rauque souhait continuait de faire le prodige qui charmait totalement les oreilles chanceuses d’en percevoir le chant. Copain se frotta à son maitre et chercha la main gracile de l’être céleste pour une caresse dont elle semblait aimer donner à la brave bête vieillissante.  Le chant mourut subitement et la honte apparut sur le grotesque faciès du monstre. Arrêtant de respirer, la bête savait pertinemment l’image que la douce dame percevait De la pureté, de la gentillesse et de la compassion parcouraient son regard comme des vaguelettes sur un océan calme. Hors les mots étaient ceux d’un Roméo transit et sachant que son amour était impie et interdit. La voix rocailleuse et aux mots à peine mâchés parsemer du géant se manifesta dans un murmure.

John- Je suis désolé Myranda d’avoir chanté… Euh… de t’avoir éveillé… Euh… Tu vas bien? Euh… Je me suis ennuyé de toi…

Sincérité et tendresse englobaient les mots maladroits et hésitants du géant immonde…

Chanson écrite pour l'ange que John aime...:

@Aukaneck White

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Ven 26 Fév - 11:20


Maelstrom de sentiments

Aukaneck & @John Karlsen ☾ I wish I'd never seen your face. Better done wonder phase. I need an echo, not your praise, straying from the god you nailed. My mother, my mother, my mother never told me that Love is just a bloodsport
☾ ⋆ ☾ ⋆ ☾ ☼ ☽ ⋆ ☽ ⋆ ☽

Il faisait beau, il faisait chaud. En tout cas, ça c’était quand j’ai quitté le parking de l’hôtel où je crèche. Mon camping-car, je le kiffe, il est confortable et au moins, je peux voir ma frangine, tout en n’ayant pas à me farcir les autres cons de l’hôtel. Non, ils ne m’auront pas avec leurs putains de chambre classe et leur room-service. Moi, ce que je voulais, c’était une villa avec piscine et pourquoi pas un nettoyeur de piscine. Putain, qu’est-ce que ça aurait été bien avec gros nounours en maillot de bain qui me masse les pieds. Fait chier, il n’est plus là. Je ne cessais de repenser au jour où il avait disparu. Mon coeur se serrait à chaque fois et j’avais ordonné à mon frère de ne plus en reparler. Il y avait cette horde, c’était impossible qu’il ait pu s’en sortir. Il m’avait sauvé la vie putain et il était sûrement mort. Fait chier, je ne devais pas repenser à lui bordel. Pour ne pas penser, pour occuper mes journées, je tue donc le temps entre la soeur, le frère et la moto que je bricole encore aujourd’hui.
Je m’étais enfermée dans un garage de moto, dans lequel j’avais déjà repéré quelques pièces qui pourraient me servir pour celle que j’étais en train de réparé. Quelques outils et mon sac sur le dos devrait suffire. Et me voilà à avoir les mains dans l’huile de moteur. J’adorais cette odeur. J’adorais faire quelques d’utile de mes mains et en plus, ça avait l’avantage de ne pas penser. Je ne voulais pas faire un travail de sagouin. Je faisais toujours les choses bien. Je savais que Jorah allait m’engueuler en rentrant, parce que je n’avais pas dit où j’allais. Putain, mais je de compte à rendre à personne. Avant est-ce qu’il me demandait un compte rendu de chaque coucherie avec un mec de l’université ? Et bien non ! Même si les lois n’existent plus, on a encore notre liberté et moi je revendique celle de faire ce que je veux et de me rendre où je veux et surtout pas à l’intérieur de cet hôtel de merde.
Bref, je râle encore et toujours, mais vous savez quoi. J’ai déniché tout ce qu’il me fallait pour bricoler ma moto et ça c’est le pied ! Demain, je pourrais me balader au grand air, mon casque girly sur la tête, slalomant entre deux morts-vivants. Ca sera parfait.

Bordel de merde, de crotte, putain fait chier. Il faisait beau et là c’était l’Enfer. Bien sûr que j’avais entendu qu’il pleuvait en m’enfermant dans mon garage, mais je ne pensais pas à ce point. Merde. Je fais quoi je tente ? Je tente pas ? Bon qui ne tente rien n’a rien et Jorah et Cersei vont me flinguer si je ne rentre pas. Je sers ma petite veste contre moi, ça sert à rien que je mette ma capuche, vu le déluge, je serais vite trempée. En effet, deux secondes après avoir mis le nez sous la pluie, je suis trempée. Fait chier, mes cheveux étaient parfaits ce matin.
Décidément, les morts aimaient la pluie. Ils se baladaient tranquillement, cherchant à me bouffer. Je me dégageais et continuer à lutter contre les éléments. Je sortis mon poignard, ça servirait à rien que je tire par ce temps, ça ne ferait qu’attirer les saloperies. Le vent était puissant et je me sentais tel une guerrière luttant contre la force de Poséidon déchaînant l’océan sur la terre. Bref, j’abandonne les belles paroles, ce n’est pas pour moi. Une saloperie tente de m’attraper, je lui plante mon poignard dans le crâne. Saloperie 0, Mymy 1 ! Je cours, parce que là ça commence vraiment à craindre. Le vent était beaucoup trop fort, des objets volaient partout dans les rues et là, quelque chose me heurta de plein fouet dans la poitrine, me coupant le souffle et je tombais en arrière.

J’étais morte. Probablement. Je sentais une douce chaleur et un chant. Bon la personne ne chantait pas vraiment correctement, mais les paroles étaient belles. Je devais donc être morte. La voix, je l’avais reconnue, c’était celle de John. Donc je suis morte. C’est cool, au moins, j’ai retrouvé gros nounours. J’avais mal au crâne. Putaint, c’est vraiment con, même quand tu es mort tu ressens la douleur. Bref, ils ont peut-être des pharmacies là où on met les morts ? Je profite encore quelques instants de la voix de John, ainsi que de ses bras. J’ai toujours eu l’impression d’être aussi légère qu’une plume quand il me prend ainsi.
Puis, il comprit que j’étais réveillé, puisqu’il s’excusa de cela et m’avoua s’être ennuyé de moi. Je souris comme une gamine et j'ouvre les yeux pour le regarder. Il n’avait pas changé.
En tout cas, si c’était pour te retrouver, je serais morte beaucoup plus tôt. Tu n’as pas d'aspirine, j’ai un mal de crâne pas possible. C’est vraiment con d’avoir toujours mal même en étant morte.


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John Karlsen
John Karlsen
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Dim 28 Fév - 13:53



Maelstrom de sentiments...

Le palpitant du colosse balafré de toute part se remit à battre avec une frénésie que seul la présence de l’ange semblait produire. Comme si le cœur d’or de John criait littéralement le prénom de Myranda dans le fol espoir que l’être céleste puisse l’entendre. John n’avait connu l’ivresse de l’amour, la douceur d’un baiser et aucunement ces sentiments puissants qui avaient naquis durant leur trop brève cohabitation. Simplet et innocent, le géant avait mis le tout sur sa gêne maladive et surtout croyant dur comme fer qu’aucun ange ne voudra de la lie de l’humanité qu’il représentait. Le regard océanique de l’homme difforme se noya littéralement dans les yeux captivants et magnifiques de la belle demoiselle, mais les paupières se rétrécirent alors à ces mots un peu macabres. Avec une délicatesse que ce corps immonde et honni de tous ne devrait aucunement posséder, la paume rugueuse et couverte de cicatrices se déposa avec la légèreté d’un papillon sur le front de l’être de lumière. Ensuite avec douceur il laissa courir ses doigts avant la taille de saucisse trop cuite pour essuyer l’eau de pluie de ce visage aussi magnifique que parfait. Une véritable œuvre d’art ciselé par un artiste qui avait eu la visite de sa muse divine. Mais se rendant compte de ce mouvement empreint de tendresse, le golem de chair enleva sa main en rougissant et il eut un sourire d’excuse tout en ayant un air penaud craquant.

John- Désolé… Euh… Moi vérifié si tu fais température… Euh… Aspirines…Euh… Oui attends.

Pendant que le géant à l’amure de chair couverte de stigmates avait basculé son sac à dos pour farfouiller à l’intérieur avec sa langue à demi sorti dans un effort de concentration considérable, le berger allemand vieillissant s’était coucher près de celle qui arpentait les songes et les pensées du géant cauchemardesque. Le chien de prison adorait la jeune femme et désirait lui apporter chaleur et réconfort. Souriant avec douceur, dévoilant par la même occasion sa dentition des plus inégales, le géant produisit un coffret à crayon. La pluie avait littéralement fait coller le tissu orangé élimé de la salopette sans manche du mastodonte sur son corps, moulant la formidable musculation comme une seconde peau. L’être de lumière pouvait remarquer de nouvelles cicatrices, traces d’impacts de projectiles d’armes à feu et même deux morsures sur l’un de ses avant-bras titanesque. L’une plus ancienne que l’autre pour être plus précis. Mais comme à son habitude John avait tout simplement oublier ses propres blessures pour se concentrer au bonheur exclusif de l’être qui était littéralement le centre de son univers.

John- Tiens… Euh… Fais truc pour toi… Euh… Ce que tu aimes… J’ai pensé à toi chaque moment… Depuis que méchants mordeurs nous ont séparés…

Il rajouta de sa voix caverneuse alors une évidence que le géant se devait de spécifier pour le bien de l’être céleste.

John- Non moi, Copain et toi pas mort… Euh… Copain t’a retrouver dans tempête et moi t’a ramener dans grotte… Euh… Toi ange irais au paradis et monstre enfer… Euh… On ne se rencontrera pas en haut…

À l’intérieur du coffre à crayons se trouve une petit flacon d’aspirines, une canette du breuvage favori de la magnifique brunette, sa friandise favorite qu’elle n’avait pu gouter depuis des lustres, des tampons et même certains petits présents qui reliaient aisément les passions de la demoiselle.

John- J’ai prié… Euh… Pour toi et ton frère… Euh… Je t’ai recherché partout avec Copain… Euh… On s’ennuyait de notre ange… Euh… J’ai eu peur de te perdre à jamais… Euh… Mais Patronne et ami m’ont dit que tu es ok… Euh… Qu’ils ne voulaient pas s’imaginer si je perdais mon ange… Euh… Si méchants responsables que j’aurai enlevé collier pour laisser monstre leurs faire du mal…

Tout doucement le golem de chair se plaça au niveau de la nuque de la demoiselle pour ensuite la soulève avec une délicatesse touchante. Comme cela elle était appuyée sur ce torse musculeux et chaud pour entendre ce palpitant qui ne cessait de lui murmurer son prénom. C’était une étreinte apaisante et tendre, un geste venu directement du cœur pour le plus grand confort de la merveilleuse femme. Une position amoureuse même si John n’en savait rien. La bête ne voulait que celle qui était tout pour lui soit confortable et surtout au chaud.

John- Voila… Euh… Plus facile pour boire et manger… Euh… je peux mettre bras autour taille pour que tu ne tombes pas… Euh… C’est trop?


Chanson écrite pour l'ange que John aime...:

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