Toi aussi tu aimes jouer ? J’aime bien quand tu racontes des conneries, alors si tu en racontes, moi aussi !
Feat. Bruce et son Brucie Junior !
Inès courait à perdre haleine. Elle se devait de courir, comme elle en avait l’habitude avec Angela et Diana depuis des mois. Les trois amies s’étaient retrouvées à Cancun parce qu’elles avaient eu envie d’un peu de folie, piratant quelques comptes en banque bien remplis afin d’avoir des moyens financiers qu’elles n’auraient jamais eu en temps normal. Dans leur ancienne vie, les trois jeunes femmes adoraient faire des arnaques, Diana était le plus souvent sur le « terrain » tandis qu’Angela et Inès s’occuperaient de tout ce qui était système informatique, toute la logistique était pour elles, bien qu’à quelques reprises elles s’étaient amusées à porter main forte à Diana. Puis, après plusieurs jours à Cancun, lorsque l’épidémie avait commencé, les jeunes femmes avaient voulu reprendre l’avion pour rentrer chez elles, se heurtant aux compagnies aériennes qui stoppaient tous les vols, donc elles avaient payé quelques nuits de plus dans leur hôtel de luxe sans réussir à profiter réellement et c’était sous leurs yeux que l’horreur de Cancun avait commencé. Elles avaient de la chance d’être encore en vie, elles avaient de la chance de ne pas mourir d’une manière idiote comme elles avaient pu voir bien des personnes mourir. Elles avaient rapidement compris qu’il leur faudrait des armes, qu’elles allaient devoir s’armer de courage également pour faire ce qu’elles ne pensaient jamais faire : tuer.
Pouvait-on parler d’êtres humains ? Inès n’en savait rien, elle préférait même s’en amuser, laisser sortir quelques fois des boutades à leur sujet, bien qu’aujourd’hui, elle continuait de courir. Leur repère se trouvait à l’intérieur de l’ancienne mairie de Cancun, une zone particulièrement infestée par les morts mais comment auraient-elles pu s’en rendre compte ? Les trois amies ne s’étaient pas beaucoup éloignées, en réalité, elles avaient vu un ancien commerce à l’abandon qui vendait des sacs de couchages, des sacs à dos, de quoi tenir quelques jours dehors pour faire du camping. Malheureusement, en ouvrant la porte qui lui semblait être celle de la réserve, Inès avait surtout ouvert la porte sur des rodeurs, la surprenant, et en reculant la jeune femme s’était bien entaillée le bras. Heureusement, elle avait pu compter sur ses deux amies, et à présent elles arrivaient en courant à l’intérieur de l’ancienne mairie, fermant les portes derrières elles en voyant arriver quelques rodeurs. Inès était à bout de souffle, et lorsqu’elle regarda ses trois amies, elle se mit à rire. Un véritable rire de soulagement et d’amusement.
- Vous vous rendez compte les filles, qu’ils ne peuvent pas courir ? Et à chaque fois, on prend peur alors qu’il nous suffit juste de faire demi-tour.
Inès s’en amusait, et se redressant après avoir mis ses mains sur ses genoux pour reprendre son souffle, la jeune femme observa la plaie qu’elle avait au bras. Ce n’était finalement pas très profond, mais la coupure était longue, il faudrait surement retourner dehors pour aller à la pharmacie ou à l’hôpital pour trouver de quoi lui mettre quelques points de sutures. Les trois jeunes femmes montaient les escaliers, rejoignant l’endroit où elles dormaient – le bureau du Maire était la plus grande pièce de l’étage – et tout en montant les escaliers, elle fit une légère moue, les yeux rivés sur son bras.
- Si j’appuie et que je maintiens fermé, peut-être que je n’aurai pas besoin de voir un médecin. Sérieusement les filles, une de vous aurait pu faire médecine !
La jeune blonde leur fit un clin d’œil, avant d’entendre un bruit leur indiquant qu’elles n’étaient pas seules dans la Mairie. Aussitôt, les trois filles prirent une arme chacune, pour elle, s’était un pied de biche.
Je balance les bouteilles vides au travers d’une fenêtre de la Mairie directement sur les Michael Jackson en me foutant du bruit. Pourquoi je serais silencieux en fait. Du bruit ça donne des zombies, des zombies ça m’amusent à les déglinguer et ça va me pousser à balancer encore que j’ai engloutis en vitesse, me donnant un petit feeling qui me rend encore plus joyeux. Mais la cerise sur le gâteau c’est la trouvaille d’un paquet de canettes de bières et d’une boites de capotes fluo magnum XXL. Je sais Brucie junior sera serrer dedans, mais ma maman m’a toujours dis d’explorer les endroits humides avec un imperméables. Si je ne peux m’en servir comme je veux, je vais les gonfler en faire une fiesta pour taper des zonons à plein! Aussitôt je place le paquet de condoms des couleurs de l’arc-en-ciel, je ferais fureur dans la Gay Parade, dans mon sac et plante deux canettes sur mon casque à bière. Je siphonne le liquide ambré comme une pute qui a hâte de finir son client pour empocher son dû. En plus quelques bouteilles d’alcool sont épargner fessant passer ma diète au liquide pour une journée ou deux. Mais une voix se fait entendre et derrière le comptoir en utilisant un torchon pour essuyer le sang du zombie que j’ai éclaté la tête. Mon regard d’azur glacial se fait alors provoquant et surtout espiègle en voyant un trio de magnifiques demoiselles qui sont essoufflés. Bizarrement je les vois dans de l’huile en maillots en train de lutter en bikini minimaliste et moi en arbitre pervers et vendu. Je sais par où elles vont passer et comme si de rien n’était je m’installe èa un bureau de vide, celui de la réceptionniste du maire que j’ai balancé pour rejoindre ses concitoyens zombifiés la semaine dernière. Ça a l’air que le bougre a toujours adorer les bains de foule et le rat du cartel local à était submerger par un amour putride et un appétit démesurer pour ses promesses faites dans le vent. Enfin bref je m’assoie confortablement et prend même une revue de mode en posant mes pieds sur le bureau. Nonchalant je les regarde entrer dans le bureau en levant un souci interrogateur. Un homme si viril en kilt, portant un t-shirt qui le désigne comme donneur d’orgasme certifié et avec un casque à bière sur la tête doit être légèrement coquet et désirable. En plus mes tatouages, cicatrices et implants corporels me donne un air de méchant garçon que les femmes adorent essayé de changer. Une me demande qui je suis. Je regarde autour de moi comme un pais. Ensuite je me pointe et lui fait un clin d’œil qui est à la fois lubrique, espiègle et surtout provoquant.
Bruce- WOW Vous êtes phénoménale les demoiselles! Des vrais Charlies Angels. Je pourrais être votre Busley non? Attendez je me présente de la bonne façon…
Je me sens d’humeur coquine et surtout extravagante. Je me redresse alors et prend la pose de l’assistant grognon et je pousse le jeu à annuler mes rendez-vous au téléphone qui est aussi mort que la presque totalité de la ville. Je prends une grosse voix intimidante qui me rappelle du pitbull irlandais. Le rythme de la musique de Gaston, le film de la Belle et la Bête que ma plus jeune vénérait, me revient en mémoire et je me décide à improviser un spectacle pour apaiser et surtout faire rigoler les Charlie Angels comme j’ai ait èa Charlie et ma Perle d’Orient qui ont adorer. Je dépose mon casque à bière de manière solennelle après une dernière gorgée et je trouve la musique de la chanson loufoque sur mon cellulaire. Alors je me laisse prendre au jeu et commence à chanter.
Bruce- Dieu que tu répugne En te voyant Bruce En vérité tu es aussi inutile Que mes couilles cachées par le bureau Tu viens de me gâcher la vue De ces sexy beautés Il n’y a pas un homme dans cette ville qui n’est pas révulsé par toi Et tous souhaite que tu crève Tu as prouvé à tous que tu es dur à tuer Mais chacun va essayeeeeeeer!
D’une traction souple je me propulse de l’autre côté du bureau, dévoilant que je porte le kilt intégrale et que ma massue perso Brucie Jr fait l’hélicoqueue. Si un jour je perds mon bec de corbin dans un combat, promis je matraque à mort le type avec ma queue. Mourir battu à mort par un phallus ça doit être la honte suprême. Je m’appuie alors nonchalant en faisant tomber mon sac à-dos pour avoir une liberté de mouvement totale. Je prends ma voix de ténor et commence à chanter. Je fais les mimiques et surtout je rigole comme un charmeur à deux balles.
Bruce- Personnnnnnne Ne gifle comme Bruce Personne n’est rapide comme Bruce Personne ne te frappe directement dans les parties comme Bruce Il n’y a aucun homme dans cette ville qui m’arrive à la hauteur de mon kilt Vous pouvez demander à tout le monde car c’est vraiiiiii!
Je prends une cannette de bière pour chacune et je gambade joyeusement pour déposer le tout près de la table où se trouve le trio totalement bandant. Aguicheur et comique je leur fait descendre leurs armes comme si c’était des blagues. Perso j’aimerais mieux les voir avec fouet et latex, mais qui sait peut-être un autre jour. Je reprends le chant en faisant une chorégraphie loufoque et déjantée.
Bruce- Personnne Ne s’amuse comme Bruce Vide ses armes comme Bruce Personne tue tous ce qui fait chier comme Bruce Mon tableau de pourritures buter est intimidannnnnt
Alors je prends la posture d’un type menaçant et reprend la grosse voix du sergent Murphy.
Bruce- Il faut tuer ce Type Qu’on lui tire dans les couilles Qu’on lui tranche la gorge Le premier qui bute Bruce Gagne le grand prix
Je me place tout près de la belle brunette et prend un regard faussement effrayé tout en essayant de zieuter dans son décolleté.
Bruce-Si une alliée sexy voudrait bien m’aider À me motiver Ce sera très apprécier
J’imite un peu le ton de la sexy girl en me plaçant tout près.
Bruce- Tu es chanceux je n’étais pas loin
Je reprends ma voix en lui zieutant le derrière en me prenant le visage à deux mains complètement émerveillé.
Bruce- Ton jeans te fait un cul superbe Et provoque une tente dans mon kilt
Je la pousse vers la chaise pour qu’elle s’asseye et qu’elle puisse profiter du spectacle. Les deux autres demoiselles se retrouvent assises aussi près de leur sexy copine. Je suis un spectacle de burlesque au complet à moi seul. Je reprends alors l’air de la chanson et je fais les actions du couplet. Un saut périlleux en arrière, je lance deux slips de ma collection dans les airs et montre mon t-shirt qui me déclame comme un donneur d’orgasme.
Bruce- Personnnne ne fait Des culbutes comme Bruce Changer de slip comme Bruce Personne ne se bat avec son gros marteau comme Bruce Mais je suis particulière bon pour provoquer des orgasmes
Je réponds alors avec une voix aguicheuse.
Bruce- Brucie c’est le pied!
Je continue à chanter joyeusement tout en gambadant comme une écolière allant à l’école. Mon kilt montre un peu la peau de mon cul ou bien ma devanture à l’occasion. Même un peu de gigue irlandaise en boni!
Bruce- Depuis que je suis tout petit Je me branle à chaque matin Pour bien me réveiller Mais maintenant que je suis membré comme un taureau J’ai besoin d’autres mains et voulez-vous m’aideeeer
Personnnnnnnne Ne blague comme Bruce Ou provoque comme Bruce Personne n’a un si gros égo que Bruce Personne ne dispose d’un si gros zizi que Bruce
Je suis tout ça et même plusssssssssssssssss!
Je finis alors en levant les mains au ciel et en tournant sur moi-même. Je suis flamboyant et merveilleux. Ensuite je m’assoie à mon tour et leur fait un sourire ravageur en enfilant mon casque à bière.
Bruce- Bruce c’est moi! Et vous c’est quoi votre jolie petit nom? Aussi tu peux me dire ce qu’un trou pareil fait dans des belles femmes comme vous? Oups, des belles femmes font dans un trou pareil.
Je la dévore des yeux tout en siphonnant la bière placer sur mon casque à visière. Hors la plaie de son bras me fait stopper et aussitôt je désigne l’une des demoiselles.
Bruce- Votre jour de chance mes sexy compagnes d’aventures. Je suis infirmier de combat et spécialiste des bandages et des piqures. Près de mon sac Dora il y a une trousse de premiers soins. N’ouvrez pas le sac Dora Gertrude la poupée gonflable ne sera pas contente et ce sera le bordel dans ma collection de moule-couille.
Dès que la sacoche médicale arrive je laisse mon art se propager avec professionnaliste et surtout compétence. Gestes précis, bonnes questions et coups d’œil aucunement discret dans les décolletés présent. Je me sens comme un homme pieux entourer de saints et qui ne sait plus à quel sein se vouer…
Toi aussi tu aimes jouer ? J’aime bien quand tu racontes des conneries, alors si tu en racontes, moi aussi !
Feat. Bruce et son Brucie Junior !
A l’intérieur de la Mairie, les trois jeunes femmes se sentaient relativement en sécurité, elles devaient quand même faire attention parce que personne n’était à l’abri d’une attaque de rodeurs ou bien de l’arrivée d’un autre groupe voulant s’accaparer l’endroit surtout lorsque ce dernier était aussi confortable que celui-ci, mais elles avaient pris l’habitude. Une habitude qui avait été des plus simple à adopter parce que la nouvelle réalité s’était imposé avec une rapidité déconcertante à elles, Inès se souvenait encore de cette douloureuse sensation qui l’avait prise aux trippes lorsqu’elle avait compris qu’elle ne reverrait plus jamais sa famille. Ses deux amies étaient devenues sa nouvelle famille, elles se protégeaient entre elles, après tout, elles se connaissaient depuis l’enfance. Aujourd’hui encore elles avaient eu de la chance mais pour combien de temps encore ? Combien de temps pourraient-elles tenir ? Combien de temps avant que l’une d’entre-elles se fasse mordre ? Inès refusait de laisser ses pensées aller dans ce sens là, elle préférait s’amuser et se dire qu’elles seraient peut-être les dernières femmes sur cette foutue Terre. Elle avait une plaie, c’était bien mieux qu’une morsure, puis elle ne l’avait pas empêché de prendre le pied de biche lorsqu’elle avait entendu du bruit, découvrant un homme assis derrière le comptoir. Qui était-il ? Est-ce qu’il était seul ? Elles allaient bien vite le savoir !
Il semblait assez grand, le regard perçant, et sans savoir pourquoi, Inès se sentie bien moins menacée en l’espace de quelques secondes. Il y avait chez cet homme une bonté naturelle qui se dégageait, un soupçon de folie également en le voyant les pieds sur le bureau, une revue de presse dans les mains mais surtout un kilt qui remontait un peu le long de ses cuisses et un t-shirt des plus explicites qui la fit pencher son visage sur le côté avec un sourire sur ses lèvres. Le pompon sur la Garonne fût bien évidement ce casque à bière, et Inès entendit Diana demander qui était cet homme alors qu’elle-même regardait les quelques marques visibles sur la peau de l’homme, voyant que l’inconnu semblait aimer s’amuser et jouer. Elle riait déjà lorsqu’il les appela les Charlies Angels, encore plus lorsqu’il jouait la comédie du standardiste avant d’enlever le casque à bière pour dévoiler une chevelure blonde, mettant une mélodie qu’elle reconnu bien vite, ses deux yeux s’ouvrant rond en entendant les premières notes d’une musique du dessin animé la Belle et la Bête.
- Oh trop bien une comédie musicale !!!!
Inès avait tapé dans ses mains avant de prendre Angela par le bras, se collant à elle, posant leurs têtes l’une contre l’autre pour regarder Bruce commencer ses premières notes. Elle se balançait d’un pied à l’autre, voyant l’homme passer par-dessus le bureau, riant encore plus en voyant le kilt se soulever et laisser entrevoir un peu plus qu’un peu de peau. La jeune femme n’était pas du genre à s’offusquer de telles visions, ceux qui jouaient les offusqués étaient de grands menteurs ! Qui donc n’avaient jamais mis un film pornographique pour le plaisir ? Inès en avait vu, parfois même lorsqu’elle n’était pas seule, assise dans le canapé les pieds sur la table basse avec une bonne bière à la main et un saladier de pop-corn. La jeune femme se balançait d’un pied à l’autre en entendant le rythme du refrain, chantonnant le rythme en riant des paroles. Elle le regardait prendre des cannettes de bières, gambadant, sautant presque pour les poser proche des trois filles et Inès leva sa cannette lorsqu’il reprit la chanson, rendant un hommage à cet inconnu amusant, se délestant de son arme en même temps qu’Angela et Diana.
Elles avaient rapidement compris que l’homme s’appelait Bruce, le voyant se rapprocher et lorgner dans le décolleté ce qui la fit lever les sourcils mais aussi garder son sourire, le laissant tourner tout en sachant très bien que l’homme ne se cachait pas d’observer les courbes des trois femmes en face de lui, et comment lui donner tort ? Même Inès se matait devant le miroir lorsqu’elle sortait de la douche, enfin c’était surtout pour être sûre de ne pas perdre trop de poids, elle ne voulait surtout pas devenir trop mince, ne comprenant pas ce « critère » de beauté. Elle lui lança un petit regard qui signifiait « Je sais » lorsqu’il parla de son derrière dans le jean, se laissant emmener vers une chaise où elle prit place, le laissant reprendre la chanson, faisant des prouesses acrobatiques et Inès chopa même un des boxer en vol telle une groupie ! Autant entrer dans son jeu et lui offrir un public à la hauteur de ses talents non ?
Les paroles étaient loufoques, il n’avait pas froid aux yeux, à croire que la fin du monde rendait tout le monde un peu plus débridé, la peur de crever n’importe quand peut-être ? Lorsqu’il avait parlé de sa trique et du fait qu’il avait besoin d’aide pour le matin, Inès pencha son visage sur le côté comme pour regarder sous le kilt en lui faisant un clin d’œil amusé. Puis il avait fini sa chanson, levant les mains au ciel, tournant sur lui-même avant de remettre son casque à bière sous les applaudissements de la jeune Lestrange. Elle leva une nouvelle fois sa cannette avant de boire une grande gorgée et de lui sourire.
- Enchantée Bruce. Je m’appelle Inès, et voici Angela et Diana. Tu veux peut-être qu’on te dise bonjour comme l’auraient fait les Charlies Angels ? Bonjour Bruciiiie !
La jolie demoiselle lui fit un clin d’œil avant de rire et de le voir reprendre un peu de sérieux, invitant Diana à prendre à côté d’un sac à dos Dora une trousse de soin ce qui fit rire une fois de plus Inès.
- Un sac Dora ? Je pensais en te voyant que tu serais plus Babar ou Barbapapa. Mais, ça te va bien Dora, j’imagine que tu en as même la tenue, à moins que tu n’aies que ce beau t-shirt donneur d’orgasmes.
Elle ne bougeait pas son bras, bizarrement elle avait confiance en cet homme, elle se sentait en sécurité malgré le fait qu’il soit siphonné du bocal. Inès le laissa faire, le voyant reluquer quelques fois le décolletés et elle but une nouvelle gorgée avant de lever doucement son pied pour soulever le kilt de quelques centimètres.
- Si tu mates sans payer, je fais de même ! On vient de nous faire une grande déclaration sur une queue si grande qu’il faut plusieurs mains ! Personnellement, je n’ai vu ça qu’une fois dans ma vie, et l’homme était de l’autre côté de la télévision. C’était quoi déjà ce film Diana ? Je me souviens plus du nom de cet acteur, mais on s’était dit que si gros, ça doit faire mal.
Inès haussa les épaules tandis que Diana la regardait en hochant négativement la tête. Ni l’une ni l’autre ne se souvenait de ce film. Qu’importe … elle se mit à fredonner quelques paroles qu’il venait de chanter, le laissant continuer son atelier de couture.
Inès, Angela et Dana. J’adore ces prénoms qui me font tellement penser èa des starlettes de films à caractères de cul ou bien une vocation dans des bars où elles devaient ramasser de l’argent à la pelle pour leur cours de médecine. Quand leurs belles voix aguichantes s’élève mon Brucie Jr relève fièrement la tête provoquant un serrement jouissif dans mon kilt. Oui mon immense piquet de tente qui peut embrocher des tantes est au garde-à-vous et la bosse immense visible de la lune. Le petit coquin il a entendu son surnom et il est curieux, toujours partant pour explorer des cavernes humides de plaisirs charnelles et orgasmiques.
Bruce- Vous voulez être mes Brucie Angel? On fera un team du tonnerre!
Quand on fait mention du sac à dos qui me rappelle celui de ma plus jeune, je rigole et secoue la tête.
Bruce- Ça me rappelle l’époque où j’étais un bon flic et père de famille. Maintenant je suis explorateur comme elle. Il me manque le macaque à bottes mais je peux te dire que je n’ai pas besoin de carte pour faire découvrir les orgasmes à répétions et faire crier mes trésors du moment ‘’ We did it!’’ à plusieurs reprises. Mais si çca vous branche je me déguise en Dora quand vous voulez.
Un air sournois et pervers tout à fait hilarant se peint sur mon visage.
Bruce- Mais tu as raison. J’ai une collection de slip hilarant et je prends les plus beaux costumes que je trouve. Et si vous voulez les Brucie Angels je dois en avoir pour vous aussi!
Je ne dis que la vérité. Demandez à mes nombreuses clientes satisfaites de par le monde et sûrement à ma trainée de descendants… En fin ceux et celles qui ne sont pas fait bouffer par les Michael Jackson en maraudes. Bon passons un peu sur mes faits d’armes de jouissances de globetrotter et de mercenaire beau comme un dieu de l’olympe. Quand ma patiente lève du pied mon kilt, je m’écarte mes jambes sans gêne et surtout pour rigoler car la boite de son soulier effleure déjà la tête mauve de cracheur d yogourt de mon gros minet qui recherche de la chatte. Tout en finissant mes points de sutures sur cette déesse de l’érection je fais un grand sourire ravis comme un gosse devant un magasin de jouets.
Bruce- Gâte-toi ma championne…. J’ai quitté la pudeur il y a des lustres. Ou il y a de la peau et du latex il y a du plaisir non? Et d’expérience la douleur est passagère mais l’orgasme dure bien plus longtemps. Le film ce n’était pas Queue de Béton et couilles d’acier, les aventures d’un couillu dans son odyssée sexuel? Car oui c’était lors de mon passage à l’université ça à l’air que ça a été dans l’anale…. Annales désolé des films de cul mon bref passage.
Je fini de la recoudre et met un peu de bicarbonate de soude pour favoriser la cicatrisation et ne laisser aucune marque. Je range alors avec professionnalisme mon équipement et je souris à mes super copines tout en sirotant la paille de mon casque à bière. Ça doit faire quelques minutes que je n’ai pas faites de conneries ou bien être provoquant. Donc voilà ma parfaite imitation de Sharon Stone. Je mets ma jambe par-dessus l’autre et voilà le mouvement tout sensuel. Je déplie, laisse Brucie Jr respirer un peu à l’air libre et je croise de nouveaux mes belles jambes poilus cachés par mes chaps de cuirs. Sourire ravageur et clin d’œil complice avant de rigoler. Après mes imitations réussies je hoche la tête en rigolant doucement. Malgré mes provocations je ne traverse pas la limite de les toucher sans leurs consentement. Plusieurs auraient déjà franchit cette ligne, mais moi je suis respectueux malgré mes conneries de gamins pré pubère.
Bruce- Moi je suis comme le moine. Je me promène mon gros moineau èa la rencontre du bonheur et de la joie du moment.
Je rigole doucement et je leur lance un sourire de guignol irrésistible numéro 33, le dévastateur.
Bruce- J’étais pour affaire par ici quand les Michael Jackson se sont lever. J’ai bien essayé de leur montrer la chorégraphie, mais les bougres ont un excellent gout car ils voulaient me bouffer le cul. Au moins mon entrainement de médic de combat dans une unité spéciale et mon passé de flic et de SWAT m’a aider… Tout comme être le putain de champion de lame-vive pendant 3 ans aux USA. J’ai trouvé mon Bec de Corbin et après avoir défoncé le cul d’un violeur qui s’en prenait à une survivante, je l’ai nommé le Penetrator.
Je baisse un peu le regard d’azur renversant que je possède et rajoute tout bas.
Bruce- J’essaie d’aider, de soigner et remonter le moral des survivants… Je me promène de groupe en groupe pour enseigner les bases de la médecine car èa ce que j’ai compris il reste peu de spécialistes de la santé…
Je relève la tête avec un sourire immense et comique à souhait.
Bruce- Et en plus je suis un donneur d’orgasmes certifier. Donc je sème le bonheur un cri de jouissance à la fois.
Je me lève alors et je fais le robot, regard fixe et tout. Je démarre alors la musique du film Terminator pour la mise en scène loufoque.
Bruce- Je suis le Bruceminator. Un robot sexuel super performant venu d’un futur où l’orgasme était devenu incertain. Je suis ici pour apprendre les bases de la baise et du désir à des femmes sélectionner sur le volet qui vont pouvoir transmettre les leçons longues et dures apprises durant des nuits déchainés. Voulez-vous être Brucecuter?
Je rigole alors bien heureux de déconner comme il faut malgré mon érection à plusieurs mains caché par mon kilt. Je me rassois et dis le plus sérieusement du monde.
Bruce- A vous de choisir laquelle de ces histoires est vrai. Et vous les Angels que faites-vous par ici?
Toi aussi tu aimes jouer ? J’aime bien quand tu racontes des conneries, alors si tu en racontes, moi aussi !
Feat. Bruce et son Brucie Junior !
- On est pas certaine qu’une vie féminine puisse convenir à un homme aussi fort et robuste que toi Bruce. Tu es tellement viril dans ton kilt !
La jeune femme lui avait fait un grand sourire, les yeux pétillants de malices alors qu’elle le regardait faire. Elle se doutait bien que la solitude pouvait peser à l’homme qu’il était, mais elle comprenait aussi l’attitude de Diana qui s’était un peu rapprochée. Les deux amies étaient bien proches, parfois plus proche que deux simples amies, et en ces temps troublés les rencontres étaient toutes très dangereuses. Qui pouvait certifier que l’homme – bien qu’amusant – en face d’elles n’était pas un dangereux psychopathe ? Et qui pouvait en retour certifier que les trois jeunes femmes n’étaient pas dangereuses ? Faire confiance dans cette période de leur vie, voilà qui était un véritable challenge. La discussion était devenue plus sérieuse alors qu’il avait vu la plaie qu’elle avait au bras, et de nature taquine, Inès lui avait lancé une légère boutade et Bruce avait laissé sortir un peu de rire avant de secouer la tête et de reprendre la parole.
Inès avait levé les yeux au ciel, réellement amusé par ce qu’il venait de dire, bien qu’attristé de voir qu’il avait perdu femme et enfant comme il venait de le dire. Néanmoins il semblait réussir à passer d’un état à l’autre, surement que la perversité de la discussion aidait car son regard et son sourire était lubrique tandis qu’elle levait les sourcils.
- J’imagine que ce sont d’anciennes tenues de strip-teaseuses ? On est plus dans le cosplay, je me vois bien en princesse comme … Vaïana ? Diana ce serait Elsa et Angela ce serait Jasmine. Bonne idée tu ne trouves pas ? Ou alors, en Super Nana, je ne sais pas si tu connaissais ce dessin animé, ou encore en super-héroïne. Tu aurais Angela en Capitaine America – un comble quand on sait qu’elle est mexicaine et que les amerloques les ont jamais vraiment kiffé – tandis que Diana pourrait être en Thor et moi je prends le rôle d’Iron Man. Enfin, Iron Girl !
S’il pensait que les jeunes femmes en face de lui avaient froid aux yeux, alors il se mettait le doigt dans l’œil jusqu’au coude, voir même jusqu’à ce qu’il parvienne à se faire lui-même un toucher rectal. Inès avait bien vu sa manière de reluquer, quel était le mal à se rincer l’œil après tout ? La plupart des femmes que Bruce avait dû rencontrer ces derniers temps avaient la bouche bien pendante mais pour d’autres raisons. Pourtant, était-ce une raison pour ne pas partager ? Donnant-donnant n’est ce pas ? Il reluquait, alors elle avait du bout du pied relevé un peu le kilt, laissant entrevoir son Brucie Junior. Avec beaucoup de sérieux – bien qu’ayant écarté un peu ses cuisses pour mieux montrer son attirail – Bruce avait terminé de faire les points de sutures alors qu’Inès continuait de parler.
L’aveu de soirées entre filles à mater des films pour adultes, souvent avec un saladier de pop-corn sur les genoux, emmitouflées dans un plaid et parfois se laissant prendre au jeu et partageant quelques soupires, tout dépendait du moment en vrai. Elle rigola lorsqu’il suggéra quelques noms de films avant de lever un sourcil et d’observer son pénis avec concentration.
- Non … non ce n’était pas ça. Je la reconnaitrais, mais ce n’est pas elle. L’autre était plus imposante encore, et moins poilue.
Elle lui fit un signe de tête entendu avant de rire. Est-ce que c’était vrai ? Inès ne le savait même plus en vrai, mais l’acteur avait fait de nombreux films, elle s’en souvenait car avec Diana elles avaient continué à chercher certains de ses films pour rire devant certains visages d’actrices. Quel plaisir à prendre si tout vous déchirait ? Non, Inès n’était pas contre les gars bien membrés, mais pas pour avoir la larme à l’œil à chacun de ses passages ! En tout cas, l’homme avait un sacré sens de l’humour, il n’y avait pas beaucoup de gênes dans ses faits et gestes, et la discussion était assez agréable, surtout que même si les allusions étaient salaces, Bruce n’avait aucunement eu un geste déplacé ou une once de manque de respect envers les trois jeunes femmes. Puis il aimait bien refaire quelques moments de film, dont une célèbre scène de Sharon Stone et Inès eu un grand rire en sa compagnie.
- Sharon était quand même plus sexy que toi dans cette scène, désolé Bruce.
Et quelque part, elle en était réellement désolée en plus. Il expliquait ce qu’il faisait à présent, se baladant seul, avant d’entreprendre plusieurs théories qu’Inès écoutait avec attention, buvant presque ses paroles. Ce gars devait tellement être fort en improvisation au théâtre ! Inès aimait tellement ce genre de personnes qui ne se prenaient pas la tête ! Bizarrement, Inès se dit qu’il y avait un fond de vérité dans tout ce qu’il pouvait annoncer avant de terminer sa canette de bière.
- Oh … eh bien comment dire que là, tu es dans notre repère en faite. On vit ici avec les filles depuis le début de la pandémie. Mais si tu veux savoir ce qui nous a poussé à venir ici … on est d’anciennes étudiantes américaines qui - pour arrondir les fins de mois – se sont amusées à hacker et arnaquer bien des riches hommes d’affaires. Du coup on menait la grande vie, et on s’est retrouvée bloquée dans notre hôtel de luxe sans pouvoir retourner chercher notre famille, depuis on est toutes les trois.
Elle le regardait droit dans les yeux avant de hausser les épaules.
- Ou alors on est des anges venues du ciel pour t’accompagner dans ta sombre folie mon petit Bruce et qui vont t’accueillir quelques temps. C’est à toi de voir quelle vérité tu préfères.
Inès avait haussé les épaules tandis qu’Angela et Diana allaient voir si leur camp dans l’enceinte de la mairie était encore sur pied. La jeune femme n’enlevait pas son sourire de ses lèvres, inspirant doucement.
- On s’est aussi rendu compte que la plupart des personnes encore vivante au Mexique étaient d’anciens prisonniers d’une Île au large des côtes. Tu viens de là-bas ? Est-ce qu’on a la moindre raison de se méfier de toi ou de Brucie ?
Après tout, personne n’était à l’abri d’un prédateur sexuel.
Je les regarde les trois avec un air totalement loufoque et espiègle. Je pose mon index sur ma joue en tapotant comme pour réfléchir sérieusement. Je me marre un peu intérieurement car je ne suis pas sérieux pour un foutu instant et je songe à une partouse du tonnerre. Mais à voir comme les trois se dégustent des yeux, je crois qu’elles aimeraient bien mieux mon As de cœur, mon amie Riley si dur à cuir que j’ai l’air d’un morveux à côté d’elle. Quand les deux copines de Iron Girl se lève, je dépose mon index sur les lèvres pulpeuses de la belle et je laisse ma mâchoire tomber en regardant les jolies postérieurs et la démarche féline des poupées de désir de quitter les lieux. Quand elles furent parties je me tourne vers Inès avec un air complètement ahuri.
Bruce- Désolé mais je prends des photos mentales pour mes futurs soirées branlettes.
Clin d’œil complice et je fouille dans la poche de côté de mon sac à dos Dora pendant qu’elle me cause et me demande directement si je suis un de ces connards qui s’est échappé de la prison. Quand après avoir extrait des dés magnifiques pour jouer à Donjon et Dragon, des condoms fluo Magnum XL qui me sert un peu le Bruce, un poulet de plastique, un réveil matin je réussis à mettre la main sur l’objet de ma quête perso.
Bruce- J’adore l’idée du cosplay et j’ai même l’arme ultime contre la sexy Iron Girl que tu es…
Je dépose triomphalement mon ouvre-boite sur le bureau en rigolant doucement.
Bruce- Toi et tes copines vous n’avez rien à craindre. J’ai rien pris dans votre camp, sauf peut-être un string ou deux… Mais le fautif c’est Brucie.
Je grimpe alors mes bottes sur le bureau tout relaxe et je prends un instant pour réfléchir.
Bruce- Je crois que je devrais faire un historique de ma gueule et en même temps tu dis être une pirate informatique…
Je sors de la pochette de cuir de mon kilt mon passeport et ma carte de citoyen américain avec toutes les putains d’informations relatifs à ma sexy personne.
Bruce- L’ordinateur fonctionne encore… J’ai été surfé tout à l’heure et je te pris de ne pas aller voir l’historique que je n’ai pas effacé car ça va briser mon image de puritain chaste et pur…
Alors vint la question à cent dollars de savoir si j’étais un vrai médic et surtout d’où diable venait le succulent mec qui faisait l’envie autant des morts que des vivants de ce côté de la péninsule du Mexique.
Bruce- Je suis né au New Jersey… Non ça c’est trop loin tu préfères surement depuis que j’ai parti chasser Senior Coca?
Clin d’œil complice et j’avale une peu de bière en la couvant d’un pathétique et rigolo regard séducteur de mon cul poilu.
Bruce- Oui après l’université j’ai été médic dans les Marines, ensuite flic dans la Grosse Pomme Pourrie et SWAT aussi. Après on m’a fait une offre pour intégrer un truc de la CIA pour faire des trucs que les USA n’aurait pas approuvé mais était bien content pour sa protection.
Alors la nostalgie me mord au cul et calme temporairement Brucie Jr qui va couche-couche panier. Je m’ennuie tellement des femmes de ma vie.
Bruce- J’ai reçu un tir de mortier à la gueule quand je couvrais mon unité. J’ai un trouble dans ce beau corps d’apollon, une insensibilité totale à la douleur. J’ai pu me faire des premiers soins et me sauver le cul, mais ça m’a foutu KO assez longtemps pour que ma famille se fasse buter par des enfoirés d’un cartel de drogue de mon cul. Pour te situer l’explosion du bâtiment du FBI au Texas en 2010.
Si je n’aurais pas été blessé et dans l’inconscience j’aurai pour les sauver. Mourir avec eux au moins. Ben non j’étais trop occuper à jouer les belles au bois dormant et j’attendais le baiser de mon prince charmant pour lui casser la gueule. Je vais m’en vouloir pour la vie d’être encore là. Je rigole doucement et tout à coup je deviens sérieux.
Bruce- J’ai couru de par le monde, flinguant ceux qui se pensait intouchable. Moi je ne me gênais pas pour les toucher bien en profondeur. J’ai jonglé avec des grenades dégoupillé pour me foutre de leur gueule, j’ai brûlé des champs de coca au lance-flamme et j’ai planté Brucie Jr dans tellement de bordels que si je ne serais pas vasectomisé j’aurai des héritiers de chaque nationalité. Mais je suis clean pas morpions ou autres trucs. Je me suis faire des chouettes tatouages et des trucs de dingues aussi. Je fais tout pour m’amuser terriblement avant de quitter les bottes devant.
Je rajoute d’une voix douce et triste à la fois.
Bruce- J’ai tué chaque responsable de la mort de Zayna et des gamines de la manière salope et dégueulasse. Les démons doivent les enculer à sec pendant qu’on parle.
Je me secoue la tête au lien de secouer mon Brucie Jr et je la regarde avec un sourire ravageur. Je lui fais situer mes actions de par le monde et en plus elle voir ma dernière date sur mon passeport, l’arrivée par ici peu avant le déclenchement de cette merde mondiale.
Bruce- Surprenant pour une belle gueule comme moi n’est-ce pas? Je ne suis pas du style à violer tu sais… Si la dame est consentante on s’amuse et elle gagne des orgasmes à répétitions. J’ai déjà eu une femme fontaine qui avait le feu le cul… tu aurais dû voir la vapeur dans la chambre…
Une autre blague à la con je crois qu’elle connait le goût douteux de la maison. Je lui donne la conserve et je la reluque ouvertement pour notre plaisir commun. Car là je prends une tonne d’images mentales pour les prochains soirs de branlettes.
Bruce- Si vous voulez que je reste avec vous pour un temps ça me va tu sais… Je suis propre et je ne demande aucun effort… Je peux me promener nu pour faire respirer Brucie Jr, mais je crois que toi et tes copines vous aimer mieux brouter la moquette que les saucisses jumbo? Car si c’est le cas je vais faire des blagues mais pas touche c’est sur… mais si vous jouer à la lutte les trois ensembles je pourrais rester dans l’ombre pour zieuter et respirer fort?
Toi aussi tu aimes jouer ? J’aime bien quand tu racontes des conneries, alors si tu en racontes, moi aussi !
Feat. Bruce et son Brucie Junior !
Inès n’avait pas cillé lorsque Bruce avait déposé son index sur ses lèvres, dans une demande tacite à ce qu’elle garde le silence et lui laisse tout le loisir de reluquer ses deux amies. En vérité, elle avait également tourné son regard et avait regardé Angela et Diana quitter les lieux pour les laisser en tête à tête, Inès se plaisait à observer les courbes de ses deux amies, des courbes qu’elle connaissait par cœur mais qui lui plaisait tant de regarder de nouveau, cette fois-ci en compagnie de Bruce qui avait laissé tomber sa mâchoire tel le loup dans les dessins animés Tex Avery, et Inès l’avait alors regardé avec un air qui signifiait « eh ouais … elles sont carrément canon ! » tandis que l’ancien militaire reprenait la parole avec le même tact et la même finesse que ce qui le caractérisait depuis le début de la conversation. Autant dire, que la jeune femme avait bien rigolé avant d’ajouter avec un clin d’œil.
- Je dois bien avoir quelques véritables photos, mais je ne suis pas certaine qu’elles te plaisent. Les filles y sont bien trop peu vêtues, tu sais, c’est le genre de photos que trois filles peuvent faire après avoir un peu trop picolé alors qu’elles dorment dans le même lit, visionnant un film de cul, et avec une terrible mais vraiment terrible envie de s’envoyer en l’air.
Autant dire, qu’il n’y avait pas plus suggestif comme photos, et qu’il s’agissait même de véritable représentations de kamasutra lesbien. Inès riait, elle savait bien que l’esprit de Bruce ferait le reste, et en vérité, elle devait réellement avoir quelques unes de ces photos. Lui suggérer d’en faire de véritable s’il restait avec elles bien que peut-être moins intimes ? La jeune Lestrange n’en était pas encore là, même si Bruce avait une très belle gueule et que surement plus d’une femme avait voulu se le faire dans la vie d’avant, tout comme le fait qu’il représentait peut-être l’un des derniers hommes non dégueulasse qui peuplait encore Cancun. Pour autant, est-ce qu’une bonne gueule pouvait inspirer véritablement confiance de nos jours ? Surtout lorsqu’Inès savait que l’ensemble d’un pénitencier sévissait depuis quelques temps dans la ville, et Bruce pouvait très bien y avoir passé quelques mois et chercher à se venger à présent ou faire régner sa loi. La jeune femme ne voulait pas que sa sécurité et surtout celle de ses amies soient en danger.
Il sortait de son sac diverses affaires, faisant lever les yeux au ciel à Inès en voyant certaines choses loufoques comme le réveil matin avant qu’il ne dépose un ouvre-boite sur le bureau tout en lui assurant qu’elles n’avaient rien à craindre, qu’il n’avait rien prit sauf peut-être quelques sous-vêtement et Inès pencha son visage sur le côté, comme exaspérée même si son ton montrait clairement qu’elle en était amusée.
- Brucie ! Tu abuses ! Tu ne sais pas à quel point c’est compliqué de trouver des sous-vêtements neufs à présent ! J’espère au moins que c’était des anciens modèles !!!
L’homme en face d’elle était très à l’aise et ce n’était pas Inès qui allait l’arrêter, surtout qu’il « passait à table », donnant quelques informations sur lui, son passeport qu’il lui présentait et qu’elle observa d’un rapide coup d’œil avant de se lever et de se diriger vers l’ordinateur. Il ne fallut que quelques secondes à Inès pour passer les divers contrôles de l’équipement, et quelques secondes de plus pour avoir un rapport détaillé sur Bruce Smith et ses nombreux faits d’armes, des informations relatives également aux décès qui l’affectaient mais Inès était rapidement passé dessus comme pour montrer que toute cette histoire ne la regardait pas et qu’elle lui laissait même sa part d’intimité. Elle ouvrit néanmoins une seconde fenêtre, ressortant tout l’historique des sites avant de le regarder en levant les yeux au ciel.
- Sérieusement ? Traitre une vache ? Allons Bruce … ah voilà ! Comment rétrécir son pénis, voilà qui est mieux ! Et j’aime bien aussi ta recherche sur le bondage, plutôt agréable quand c’est bien réalisé.
Inès lui avait fait un clin d’œil, hochant doucement son visage en l’écoutant et en voyant les informations qu’elle avait sous les yeux, pourtant elle profita aussi de ce moment là pour chercher si d’autres survivants dans le monde arrivaient à user des moyens informatiques, soupirant en voyant que ce qu’ils vivaient à Cancun était un phénomène mondial. Les chances de retrouver une civilisation s’éloignaient de plus en plus … en écoutant l’ancien militaire parler, elle pouvait ressentir toute sa peine d’avoir perdu femme et enfants, il avait eu une vie remplit, allant représenter son pays dans les marines en étant médecin, ses états de services étaient bons, mais comme toujours cette vie était une chienne et il en faisait les frais. Parler de tous ses faits d’armes, de ce qu’il avait fait ensuite avait une consonance des plus tristes, Inès voyait bien que tout ce qu’il faisait était dans le but de retrouver un semblant d’humanité et de joie, bien qu’après tout il avait eu sa vengeance. D’un ton entendu et compatissant, la jeune Lestrange lui posa la main sur la sienne.
- Je suis désolée pour toi et pour ta famille. Mais Bruce, jouer les suicidaires dans ce monde ne t’apportera rien de plus, si tu es encore vivant c’est bien pour faire quelque chose de bien, tu pourrais sauver des vies, aider les gens, il ne faut pas que tu vives seul tu sais ?
Il avait un bon fond, il avait de l’amour à revendre, il avait une étincelle qu’il fallait raviver voilà tout, et Inès avait encore foi en l’humanité pour se dire que ce mec là pouvait faire de belles choses. Alors lorsqu’il lui fit un sourire ravageur, Inès le lui rendit, regardant brièvement ce passeport qui annonçait qu’il était arrivé sur Cancun peu de temps avant la merde qu’ils vivaient. Le même jour qu’elle, surement même qu’ils avaient été dans le même vol ! Taquine elle lev a un sourcil, sourire en coin, il était sérieux ? Il venait de parler des évènements les plus tristes de sa vie moins de deux minutes avant et à présent il ne pensait qu’à une chose, lui refaire le cul ? Inès prit la conserve, et se servit de l’ouvre boite donné quelques instants auparavant pour l’ouvrir tout en soupirant.
- J’avoue que je préférai l’époque où l’hygiène était plus présente, au moins les queues sentaient bon le savon, faut dire que les gars quand vous transpirez … ce n’est pas la meilleure des odeurs. Après, j’admets avoir envie de te faire confiance, tu me plais bien, tu as l’air sympa et je pense qu’on va bien s’entendre toi et moi, donc si tu me dis que tu n’es pas un violeur, je ne vois pas ce qui me ferait douter de ta parole.
Elle s’était levée pour venir se poser sur le bureau, regardant l’ancien militaire avec un grand sourire jovial.
- Après, je te vois nous regarder, je sais ce que tu es en train de faire, je connais bien les hommes. Sans nous vanter, je sais que les hommes désirent, et en général trois jeunes femmes font fantasmer, surtout que je sais que nous sommes belles, donc … étant donné que c’est la fin du monde, je ne pense pas que ça dérangera que tu nous mattes en plein ébats. Sur le fait de te promener nu, d’accord, après tout même si on aime brouter la moquette, qui te dit qu’on est contre les saucisses jumbo ? Non, on est plus à partager, surtout avec Diana, on aime bien s’échanger nos conquêtes et parfois même leur offrir le double plaisir, qu’importe si c’est une femme ou un homme, mais te met pas trop vite au garde à vous, c’est pas parce que je te dis ça que je vais te tailler une pipe.
Inès lui avait fait un clin d’œil amical.
- Si tu restes, il faut aussi que tu saches qu’on aime aussi se balader à poil, donc j’espère que tu ne nous claqueras pas entre les doigts en nous voyant. Essaie de ne pas te promener en tenant Brucie Junior en main tout le temps, on pourrait se lasser, une fois de temps en temps c’est agréable, mais pas tous les jours … sauf si on te le demande. Ah, et il faudra aussi que tu nous aides : on part souvent chercher des habits, des ressources, et on essaie de garder notre petit QG contre les geeks et les salopards de la prison. Est-ce que ça te convient ? AH j’oubliais … si tu as une amie encore en vie, emmène là nous, promis tu pourras mater et peut-être même participer !
Eclatant de rire, la jeune femme présenta sa main, comme pour sceller l’accord, le regardant droit dans les yeux avec un air pétillant sur le visage.
Le membre 'Bruce Smith' a effectué l'action suivante : Votre vie est en jeu...
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Bruce Smith
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Ven 15 Jan - 14:43
Chat perché !
Je l’écoute et je me marre bien comme il faut. Touché coulé elle a eu mon porte-avion la petite maligne. Pour la faire rigoler je me sens l’aisselle et je fais une de ces faces dégoûté comme une vieille religieuse qui vient de voir des hommes sur une plage nudistes. J’ai l’air triste quand elle me dit que je ne pourrais pas me promener à poil tout le temps et ensuite je relève la tête en prenant la mouche comme une vierge offensé.
Bruce- Ma chère je croyais qu’avec ce que tu as pu apprécier tout è l’heure, tu te doutes que j’ai besoin de mes deux mains pour maintenir mon coquin quand je suis à poil… Mais promis je vais garder mon kilt et quand je vais vouloir être fantastique je vais porter mes bottes à talons hauts pour faire du pole-dance.
Je me relève comme si j’étais monté sur des ressorts et je lui sers la main avant de l’entrainer dans une danse improvisé et des plus comiques. Je lui fais un reverser et je soulève mes sourcils en mode gros pervers è deux balles.
Bruce- Tu vas voir un Bruce ça vaut le détour.
Je la remets sur ses pieds et je prends mon sac à dos de Dora l’exploratrice trop fashion et je fais un baiser envolé des plus aguicheurs.
Bruce- Je vais voir si Riley est partante. Elle m’a laissé ce matin pour essayer de trouver de la bouffe au Wally. Je vais y aller et trouver de quoi fêter et bien bouffer ce soir.
Je sors en me dandinant le cul. Je farfouille à droite et à gauche dans les divers magasins pillés et j’ai une de ces chances de cocu. Une tente avec une douche de camping. En plus du savon. Les filles vont tellement se trémousser sous la douche et je sens que moi aussi je vais frotter. En plus sous un comptoir défoncé comme le cul d’un type après un rave dans le quartier gay je trouve littéralement le gros lot. Quelques arbalètes de chasses, des carreaux et même des carquois. Le pied totale et je m’imagine déjà à montrer aux Bruce Angels comment utiliser ces trucs. Je vais suivre de près leurs progression et j’adore étudier en profondeur. Mais pas de trace de mon As de cœur. En marchant dans ce paysage complètement laisser à l’abandon, je suis étonné de ne pas voir monsieur cannibale qui ne vit plus, ou bien des vrais comme Hannibal, de se promener en farfouillant partout.
Bruce- Bordel les zombies sont invités à une fête! Ils ont oublié de le dire à leur vieux copain Bruce? Je suis tout tristounette! Si je les attrapes je vais leur planter mon marteau dans la tronche pour leur apprendre que ce n’est pas sympa de me laisser tout seul comme un gland dans le sable.
Je fais même « exprès » pour frapper du pied une conserve qui rebondit sur le bitume. Rien du tout. Je place alors mon écouteur dans mon oreille gauche et je fredonne en même temps que le chanteur un vieux tube des années 70. Je me fous du bruit et je commence à chanter d’une voix de fausette et amusante tout en sifflotant quand c'est le moment.
Bruce- Here's a little song I wrote You might want to sing it note for note Don't worry, be happy In every life we have some trouble But when you worry you make it double Don't worry, be happy Don't worry, be happy now don't worry Ooh, ooh ooh ooh oo-ooh ooh oo-ooh be happy Ooh, ooh ooh ooh oo-ooh ooh oo-ooh don't worry, be happy Ooh, ooh ooh ooh oo-ooh ooh oo-ooh don't worry Ooh, ooh ooh ooh oo-ooh ooh oo-ooh be happy Ooh, ooh ooh ooh oo-ooh ooh oo-ooh don't worry, be happy Ain't got no place to lay your head Somebody came and took your bed Don't worry, be happy The landlord say your rent is late He may have to litigate Don't worry, be happy Oh, ooh ooh ooh oo-ooh ooh oo-ooh don'...
Ça met du pep dans une expédition qui va être trop longue. Mais je suis arrêté alors en plein milieu de ma chanson par un cri d’épouvante. Mon sang se fige et même mon érection quasi-permanente retombe. C’est celui d’une femme car je l’ai entendu plus qu’une fois. Putain de merde je me revoie dernièrement avec une survivante qui était encerclé par des bouffeurs de chairs. J’ai arrivé trop car elle fut mordue. Elle m’a supplié de la tuer et ma santé mentale fragile en a pris pour son rhume. Alors pas cette fois si je peux réussir à intervenir comme Batman. Je m’élance et j’arrive en dérapant dans une sorte de terrain vague clôturé avec des bagnoles abandonnées. Le coin favori des violeurs et des pourritures qui ont un phallus de la taille de mon petit doigt. J’arrive au moment où trois types semblent maintenir un superbe corps sur le capot d’une voiture. L’un la gifle violement et aussitôt me voilà le méchant Brucie. Le genre de type qui va te marteler les couilles avec son marteau pour te les faire recracher et qu’ensuite il va te les faire ravaler pour recommencer juste à l’infini et plus loin encore. Je suis encore loin et là c’est le sprint de la mort quand celui qui se tient un peu les burnes ramasse le couteau pour menacer la demoiselle hurlante. Celle-ci s’arrête sous la menace et je me promets de lui faire avaler son couteau par le cul à ce type. J’arrive donc au moment pour capter quelques mots de la pourriture qui essaie de relever la manche du manteau de la femme qui se remit à se débattre avec l’énergie du désespoir.
Mauvais type- Tenez la bien les gars, j’vais lui faire la marque du gang sur le bras, histoire qu’elle nous oublie pas.
Les deux autres se mirent à ricaner comme des hyènes dans le Roi Lion. Tiens je pourrais jouer le macaque qui sait? Ils ne m’ont pas entendu arriver malgré le fait que je suis aussi discret qu'un éléphant qui tombe sur le cul. Je me plante derrière eux et je leur dit avec toute la haine que me provoque cette scène que tout bon père de famille ne voudrait jamais voir.
Bruce- Vous êtes en train de d'essayer de vous taper une demoiselle à trois gang d'enfoirés.... C’est moi ou vous ne valez pas un pet de lapin mort dans un sac de merde?
Hors maintenant je vois la femme et mon sang se fige. Riley… Couverte de sang qui semble essayer de respirer malgré la plaie béante qui lui lacère la gorge. Elle souffle mon putain de prénom et expire. Un peu plus loin je vois des corps au sol. Cinq. Ma badass favorite ne s’est pas laisser avoir sans combattre. Mon cœur se brise et je sais en cet instant que j’ai tout perdu. Mon ancienne vie… Tout… Il me reste que la rage et la folie et ça tombe bien je suis fortiche dans ces domaines.
Je commence par le type qui pense être un pirate avec un couteau de l’armée entre les dents. Je balance un coup de mon bec de corbin directement sur la garde de l’arme et le choc est bandant. Le gus recule en crachant la lame de combat, quelques dents et du sang en gueulant comme une vache amoureuse. Je rigole et aussitôt je me tourne vers l’autre qui manie une batte de baseball. Il se croit un cogneur de la ligue Majeur et me balance son arme vers ma tête. Dommage mon bouclier est là pour bloquer. Ça résonne comme un coup de gong et si je pourrais ressentir de la douleur j’aurai peut-être mal au bras pour peut-être m’empêcher de décharger ma sauce du chef ce soir. Il se replace en position et je vois une ouverture. Je lève bien haut ma bottine à cap d’acier direct dans la jonction de ses jambes. Le type hurle d’une voix de castra, la puissance de mon coup doit lui avoir émietté les burnes c’est sûr. Comme il me casse les oreilles, je l’assomme avec le bouclier en acier. KO et je danse un peu comme déconner. Monsieur Lapin attacher à ma ceinture danse avec moi. Mais un choc dans mon dos me fait arrêter. Je ne sens pas que le dernier type vient de me planter un couteau à cran d’arrêt direct dans l’omoplate, un peu plus et il perçait mon sac à dos Dora l’Exploratrice. Je me retourne et mon regard d’azur glacier brule de haine et de fureur. L’homme lève les mains, incrédule que je ne sois pas à terre en train de pleurer ma mère.
Type- Mec on ne veut pas d’embrouille. Cette salope à buter nos amis…
Je fais mon expression 23 de type en colère et sadique à souhait.
Bruce- Si c’était des enculés comme vous trois, je l’appuie… Peace mon frère… En passant dis-moi le nom de ton gang de merde
L’idiot fait le symbole de la paix avec ses doigts en me le disant. Je le fait aussi avec ma main qui tient mon marteau de guerre. Ensuite je l’envoie chier avec un doigt bien dresser et lui balance un coup au niveau de la tempe pour l’envoyer au sol en convulsion. Celui qui cherche ses dents à le cul bien dressé et j’ai une putain de bonne idée. Je pivote mon bec de corbin dans ma main gantée et je prends un élan. Je fais un arc parfait et le bout pointu pénètre entre les fesses du type. Il se redresse un instant sur le choc que le pique de métal lui déchire l’élastique brun et tombe dans les pommes en hurlant de souffrance. J’essuie alors mon arme qui semble avoir des résidus de merdes et de sang du cul du type édentés. Maintenant je suis en colère et je dois me défouler et les trois types vont en subir les frais. Disons simplement que même un Michael Jackson pourrait manger de la purée d’humain. Ensuite c’est la tristesse et je pleure. Je chiale comme un bébé en berçant mon amie, mon dernier lien avec le passé où j’étais encore un homme et un père aimant. Je sais qu’elle ne voudrait pas que les cannibales la bouffes, sauf si une nana d’enfer là c’est possible. Je lui fais un cairn et je fais une croix pour indiquer sa dépouille. J’accroche alors le collier ou ma Zayna et mes filles sont à l’intérieur du pendentif. Je retourne à la maisrie, trainant l’équipement de ma super copine et les provisions qu’elle à découvert. Je ressemble à un putain de zombie et je suis couvert de sang de mes combat avec en prime ce cran d’arrêt dans le dos que je ne sais même pas sa présence. Zombie car je ne sens plus rien, juste de la colère d’avoir encore failli à ma tâche. J’aurai dû crever avec elle. Tel un esprit je rentre dans le campement des filles et dis d’une voix blanche.
Bruce- Voilà ce que j’ai dégotté… Mon amie ne viendra pas finalement… Un gang de violeurs vous a remarqué… Mais là ils ne bandent plus… Je vais sur le toit…
Je me traine sur le toit et je m’assis sur le bord les pieds battants dans le vide. Borde de merde que je crois que je vais me tirer en bas comment la douleur est trop forte…
Je balance les bouteilles vides au travers d’une fenêtre de la Mairie directement sur les Michael Jackson en me foutant du bruit. Pourquoi je serais silencieux en fait. Du bruit ça donne des zombies, des zombies ça m’amusent à les déglinguer et ça va me pousser à balancer encore que j’ai engloutis en vitesse, me donnant un petit feeling qui me rend encore plus joyeux. Mais la cerise sur le gâteau c’est la trouvaille d’un paquet de canettes de bières et d’une boites de capotes fluo magnum XXL. Je sais Brucie junior sera serrer dedans, mais ma maman m’a toujours dis d’explorer les endroits humides avec un imperméables. Si je ne peux m’en servir comme je veux, je vais les gonfler en faire une fiesta pour taper des zonons à plein! Aussitôt je place le paquet de condoms des couleurs de l’arc-en-ciel, je ferais fureur dans la Gay Parade, dans mon sac et plante deux canettes sur mon casque à bière. Je siphonne le liquide ambré comme une pute qui a hâte de finir son client pour empocher son dû. En plus quelques bouteilles d’alcool sont épargner fessant passer ma diète au liquide pour une journée ou deux. Mais une voix se fait entendre et derrière le comptoir en utilisant un torchon pour essuyer le sang du zombie que j’ai éclaté la tête. Mon regard d’azur glacial se fait alors provoquant et surtout espiègle en voyant un trio de magnifiques demoiselles qui sont essoufflés. Bizarrement je les vois dans de l’huile en maillots en train de lutter en bikini minimaliste et moi en arbitre pervers et vendu. Je sais par où elles vont passer et comme si de rien n’était je m’installe èa un bureau de vide, celui de la réceptionniste du maire que j’ai balancé pour rejoindre ses concitoyens zombifiés la semaine dernière. Ça a l’air que le bougre a toujours adorer les bains de foule et le rat du cartel local à était submerger par un amour putride et un appétit démesurer pour ses promesses faites dans le vent. Enfin bref je m’assoie confortablement et prend même une revue de mode en posant mes pieds sur le bureau. Nonchalant je les regarde entrer dans le bureau en levant un souci interrogateur. Un homme si viril en kilt, portant un t-shirt qui le désigne comme donneur d’orgasme certifié et avec un casque à bière sur la tête doit être légèrement coquet et désirable. En plus mes tatouages, cicatrices et implants corporels me donne un air de méchant garçon que les femmes adorent essayé de changer. Une me demande qui je suis. Je regarde autour de moi comme un pais. Ensuite je me pointe et lui fait un clin d’œil qui est à la fois lubrique, espiègle et surtout provoquant.
