Une noirceur totale règne dans l’endroit où je suis, une odeur nauséabonde remplis mes nasaux et je n’arrive pas à discerner si ce que je sens vient de moi ou de l’extérieur. L’endroit est petit car je ne peu me redresser debout, chaque articulation de mon corps me fait un mal de chien, comme si un camion m’avait roulé dessus. Je ne sais pas si mes os sont brisés mais je n’ai même pas la force de bouger pour le savoir. Je n’arrive pas à discerner ce qui se trouve autour de moi, même quand mes yeux discernent quelques formes. Mes doigts effleurent la paroi des murs qui m’entourent et je reconnais la texture d’une caisse de bois. Serais-je enfermé dans une caisse en bois?
Des bribes de souvenirs me reviennent et je me souviens avoir été enfermé ici il y a un moment déjà. Je me souviens avoir combattu pour survivre mais m’épuisé au bout de moment. Je me souviens avoir abandonné une sortie possible lorsque je me suis fait battre, séquestrée, violée et privé de nourriture… Le visage de Ian me hante et m’empêche de dormir, je me réveille sans cesse en sursaut en pensant qu’un de ses hommes en profiterait avec ma carcasse. Je suis faible et presque sans vie, je n’arrive pas encore à croire comment je suis restée vivante si longtemps. Je sens mes joues se creuser sur mon visage et les os de mes clavicules dans mon cou ressortirent par le manque de nutrition. Je n’arrive pas à savoir combien de temps il me reste mais je n’ai pas d’espoir et je ne m’attends à rien. Entre le moment où tout à commencer, après la tempête et maintenant je n’arrive même pas à savoir combien de temps s’est écouler. Je ne vois jamais la lueur du jour et je ne sais même pas si je mange chaque jour. J’ai perdu le fil du temps comme la foi en mon humanité. Je suis seule et probablement le resterai jusqu’à la fin.
Je ne porte pratiquement rien sur moi, une vieille culotte sans doute et une camisole a bretelle qui semble déchiré à quelques endroits. Je grelotte depuis combien de temps au juste? Des frissons parcourent mon corps et même si je ne peu me voir dans la glace, mes lèvres asséchés par la soif sont probablement bleutées, mes dents claquent par le froid ambiant qui me rappel celui des brises matinales. Peut-être sommes nous le matin, je l’ignore. Quelques voix s’élèvent autour, un chien aboie non loin me rappelant qu’il a croqué ma jambe il y a peu de temps en guise de punition pour avoir cracher au visage d’un lieutenant. Je touche ma jambe en me rappelant ce souvenir et grimace lorsque mes doigts effleurent les marques de dent encore encastrés dans ma cuisse.
Je sursaute et me recroqueville davantage dans le coin de ma boîte lorsque quelqu’un semble ouvrir ma caisse. Le couvercle s’ouvre rapidement, la lueur du soleil pénètre et m’éclaire le visage. Un homme de grande taille à la barbe forte me regarde de toute sa stature et me lance un pain et quelques crudités tel un animal sauvage. Je mets un moment à discerner son visage alors que mes yeux semblent s’habituer lentement à l’éclairage ambiant. Il me sourit sadiquement mais je ne le regarde pas mes yeux baladent l’endroit où nous sommes avec intérêt. Cela ressemble à une vieille usine désaffectée, les parois métalliques rouillées et l’écho me signale qu’il s’agit d’un vaste endroit, mais je ne sais pas du tout où dans la ville.
Il m’envoie un baiser soufflé alors en refermant la boîte rapidement, des cliquetis métalliques se fait entendre signalant qu’il m’a de nouveau enfermé. Je prends une grande respiration comme pour calmer les battements apeurés de mon cœur, puis me revient des images sordides de lui sur moi à maintes reprises pour se vider. Décidément il prenait son pied plusieurs fois et personne ne l’arrêtait.
Je mange… non je dévore le pain que l’on ma donner avec rapidité même s’il n’est pas frais, je ne peu m’empêcher de le savourer comme s’il s’agissais de mon dernier repas sur terre. Le ventre un peu plus plein je finis par m’endormir.
Les cliquetis métalliques de ma boite résonnent à nouveau, il m’est encore difficile de savoir combien de temps s’est écoulé depuis que je me suis assoupi. La boite s’ouvre et le même gaillard apparaît mais son sourire sadique a pris des lueurs sinistres alors que d’une main il retire sa ceinture. Je sais très bien ce qu’il va faire encore et j’avale difficilement ma salive, en me reculant dans mon coin. Ma gorge est sèche et je n’arrive même pas à me débattre pour l’en empêcher, il baisse ma culotte et entame son ébat en jouissant tout en grognant. Putain qu’il me dégoûte, une larme ruisselle sur ma joue alors que je serre les dents et ferme durement les yeux. Je compte les secondes en espérant que tout se termine rapidement mais quelques choses le fait stopper net dans sa cadence.
J’entend sourdement, mais une voix s’élève en écho dans l’usine, rappelant celle des Chipmunks et une chanson de Bob Marley joue en boucle.
I shot the sheriff, But I didn’t shoot no deputy, Oh oh oh . Quelqu'un chante ? La voix se rapproche et ne termine pas sa chanson…
IAN CONNINGTON sort de ta cachette foutue lâche… Lance-t-il encore avec sa petite voix de Chipmunks. Je ne comprends pas trop ce qui se passe, mais une tension est palpable dans l’usine.
Le colosse qui m’avait pris pour cible remontre prestement son jeans et prend son ak-47 me laissant en plan. Je mets un moment à réaliser que ma boîte est ouverte, je mets un moment à comprendre qu’il s’agit là peut-être de ma toute première sortie depuis des lunes. Je ne sais pourquoi, je n’arrive même pas à bouger, je suis figée sur place et j’ai peine à remonter ma culotte, les mains tremblantes. Je me recroqueville dans mon coin en fermant les yeux tâchant de me dire que tout cela va passer…
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Bruce Smith
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Dim 2 Mai - 13:13
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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Aujourd’hui c’est un putain de jour à marquer d’une pierre blanche! Parle plus curieux des hasards pendant que je me promenais le Brucie Jr dans les environs, il faut bien lui faire prendre l’air è ce petit coquin, je suis tombé sur un des types qui a descendu ma super sexy et torride copine Riley. Je lui ai casser les bras et les jambes avec mon Bec de Corbin et malicieusement je l’ai inviter à se lever pour quitter ma petite séance de torture improviser. Ensuite avec un gros calibre près de la tempe, Brucie est vachement intimidant quand il se balance près d’une tronche d’homophobe de merde, je lui visse un 9 mm sur son crâne et l’invite à chanter dans mon gros micro le nom de son chef. Ian Connimgton. C’est lui leur chef de merde et c’est ce con qui s’est enfui lors de la rébellion de ma sexy Succube. Démone bandante qui a disparu lorsque le vent des tropiques a soufflé comme des maisons de pailles les tipis des cons qui voulaient jouer les hippies pacifiques. J’ai failli le buter ce type, mais j’ai été aider un géant qui défendait mon amie avec rage et détermination. Je laisse le connard en mille morceaux, complétement sous le choc de cette nouvelle qui ressemble à l’histoire à la con du papillon. Gentiment je pousse deux Michael Jackson pour qu’ils puissent aller manger chaud. Ces pauvres affamés de chairs fraîches on dortoir è de la bouffe fraiche même si c’est de la merde en boite. Pendant que je me dirige vers l’usine désaffecter que le gros bras m’a chanter pendant sa souffrance, je songe que si je l’aurai buté cet enfant de chienne ma Riley serait encore vivante. Je me jure que ne plus jamais je vais laisser un enfoiré s’enfuir.
J’arrive alors à l’endroit prévue et je sors un petit karaoké rose avec miro de mon super sac à malice. J’adore ce putain de jouet pour enfant qui transforme ma voix en celle qu’un chipmuck shooter à l’hélium. Je pars l’une des chansons dessus pour me mettre dans l’ambiance, laissant le frisson du hasard choisir la partition de mon entrée loufoque et sulfureuse. La musique s’élève du petit haut-parleur et je souris comme le dernier des cons. Je m’avance à découvert en me dandinant le cul comme une écolière nippone qui gambade avec sa rencontre avec un alien à tentacules. Je chante alors dans le micro pour attirer toute l’attention sur ma gueule viril et sexy à souhait.
Bruce- [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Je vois des têtes de glands pousser dans les environs, vachement surprise de voir cette carte de morde en kilt que je suis faire une entrée aussi mémorable pour eux que pour les nanas qui voit mon coquin de Brucie Jr. Même un devait couler un bronze car il se bat avec son jeans. C’est un colosse, mais pas grave il sera à ma hauteur quand mon Pénétrator va lui faire valser les rotules. Un roux, le colosse chauve, un blondinet. Bon pas de chef sadique qui se croit le roi du monde. Ça c’est mon poste Roi des orgasmes à répétitions et souverain du string qui tombe. Je gueule alors dans le micro alors que l’air de la chanson continuait en arrière-plan.
Bruce- IAN CONNINGTON sort de ta cachette foutue lâche… Sois un grand garçon et viens de te faire tuer d’accord? J’ai trois poulettes bandantes qui vont commencer à s’amuser sans moi et ça c’est hors de question!
J’attends quelques instants et le malabar dit avec un air complétement ahuri d’aller me faire foutre et que Ian a déjà quitter. Je réponds simplement et avec panache.
Bruce- C’est déjà prévu d’aller me faire foutre avec elles… Mais vu tes couilles pas sûr que tu seras le bienvenue… Je ne veux pas te traumatiser avant de te buter…
Je crois l’avoir chatouiller dans le mauvais sens du poil car il lève son Ak47 pour mitrailler mon nuage de poussière qui fait ma forme alors que je me planque derrière un tas de ferraille. J’entends une détonation de calibre douze et les bruit strident des neuf millimètres. Je bascule en rigolant comme un fou mon Garand. J’attends quelques instants, comme tout bon vétéran qui a baisé la Mort plus qu’une fois je compte les coups de feu et je bondis de ma cachette pour aligner un bridé qui tient deux Glock. Avant d’écraser la détente pour l’envoyer voir si Bouddha est un chic Dieu, je lui lance une remarque pour le faire chier un peu.
Bruce- John Woo tes films sont nul à chier. Tirer avec deux pistolets ça fait tellement années 2000…
Mon projectile de 308 lui éclate sa tête de con, ma théorie du moment est qu’il avait les yeux bridé à cause qu’il bouffait trop de riz et que ça constipe ce truc, et le corps tombe près d’une boite de bois. Le blondinet redneck au calibre 12 prend sa place et je fais mine d’avoir peur avant de plonger è couvet pour déconner. Une puissante détonation et je gueule dans mon micro pour l’enrager.
Bruce- Manquer beau gosse… Tu es passé près du trou mon chou!
Mais mon redneck du moment se fait descendre par un coup de pistolet et je rigole d’avoir un allié qui me file un coup de main. Le AK-47 se tait subitement car le cro-magnon à vider son chargeur comme un con. Je bondis hors de mon couvert et je charge en remontant mon kilt pour lui faire perdre ses moyens. Le gaillard lance son arme au sol pour sortir deux poignards.
Bruce- Tu es sérieux? Ok on y va pour un sensuelle et un aphrodisiaque corps à corps… Pleure pas si tu perds… Tu vas de faire dévierger par le Pénétrator.
Je sors mon Bec de Corbin et un gémissement me fait ralentir avant le contact. Je vois une loque humaine, pantalon aux chevilles et faible comme un chaton. Mais quand elle lève son visage apeurer et épuiser, je reconnais ma Succube. Mon regard va d’elle au colosse et mon air joyeux se transforme en visage haineux et colérique.
Bruce- Tu ne coulais pas un bronze le mort en a devenir… Tu violais ma Succube!!!
Le type en profite pour me faire une entaille au torse, mais il jubile moins en voyant que ça ne me fout rien du tout. Le combat commence et tôt je lui fous une dérouillée qui le fout è terre. Je prends un de ses poignards et je me penche vers lui avec un sourire mauvais et teigneux comme Hannibale Lecter qui veut lui dire un secret marrant.
Bruce- On va voir si tu chantes bien en castra mon salopard…
Sauvagement je plonge la lame dans son entrejambe et je peux sentir une souffrance empathique venant de mon Brucie pendant que je joue au Doc maboule et que j’extrais à froid ses couilles. Prenant les deux noix minuscules dans ma main, je lui les plonge dans sa gueule qui hurlait comme Justin Bierber qui n’avait pas mué. Je mets alors ma main sur sa gueule et je l’étouffe avec ses propres couilles. Je suis surpris qu’il s’étouffe vu la grosseur de ses testicules. Il aurait dû les avaler sans problème… Je lui défonce alors le crâne pour faire bonne mesure.
Bruce- Ça va t’apprendre à être sympa et courtois avec les dames… Si elle dit non tu ne la force pas…
Je m’essuie les mains sur sa veste et je m’approche doucement de ma copine tout en lui parlant doucement.
Bruce- Succube c’est moi Tango… Tout est fini… Maintenant nous allons partir et rejoindre l’hôtel ça te va? Attend j’ai une couverture et si tu ne peux pas marcher je t’emmène comme une jeune mariée dans mes bras…
Je sors ma couverture de mon sac à dos Dora et je la couvre avec un sourire rassurant et apaisant, comme l’ancien flic et médic de combat savaient si bien le faire…
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Jet de trouvaille : 2 jets d'armes encore viables sur les cadavres 0-10 c'est désert 11-18 : Petit groupe de 4 ou 5 zombies va débarquer pour le buffet 19-20 Horde en approche...
The death
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Le membre 'Bruce Smith' a effectué l'action suivante : Votre vie est en jeu...
#1 'Trouvaille' : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
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#2 'Armes' : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Je ne sais pas trop ce qui se passe j’entends des coups d’arme à feu qui fusillent de partout et des douilles qui tombent au sol. Je suis toujours recroquevillé dans mon coin, fermant les yeux fortement en me disant que tout cela finirait par se calmer et que je pourrais finir mes jours tranquilles dans ma petite caisse de bois. La musique se propage toujours dans l’usine et en écho la voix des mecs s’élèvent en mode panique alors qu’il se font descendre les uns après les autres. J’entends les plaintes de douleurs de certain en me demandant ce qui peut bien se passer et qui leur fait la peau. Une voix plus douce me parle et ses paroles prennent un moment à être comprises et reconnu. Ce n’est qu’un rêve pensais-je... juste un putain de rêve... J’ouvre finalement les yeux en clignant quelques fois et tombe dans le regard azur de Tango. J’ouvre un moment la bouche stupéfaite de le voir devant moi. Puis pose la tête sur mes genoux pour cacher mon visage horrible du moment, honteuse. Ma voix est à peine perceptible, tel un murmure. Une voix rauque presque caverneuse rappelant que la soif est à cette origine.
Laisse-moi mourir seule... lui lançais-je alors que j’ignorais ses dires préférant me recroqueviller davantage dans mon coin tremblotant de tout mon être. J’étais faible et même si j’aurais voulu partir avec lui, je savais très bien que je n’avais pas marcher depuis beaucoup trop longtemps et que je n’arriverais pas à le faire. Mon corps serait sans doute incapable de me supporter et mes jambes encore moins. Je me demandais même si je serais capable de le faire à nouveau un jour… Bruce est là devant moi et je n’ai même pas la force de le regarder, mes os creusent dans ma peau définissant à la perfection chacune de mes côtes. On aurait dit que j’étais en phase terminale subissant les courroux d’un cancer. Je ne devais pas être jolie à voir et me distingué des morts dorénavant ne devait pas être chose facile. J’étais bien vivante cependant mais je n’avais plus envie de battre, plus envie de bouger. J’étais pour la toute première fois de ma vie effrayée pour la suite et je ne souhaitais pas devenir un fardeau pour mon ami. Je releva la tête voyant l'ombre de son visage encore près de moi, je ne rêvais pas il était bel et bien là et plus sérieux que je ne l'avais jamais vue auparavant.
Bruce..? c’est toi ? je finis par soupiré en me tournant la tête vers lui. Qu’...qu’est-ce que tu fou la ? Je t’en prie! Laisse…Laisse -moi crever ici... Je n’avais plus la force de parler davantage je sombrais déjà dans un sommeil ou un évanouissement, je sentit ma tête lourdement cogné contre la caisse de bois qui me servait de maison.
Je sentis les bras de Bruce m’entourer alors qu’il me souleva pour me transporter. J’étais si légère, rappelant le poids d’une pré-adolescente, l’effort ne fût sans doute pas très demandant. On fit quelques mètres à pied que je sentis qu’il me déposa au sol, des grognements me rappelant ceux des rôdeurs me fit ouvrir les yeux et je vit quelques marcheurs venir vers nous la gueule béantes et prête à nous bouffer.
Bruce me donna une batte de baseball qu’il venait de dénicher pour me permettre de me défendre en cas de nécessité. J’observais la scène devant moi sans vraiment la voir, mes yeux parcourant Tango qui se donnais à fond dans les coups mortels de son Penetrator contre les morts pas morts. Je n’eus pas vraiment besoin de me défendre Bruce avait mon entière confiance et je m’agrippais à la batte comme s’il s’agissait là de ma dernière amie sur terre. Une batte de baseball, un outil qui avait de si nombreuses fois failli me défoncer la gueule. Damon s’amusait souvent à nous la présenté sous ses menaces en promettant de nous l’enfoncer profondément. Je ne sais pas trop qu’elle était cette obsession maladive avec sa batte et je ne comprenais pas ce qui ne tournait pas rond dans sa tête. Y’avais pas à dire cet homme était dingue raide, j’étais bien heureuse de le savoir supprimer de la surface terrestre. Par contre Ian Connington était une toute aussi pire pourriture. Une fois le ménage fait Bruce repris la route, moi dans ses bras, je posai la tête sur son épaule et lui dit merci faiblement en refermant les yeux d’épuisement.
Il faisais noir quand je rouvris les yeux et une odeur de nourriture emplis mon nez, Bruce semblait préparé quelques choses sur un petit tas de bois enflammée qu'il avait pris soin d'entasser à mes pieds pour me réchauffer. Il m'avais envelopper dans son sac de couchage militaire afin de me fournir un peu de chaleur. Je réussis de peine et de misère a m'asseoir, devant user de mes bras pour placer mes jambes confortablement. Mes mains tremblantes replaçais ma chevelure sale derrière mes oreilles. Puis je posa mes yeux sur le feu.. Salut dis-je en évitant le regard de mon sauveur, honteuse de me retrouver dans une telle situation sans doute, je n'avais jamais aimer montrer quelconque faiblesse devant les autres. Qui aurait pu se douter que j'en serais à ce point réduite à la soumission? J'avais vécu un calvaire ses derniers temps et je savais qu'il me faudrait un moment pour m'en remettre et que malheureusement je ne pourrais pas y arriver seule. Il fallait que je me remettre sur pied et non pas sans travailler pour. Sa promettais d'être un long rétablissement, a mon plus grand désarroi.
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Bruce Smith
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Mer 5 Mai - 12:32
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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Voir ma sexy et superbe copine, cette botteuse de cul sensuelle et bandante, réduit à cet état de soumission grotesque me fais royalement chier. Je ne me doute pas que ce connard d’Ian est derrière ça et ça nourrit encore plus ma putain de rage contre ce supposé chef de merde. Bientôt il va se faire enculer à sec par mon Pénétrateur et je fais lui faire faire du bouger avec comme élastique ses boyaux éventrer. Il a osé toucher à Succube, tuer Riley… Lui et son groupe de merde font danser thriller avec les autres Michael Jackson. C’est un bien ce fléau, car je les butes et j’ai le droit de les exploser une seconde fois après. Ce n’est pas le pied intégrale ça? J’enveloppe Anaëlle dans la couverture alors qu’elle me raconte des conneries. Je dépose ma main sur sa joue avec douceur et tendresse, une affection touchante et apaisante. Clin d’œil complice et surtout réconfortant que je lui donne avec plaisir.
Bruce- Et tu as d’autres conneries en réserves comme ça Succube? Si je te laisse crever c’est que ma carcasse sera refroidit et que malgré tout Brucie Jr sera au garde-à-vous comme le dernier survivant d’un glorieux carré d’orgasmes. Ferme ta gueule, repose-toi et je t’emmène dans un refuge…
Je la lève avec délicatesse. Bordel elle pèse encore moins lourds que mes couilles qui n’ont pas été vidés de la journée. C’est décider je vais l’écraser et le buter ce connard de Ian, même si c’est la dernière chose que je fais dans cette saloperie de vie. Quelques Michael Jackson viennent pour la correction dominicale de Padré Bruce et ses arguments massue. Ma belle se réveille un peu et je la place en sécurité pour me défouler. [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Comme de raison les pauvres zombies ne mordent que la poussière devant le flamboyant, sexy et viril ouragan de violence combatif que je suis. Disons que cette rencontre fut un feu de paille et me revoilà en train d’emmener ma délicieuse coquine qui ressemble à Jack Skellington. Promis je vais la remettre sur pied pour qu’elle redevienne la croqueuse d’homme qu’elle fut, la guerrière bandante et la demoiselle si charismatique d’autrefois. Quand elle sera en sécurité, je vais commencer ma putain de traque comme j’avais fait avec les enculés qui avaient osé tuer Zayna et nos anges. Ça va saigner des yeux et du cul ça je le garantie. On se planque dans un lieu sécuritaire, un sex-shop abandonné. Pour moi c’est très sécurité car avec tout ce qu’il y a ici, je peux baiser n’importe qui bien en profondeur. J’ai fait un petit feu avec des meubles et je fais cuir un pigeon que j’ai attrapé Dieu sait comment. Autour du feu j’ai ajouté des compagnons de silicone comme des joyeux campeurs d’un camp de nudiste. Je reste le charmant observer que je suis malgré tout.
Bruce- Salut beauté fatale. Tout va bien je vais t’emmener à l’hôtel. Je crèche la avec ma fille de cœur et quelques types qui se croient encore les parrains de ce monde de merde.
Je dépose une main sur son épaule et lui donne doucement ma gourde pour l’hydrater.
Bruce- Je t’ai dégoté des vêtements dans les boutiques autour. Aussi j’ai retrouvé ta vieille copine sur l’un des connards de l’entrepôt. Il essayait de la manier comme toi, mais il n’y a qu’une pro pour faire bouger ce qui est long et dur de la sorte…
Je rigole doucement en lui montrant les vêtements, des pantalons de cuir et des trucs sadomaso que je vais aussi rajouter dans ma collection sûrement, le katana de ma belle bagarreuse et même un glock avec la ceinture et des minutions.
Bruce- Je suis tellement content de te voir. Je croyais que la putain de tempête t’avait emmené. Il y a la médic de ton ancien groupe et j’ai entendu dire qu’un putain de géant avec un chien s’en était sorti aussi. Il n’est pas dur à manquer ce type.
Je prends un peu d’eau et lui nettoie les joues.
Bruce- La je sais ce que tu sens. J’ai passé dans les mêmes conditions, prisonniers des putains de sauteurs de bombes lors d’une opération. 3 mois d’enfers. Bref je vais rester avec toi pour t’aider à surmonter et ensemble on va redevenir ce duo de choc qui faisait trembler les cons dans leurs bobettes et toi qui réussissait à faire étirer mon kilt pour qu’il devienne un chapiteau…
Je me détonne un instant pour m’occuper de la viande qui cuisait.
Bruce- Ce putain de Ian va le payer au centuple et chacun de ses enfoirés qui le suivent… Ils t’ont fait du mal et ont tué ma Riley…
Elle sait de qui je parle, on avait cessé nos rencontres jouissantes et démentes car je voulais avouer mon amour è ma compagne d’emmerde. Succube m’avait dit qu’elle voyait un type donc tout allait bien. Mais là le vengeur est revenu et il ne désire que mettre a feu et àa sang les derniers enfoirés de supposés tueurs de l’île et foi de Brucie Jr je vais le faire avec un plaisir pervers…
Quand je ré-ouvre les yeux et que je salut Bruce, je me sens déjà mieux. L’odeur de la viande en cuisson me donne déjà l’eau à la bouche alors que je me redresse pour m’asseoir, grimaçant de quelques douleurs partielles. Visiblement il ne m’a pas écouté quand je lui ai dit de m’abandonner à mon triste sort et de me laisser mourir en paix. Qu’est-ce que je devais m’attendre avec cette tête de mule de toute façon? Il avait dit m’amener dans un refuge et même si j’aurais voulu refuser son aide, je ne pouvais fuir car je ne pouvais à peine marcher. Mes yeux s’habituent à l’endroit où nous sommes, éclairé par le feu de camp improvisé que Bruce a créé à partir de meuble, je tourne le regard sur ce qui nous entourent. Un sex-shop ? Sérieusement, je ne suis pas au bout de mes surprises avec cette homme à mes côtés et bien que mon faciès reste inexpressifs je rit de l'intérieur.
Nous avons de la compagnie ce soir ? dit-je en prenant un Dildo dont Bruce avait visiblement agrémenté de yeux et d’un large sourire dessiner au sharpie. Je souris faiblement en le redéposant près de moi. Tu veux m’amener à l’hôtel ? Je regarde un moment autour en me demandant a combien de kilomètre nous sommes de l’endroit indiqué. Tu crois vraiment qu'il voudront me donner un coup de main, je suis une ancienne Scabreuse Bruce n'oublie pas...
La main de Bruce se pose sur mon épaule et mon corps se raidit, tout en sursautant. C’est plus fort que moi, j’ai des flashback un moment de ce que j’ai subit dans cette putain de caisse de bois. Des hommes et de leurs visages me reviennent en image, tout ceux qui sont passé sur moi et du comment je me sens salis et odieuse. Je ferme un moment les yeux détournant le regard vers les flammes et je prends la gourde d’eau d’une main tremblante.
Merci Bruce.. Pour tout ça!
J’observait ce qu’il m’avait déniché avec intérêt contente de retrouver mon arme enfin! Je la flattai doucement du bout des doigts en me demandant intérieurement si j’arriverais à la remanier comme autrefois? Je pose de nouveau mes yeux sur Bruce qui me fais de beau commentaire et je suis surprise qu’il n’est pas fait de blague pour le moment. Je l’ai probablement un peu refroidi avec toute cette histoire. Je vois très bien la colère qui le submerge, visiblement Ian Connington à un lourd passé avec lui.
Je suis contente aussi de te voir mon ami et non ce n’est pas une tempête qui me mettrait hors d’état de nuire, John oui, je suis contente qu’il aille bien c’est une bonne nouvelle. Tu as raison c’est tout un colosse.
Le voila qui me nettoie les joues, je ferme les yeux en le laissant faire tout en écoutant ce qu’il a à me dire. Je prends une grande respiration en acquiesçant à ses dires. Je ne pouvais pas me permettre de faire ma difficile sur ce coup-là ou mon indépendante. Je ne pourrais pas m’en sortir seule cette fois.
J’ai bien l’intention de me remettre sur pied mais je n’y arriverai pas seule, je te remercie d’être là.
J’ouvre un moment la bouche stupéfaite des paroles qu’il me lance avec une haine perceptible, pendant un moment je suis navré de constater que si j’avais pris la peine de tuer Ian avec Black lors de notre émeute tout cela aurait pu être évité. Je n’étais pas une tueuse généralement mais j’avoue que l’idée de vengeance était plus que salivante cette fois et j’avais mes raisons.
Riley est décédée? Je suis désolé Bruce de l’apprendre… Aide moi à me remettre sur pied et je t’aiderai à te venger! Je le regardais avec une lueur d’autrefois celle d’Anaëlle la combattante et non pas la petite apeuré dans le coin de sa boîte.
Nous sommes a combien de temps de marche de l’hôtel ? demandais-je alors en prenant appuis sur son épaule afin de me redresser. Je sortis du sac de couchage prenant appuis sur lui les jambes flageolantes. Je pris les vêtements offerts en tâchant de les enfilés, offrant une vue sur un corps parsemés d’ecchymoses, de cicatrice et de peau sur les os. Une fois habillé je me retournai dans le sac de couchage en grelottant, posant de nouveau les yeux sur lui.
Je n’arrive pas à croire que tu sois là l'ami… Qu’est ce que tu venais faire là au juste, tu venais faire la peau de Ian en solo ? Parlant bien entendu de l’entrepôt ou l’usine plutôt visité. J’essayais de comprendre qu’elle avait été les chances qu’il me retrouve là. En repensant a mes retrouvailles avec lui, il semblait tout aussi surpris que moi.
Nous passions la soirée a bavarder puis manger, je me sentis de nouveau vivre au moment où je pu me rassasier un brin et boire. J'écoutait ce qu'il avait à me dire avec un certain intérêt appréciant le moment.
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Bruce Smith
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Mer 12 Mai - 12:25
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[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Je souffle dans l’air avec dérision et surtout avec un détachement enfantin des plus attachant. J’accompagne le tout d’un de mes célèbres clins d’œil complice et sexy à mort tout en lui disant simplement.
Bruce- Si ces types peuvent supporter une tête brûler et endurer mon sens de l’humour aussi légendaire que lubrique, ils peuvent bien accepter que tu es une ancienne scabreuse bordel de merde. En plus tu n’as fait que survivre en suivant ce cinglé de connard qui ne pensait qu’à sauter sa batte de merde. Ils savent pour la révolte et ce que tu as fait pour aider tes potes à redevenir plus acceptables dans ce monde pourri.
Je tapote affectueusement mon Bec de Corbin avec l’attitude d’un amant attentionné.
Bruce- Ne sois pas jalouse Pénétrator… Il n’y a que toi dans mon cœur et ce n’est pas un bout de bois qui va te remplacer… En plus ce con devait avoir plein d’écharpes sur le gland à force de se frotter à son bout de bois…
Je ramène mon attention sur mon bandant squelette qui avait un de ces corps de rêve, elle va le retrouver j’en fais le serment, et je baisse mon regard d’azur qui est tourmenter par la rage et la colère. Je murmure doucement autant pour elle que pour ma gueule de glandeur professionnelle.
Bruce- Oui cet enculé va se faire défoncer bien profond pour ce qu’il a osé faire… Il va chier en flue pendant les cinq dernière minutes de sa chienne de vie je te le garantie…
Je la laisse s’habiller en secouant la tête en rigolant doucement. Je me fous de son corps maltraité, j’enrage seulement de ne pas avoir été là pour elle comme je n’ai pas pu empêcher ces mangeurs de merde de tuer ma Riley. Je sers vraiment à rien ça c’est sur…
Bruce- Nous sommes à trois kilomètres d’ici… Demain je vais t’y accompagné comme une jeune mariée. Ce putain de gros colosse ne doit pas être un enfant de cœur… J’ai entendu parler de ses combats dans les arènes du connard suprême. Il peut vraiment dévisser une tête à mains nues et il se met un speedo pour ressembler au Géant André dans la lutte d’autrefois?
Quand elle s’assit je m’installe près d’elle pour lui apporter réconfort et présence. Je me doute bien qu’un nombre improbable de vermisseaux masculins l’ont souillée et je songe qu’à chaque type de ce groupe je ne vais pas prendre de chance et je vais leur faire avaler leur queue…
Bruce- Oui j’avais l’après-midi de libre et je me suis dit qu’aller tuer cet enfoiré aiderait à augmenter les chances des survivants du coin et que j’allais venger ma sexy copine…
Mon regard se perd dans les flammes dansantes.
Bruce- Je croyais être capable d’aimer comme autrefois… de redevenir le bon flic et père de famille… Riley aurait pu le ramener cette partie ennuyeuse de mon esprit… Maintenant je sens mon esprit déraper encore plus et vouloir les rejoindre, elle et Zayna qui sont avec mes deux bébés...
Je sers les poings et rajoute en souriant méchament.
Bruce- Oui on va se venger. On va le faire souffrir ce connard à la puissance 1000 et lui faire une de ces mises à mort loufoques… Je pensais extraire ses tripes pour en faire des guirlandes de Noël et ensuite aller pêcher le Michel Jackson… Ce qui est bien avec cette merde de virus c’est qu’il va revenir et on pourra le buter une seconde fois…
On bouffe et je lui raconte les exploits de Brucie Jr et de moi-même. De mes conneries et de mon parcours de vie. Je lui parle de ma fille de cœur qui m’a emmené à l’hôtel, de cette doctoresse qui pourra m’ausculter quand elle veut et lui demande si elle a encore son Jules. Ce type qu’elle a vu après que je lui ai parlé de Riley après cette baise d’enfer. On rigole et quand elle dort je lui tiens la main pour lui prouver ma présence et donner mon réconfort. Le lendemain on fait le chemin du retour. Même les zombies semblent savoir que venir me chercher fera que ça va chier solide pour leurs matricule. Rendu à l’hôtel je m’annonce de vive voix avec ma bonne humeur habituelle.
Bruce- Les copains j’emmène une super copine pour une soirée pyjamas! On est sympa avec elle d’accord?
Bruce avait sans doute raison quant au membre des Mitans, s’ils arrivaient à supporter toute ses conneries (et dieu sais qu’il en faisait tout une armada) ils considéreraient sans doute mon arrivé avec un certain œil. Je ne savais cependant pas jusqu’à quel point les rumeurs qu’ils avaient était fondé et j’était surprise de la vitesse à laquelle elles s’étaient propagées. J’éclate de rire alors qu’il parle avec son arme et de la batte de Damon. J’acquieçais de la tête Dans le cul aussi sans doute, il devait se l’entrée bien profond… lançais-je dans un rire amusé.
Bruce me regarde à nouveau, son murmure est perceptible mais ses paroles sont tranchantes, bien qu’amusantes, je sais à quel point elles ont une sonorité particulièrement sincère malgré la pointe humoristique. J’acquiesce simplement en posant ma main sur lui… lui chuchotant un simple merci.
3 km bien, je dois essayer de marcher un peu... Je ne peu pas te laisser me porter tout le long du trajet... J’avais soupiré un moment, j’avais de la difficulté à me tenir debout et devrait sans doute me résigner à faire l’indépendante. Je détestais dépendre des autres et Bruce le savait, il savait comment je vivais et comment je me débrouillais seule.
Et ce putain de gros colosse comme tu dis a un cœur en or. Il a une force incroyable, je te l’accorde mais ne faisais les combats d’arènes que parce que Damon lui obligeait à les faire, il était soumis comme un chien envers son maître tu vois, mais il est dévoué et fidèle envers ceux ou celles en qui il a confiance. Je n’ai jamais assisté à ses combats, je détestais cela, mais effectivement on m’a dit qu’il avait des mains de fer et pour le speedo... Je balaie l’air de la main… Je ne veux pas savoir en fait sa enlève l’image viril que j’ai de lui! Dis-je en pouffant de rire.
J’écoute son histoire en silence mes yeux posés sur lui analysant ses moindres faits et gestes. Agrémentant son récit d’un sourire chaleureux ou d’une main sur lui compassionnelle, surtout lorsqu’il parle de ses femmes de cœurs. Je vois l’éclair de vengeance passé dans son regard et les paroles qui s’en suit sont toutes aussi provocatrices. J’avais souri à cette idée de pouvoir le tuer deux fois.
Je suis bien d’accord avec cette idée et je te suivrai dès que je le pourrai, je te dois la vie après tout!
Je mange doucement, profitant de ce moment pour déguster ce que je mange avec lenteur, décidément il y avait un moment que je n’avais pas manger quelques choses d’aussi bon et consistant. J’écoute les exploits de Bruce, de ses conneries et de son parcours depuis le temps où nous ne nous sommes pas vue. Je me sens revivre depuis un long moment et j’apprécie énormément le moment, je m’endors sur lui la tête appuyé sur son épaule, sa chaleur corporelle m’offrant un réconfort, je suis si faible.
Le lendemain on se prépare rapidement, bien que j’aurais souhaiter pouvoir me mouvoir moi-même me tenir debout relève encore de l’exploit. Je me résous finalement à me faire porter comme une princesse à mon plus grand désarroi. Mon orgueil se mange encore un coup. Je vois l’hôtel au bout de la rue et j’angoisse d’y entrée. Bruce est là au moins et cela m’apporte un certain réconfort et me rassure pour la suite.
Je prends une grande respiration alors qu’on se retrouve dans le hall et qu’il me dépose sur un siège. J’observe les gens présents et ce qui nous entourent avec intérêt, comme si j’analysais rapidement du regard l’endroit en cherchant les sorties de secours dans une éventuelle fuite. Qui sais ce qu’il pourrait arriver, valait mieux prévoir l’improbable…
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Bruce Smith
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Lun 24 Mai - 12:44
Bruce Smith a écrit:
Under the box
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Je regarde les cons qui me dévisagent comme à chaque bon de dieu de jour. C’est vrai qu’ils sont jaloux de Brucie Jr et j’ai plus de couilles à moi seul que bien des supposés guerriers d’élite du grand manitou. Bordel je les entends gémir encore. On ne peut pas sortir, il y a des marcheurs… Bordel moi j’ai démarré une chanson de Cuba Pete comme dans le film du Mask et j’ai fait un solo de dance qui a fait saliver des centaines de Michael Jackson. Je me suis déhancher, fais du tweck et démarrer un train de joie pour la chair (moi la baise torride et eux pour mon cul sexy à souhait) en destination d’un ravin un peu plus loin. Bordel je crois avoir eu un millier d’admirateurs qui sentaient aussi fort qu’un de mes célèbres passages dans une partouze d’un club naturiste de trois jours. Je peux certifier que les demoiselles marchaient en cowboy ou bien devaient se déplacer en chaises roulantes. Ah que de doux souvenirs. Après séance de funambulisme sur une corde d’acier et je devais mettre au niveau Brucie Jr sinon j’aurai été débalancé. Ben les Michael Jackson sont tombé avec bonheur dans le ravin et on s’est trouver alléger de leur puanteur pendant plus qu’une semaine. Je rigole à ce souvenir et quand je vois les mines des gens j’ai compris que j’ai encore pensé à voix haute. Je donne un coup d’épaules complice à ma super bad ass de sniper et je dis à Succube avec un grand sourire de naïf.
Bruce- Ben quoi je devais m’amuser et assurer aux grands guerriers de mon cul que les dangers étaient partis se promener pour qu’ils osent sortir… C’est tellement dur d’être un homme si séduisant, baiseur dans le reccord guiness et courageux dans ce monde de merde! Allez viens direction ma chambre et tu vas pouvoir prendre une bonne douche pendant que je vais bouffer de la tarte au poil à la cuisine pour que tu aies un repas qui va te remettre en forme.
Je soupire en voyant que les gens ne la salua pas, trop dans leur observation de merde. Alors je compense en les saluant avec une trop grande camaraderie et les nommant soient de leurs prénoms pour les sympa ou bien des surnoms loufoques pour d’autres. Enfin rendu à ma chambre. C’est une chambre standard avec deux lits que j’ai collé pour faire des orgies avec moi-même. Moi un lit et l’autre pour Brucie Jr voyons. Il y a plein de conneries dans la chambre. Des armes naturellement, des costumes de toutes sortes. Du matériel de sado-maso, Georgette ma poupée gonflage, des posters allant des pages centrales des revues de cul juste au télétubbies. Même le certificat des record guiness dont j'ai mis mon nom dessus et mon record de donneur d'orgasmes. Mais dans un petit coin, près du lit, les photos de ma famille souriante et de Riley. Une de Succube et de moi alors que je jonglais avec des grenades avant la grande attaque. Je possède même un appareil photo pour des photos instantanées. Il y a Akiak ma fille de cœur et c’est pas mal tout. Je prend une voix lugubre et sinitre totalement loufoque.
Bruce- Voici l’antre de la bête. Tu es chez toi le temps que tu vas mieux et je vais aller lécher les couilles à qui de droit pour que tu sois logé dans la chambre à côté.
Reprenant mon sérieux je l’invite à s’assoir après avoir foutu au sol le désordre de livres de médecines et d’anatomies féminins qui ‘y trouvaient. L’étude est un moment de me relaxer totalement. Mais de manière apaisante et surtout compatissante avec une dose de douceur je rajoute.
Bruce- Je vais décoller les lits pour que tu sois seule. Pas grave si Brucie Jr touche le sol. Je vais veiller sur toi ma Succube et nous allons combattre ce que tu as vécu… Je te le promets. Mais avant…
Je lui pointe du pouce la douche et le bain.
Bruce- Tu pue le fauve et je ne sais pas si ça m’excite ou me répugne. Un heureux mélange des deux je crois. Un peu comme la nana que je sautais en style caniche trop joyeux sur la banquette arrière d’une voiture. Elle s’est sorti la tête à l’extérieur pour vomir. Mais les spasmes m’ont chatouillé d’une nouvelle manière Brucie Jr et nous avons adorez… Enfin bref je suis un grand amant comme tu le sais… Moi je vais te chercher un bon repas et tu aimerais boire quoi? Ton alcool favori ou bien un café et des donuts vu que tu es une ancienne flic?
Je suis assise dans le hall la mine basse alors que je sens sur moi des regards haineux. Je sais très bien qu’en me voyant, malgré l’apparence actuelle dont je fais preuve, que certains m’ont reconnu et son capable de mettre mon visage sur qui j’était avant. Les scabreux n’étant généralement pas super bien accueillis à cet endroit, je sens une nouvelle pression peser sur mes épaules et je regarde Bruce incertaine de la suite mais le voilà qui gesticule et parle d’un moment de vie sans s’en rendre compte.
Les regards intrigués sont maintenant portés sur lui et le voilà qui m’assène un coup de coude en souriant bêtement. Je finis par sourire à mon tour sans toutefois comprendre tout ce qui viens de se passer, être dans la tête de Bruce c’est comme une tornade dans laquelle tu peu aisément te faire transporter mais dont la sortie reste encore improbable et souvent chaotique. Te faisant parfois assommer aux passages par des trucs inexpliqués qui n’aurait pas du tout de sens dans une tornade, un dildo ou même une poupée gonflable pourquoi pas.
Il m’amène finalement vers sa chambre après avoir saluer tout le monde de façon théâtrale. J’imagine que certain nom a été gentiment modifier par Bruce parce qu’en observant la tête que fais le soi-disant Dipsy je me retient de rire et suit mon collègue vers sa suite.
J’observe la chambre avec amusement, toujours aussi inventif ce cher Bruce, mes yeux parcourant les costumes puis la poupée gonflable ainsi que les posters. Je souris grandement en acquiesçant de la tête finalisant mon regard vers les photos souvenirs, heureuse dans le moment de pouvoir me dire que je me suis ennuyé de tout cela, de lui et de toutes ses bêtises. Je vient doucement croiser mes bras, posant mes yeux clairs sur lui. Voici l’antre de la bête. Tu es chez toi le temps que tu vas mieux et je vais aller lécher les couilles à qui de droit pour que tu sois logé dans la chambre à côté.
J’avais esquissé un nouveau sourire à ses dires. Je te remercie, sincèrement Bruce, Merci pour tout. Avais-je simplement dit baissant la tête honteusement cette fois, prenant une grande respiration pour me ressaisir. J’étais tellement vidé de tout, de la vie en générale, vider en émotion mais aussi en énergie. Il me pointa la douche en me disant encore un tas de conneries. Je me mis à rire simplement le fixant un moment analysant ce qu’il me demandait.
Je… ce que j’aimerais boire ? Je mis un long moment à y penser, comme si réfléchir par moi-même à quelques choses de ce genre m’était impossible. Qu’est ce que j’aimais boire déjà? Pendant un moment je ne me rappelais plus du tout ce que pouvais goûter l’alcool ni le café... J’avais acquiescé de la tête simplement.
Je vais prendre un café oui s’il y en a merci.
Traînant lentement les pieds je me dirigeai vers la douche. Je me dévêtis de ce qui me servais de vêtements puis sous les filets d’eau chaude je m’assieds dans la baignoire durant un bon moment. Posant lentement la tête sur mes genoux je pleurais en silence en appréciant le moment et essayant d’oublier les précédents. Une fois ressaisi, nettoyer de la tête au pied et rafraîchit comme une fleur au printemps. Je sortis finalement de la douche en tâchant de reprendre sur moi-même et de me montrer forte comme autrefois. J’avais beaucoup à travailler autant physiquement que psychologiquement et je prendrais le temps qu’il faut si l’hôtel me permettait de rester un moment pour mon rétablissement. J’était sortit une serviette enrouler autour de la taille foutant à la poubelle mes anciens vêtements souillés. Je me demandait ce qu’il me serait possible d’enfiler pour ne pas ressembler à une star du porno dans toutes ce que pouvait posséder Bruce. Finalement je termina mes recherches sur des vêtements de bas de tiroir, j’avais enfilé un caleçon rose un peu grand de taille à une ancienne conquête peut-être et un t-shirt long arborant le logo de Deadpool en talon haut qui arrêtais à mi-cuisse. Lorsque Bruce revint j’étais déjà emmitouflée dans les couvertures puis j’ouvrit un œil en m’assayant dans le lit. Je lui sourit simplement revigoré et un peu plus d'éclat dans le regard.
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