Don't worry, be happy!

Don't worry, be happy

Bon c’est le temps de faire une petite tournée d’inspection autour de la baraque qui me sert de refuge pour la nuit. Putain que je me sens pris dans une routine et je commence à virer fou à faire juste les même activités. Sortir m’amuser à taper du zombie, essayer de trouver de la bouffe et chanter à tue-tête. Je suis planté au milieu d’un patelin du nom genre Quadamolne ou un truc du genre. Je me suis arrêter ici car le nom m’a bien fait marré et que je me suis dit qu'il devait bien avoir des joujous de riche. Mais j’aimerais bien déconner avec une personne, pourquoi pas baiser un peu si ça s’adonne. Un trou c’est un trou et une queue n’a pas de yeux. Une de mes meilleures philosophies. Juste à penser à des mouvements lubrique fait relever mon kilt et ce n’est pas le froid qui affecte mon général à moustache qui aime monter sa tente. Mon bouclier au bras, mon bec de corbin à la main et mon reste sur mon dos, j’ai l’air d’un vendeur itinérant. Mon casque à visière avec deux canettes de bières dessus me donne un panache que j’adore. Je me fous du comment je suis habiller. Juste pour dire je suis en chaps de cuir et en kilt. Donc j’ai mon crache yaourt à tête violet qui se fait caresser par le vent et ma zone venteuse est libre comme l’air. Je marche en restant plus ou moins alerte en dansant un peu. Je virevolte dans tous les sens comme une toupie. Comme ça je peux zieuter autour de moi en et je suis fabuleux dans mes déhanchements. Je sais que je provoque l’appétit de tous. Mais merde ces derniers temps c’est des zombies qui veulent mon cul. Au moins ça me fait du sport.

Donc me voilà en train de me promener au milieu de ce quartier fantôme. Je rêve de me trouver un bidon d’essence pour Rosie mon scooter rose trop classe. Aussi des munitions ou bien des joujoux de tous les goûts pour me désennuyer. En marchant dans ce paysage complètement laisser à l’abandon, je suis étonné de ne pas voir monsieur cannibale qui ne vit plus, ou bien des vrais comme Hannibal, de se promener en farfouillant partout.

Bruce- Bordel les zombies sont invités à une fête! Ils ont oublié de le dire à leur vieux copain Bruce? Je suis tout tristonette! Si je les attrapes je vais leur planter mon marteau dans la tronche pour leur apprendre que ce n’est pas sympa de me laisser tout seul comme un gland dans le sable.

Je fais même « exprès » pour frapper du pied une conserve qui rebondit sur le bitume. Rien du tout. Je place alors mon écouteur dans mon oreille gauche et je fredonne en même temps que le chanteur un vieux tube des années 70. Je me fous du bruit et je commence à chanter d’une voix de fausette et amusante tout en sifflotant quand c'est le moment.

Bruce-
Here's a little song I wrote
You might want to sing it note for note
Don't worry, be happy
In every life we have some trouble
But when you worry you make it double
Don't worry, be happy
Don't worry, be happy now
don't worry
Ooh, ooh ooh ooh oo-ooh ooh oo-ooh be happy
Ooh, ooh ooh ooh oo-ooh ooh oo-ooh don't worry, be happy
Ooh, ooh ooh ooh oo-ooh ooh oo-ooh don't worry
Ooh, ooh ooh ooh oo-ooh ooh oo-ooh be happy
Ooh, ooh ooh ooh oo-ooh ooh oo-ooh don't worry, be happy
Ain't got no place to lay your head
Somebody came and took your bed
Don't worry, be happy
The landlord say your rent is late
He may have to litigate
Don't worry, be happy
Oh, ooh ooh ooh oo-ooh ooh oo-ooh don'...

Ça met du pep dans une expédition qui va être trop longue. Mais je suis arrêté alors en plein milieu de ma chanson par un cri d’épouvante. Mon sang se fige et même mon érection quasi-permanente retombe. C’est celui d’une femme car je l’ai entendu plus qu’une fois. Putain de merde je me revoie dernièrement avec une survivante qui était encerclé par des bouffeurs de chairs. J’ai arrivé trop car elle fut mordue. Elle m’a supplié de la tuer et ma santé mentale fragile en a pris pour son rhume. Alors pas cette fois si je peux réussir à intervenir comme Batman. Je m’élance et j’arrive en dérapant dans une sorte de terrain vague clôturé avec des bagnoles abandonnées. Le coin favori des violeurs et des pourritures qui ont un phallus de la taille de mon petit doigt. J’arrive au moment où trois types semblent maintenir un superbe corps sur le capot d’une voiture. L’un la gifle violement et aussitôt me voilà le méchant Brucie. Le genre de type qui va te marteler les couilles avec son marteau pour te les faire recracher et qu’ensuite il va te les faire ravaler pour recommencer juste à l’infini et plus loin encore. Je suis encore loin et là c’est le sprint de la mort quand celui qui se tient un peu les burnes ramasse le couteau pour menacer la demoiselle hurlante. Celle-ci s’arrête sous la menace et je me promets de lui faire avaler son couteau par le cul à ce type. J’arrive donc au moment pour capter quelques mots de la pourriture qui essaie de relever la manche du manteau de la femme qui se remit à se débattre avec l’énergie du désespoir.

Mauvais type- Tenez la bien les gars, j’vais lui faire la marque du gang sur le bras, histoire qu’elle nous oublie pas.

Les deux autres se mirent à ricaner comme des hyènes dans le Roi Lion. Tiens je pourrais jouer le macaque qui sait? Ils ne m’ont pas entendu arriver malgré le fait que je suis aussi discret qu'un éléphant qui tombe sur le cul. Je me plante derrière et je leur dit avec toute la haine que me provoque cette scène que tout bon père de famille voudrait jamais voir.

Bruce- Vous êtes en train de d'essayer de vous taper une demoiselle à trois gang d'enfoirés.... C’est moi ou vous ne valez pas un pet de lapin mort dans un sac de merde?

Je fais un clin d’œil espiègle et remplis de sollicitude à la gamine et un grand sourire encourageant.

Bruce- Désolé des mauvais mots d’oncle Brucie… Maintenant ferme les yeux car je vais leur apprendre à comment traiter une femme à ces connards d’enculés de leurs mères!

Je commence par le type qui pense être un pirate avec un couteau de l’armée entre les dents. Je balance un coup de mon bec de corbin directement sur la garde de l’arme et le choc est bandant. Le gus recule en crachant la lame de combat, quelques dents et du sang en gueulant comme une vache amoureuse. Je rigole et aussitôt je me tourne vers l’autre qui manie une batte de baseball. Il se croit un cogneur de la ligue Majeur et me balance son arme vers ma tête. Dommage mon bouclier est là pour bloquer. Ça résonne comme un coup de gong et si je pourrais ressentir de la douleur j’aurai peut-être mal au bras pour peut-être m’empêcher de décharger ma sauce du chef ce soir. Il se replace en position et je vois une ouverture. Je lève bien haut ma bottine à cap d’acier direct dans la jonction de ses jambes. Le type hurle d’une voix de castra, la puissance de mon coup doit lui avoir émietté les burnes c’est sûr. Comme il me casse les oreilles, je l’assomme avec le bouclier en acier. KO et je danse un peu comme déconner. Monsieur Lapin attacher à ma ceinture danse avec moi. Mais un choc dans mon dos me fait arrêter. Je ne sens pas que le dernier type vient de me planter un couteau à cran d’arrêt direct dans l’omoplate, un peu plus et il perçait mon sac à dos Dora l’Exploratrice. Je me retourne et mon regard d’azur glacier brule de haine et de fureur. L’homme lève les mains, incrédule que je ne sois pas à terre en train de pleurer ma mère.

Type- Mec on ne veut pas d’embrouille. Cette salope à buter notre ami Karl…

Je fais mon expression 23 de type en colère et sadique à souhait.

Bruce- Si c’était un enculé comme vous trois, je l’appuie… Peace mon frère… En passant dis-moi le nom de ton gang de merde

L’idiot fait le symbole de la paix avec ses doigts en me le disant. Je le fait aussi avec ma main qui tient mon marteau de guerre. Ensuite je l’envoie chier avec un doigt bien dresser et lui balance un coup au niveau de la tempe pour l’envoyer au sol en convulsion. Celui qui cherche ses dents à le cul bien dressé et j’ai une putain de bonne idée. Je pivote mon bec de corbin dans ma main gantée et je prends un élan. Je fais un arc parfait et le bout pointu pénètre entre les fesses du type. Il se redresse un instant sur le choc que le pique de métal lui déchire l’élastique brun et tombe dans les pommes en hurlant de souffrance. J’essuie alors mon arme qui semble avoir des résidus de merdes et de sang du cul du type édentés. Je l’adore ce marteau de guerre et je dis à voir haute.

Bruce- Je crois t’appeler le Pénétrator!

Je fige en me rappelant de la demoiselle et me retourne en m’excusant comme un gentleman pris en défaut…

@Anaëlle Strom

Musique qui joue dans l'oreille de Bruce!:

Codage par Libella sur Graphiorum

Don't worry, be happy

Ft. Bruce Smith

Je n’étais pas entrée dormir au fort cette nuit-là, je voulais faire des recherches en ville le plus tôt possible pour trouver n’importe quoi qui serais utile au groupe. Je m’étais cloîtrer dans un ancien cabanon en bois derrière une maison abandonnée depuis un bon moment. Le vent frais avait fait claquer la tôle du toit toute la nuit incertaine que c’était le bruit du vent, je m’étais endormis sabre en main pour la peine et un sniper poser à mes côtés. J’avais trouvé quelques outils utiles à des bricoles simples et du
«Ducktape » que je fourrai dans mon sac en me redressant. J’entend la porte de la maison où je me trouve claquer et je vois finalement un énergumène en sortir.

What the fuck… qu’est ce que c’est que ça !? J’avais froncé les sourcils littéralement en le voyant sortir de la maison accoutré de la sorte. Que dire de son sac de Dora l'exploratrice, je n'ai qu'une chose en tête, un évadé de l'asile c'est clair. Au bruit qu’il faisait il ne m’avait surement pas remarqué. Je le suivis de loin en l’observant un peu, me cachant derrière les maisons alors qu’il virevoltait sur lui-même comme une tornade. Je le vois gesticulé en marchant, sa voix s’élevant comme s’il parlait seul, le voila qu’il frappe du pied une conserve qui émet un son qui résonne en brisant le silence.

Mais qu’est-ce qu’il fou ce débile? Lançais-je n’ayant pas tout vue visiblement. Je n’étais pas au bout de mes surprises, le voila qu’il se mettais à chanter à tue-tête une chanson qui me rappela des souvenirs. Surprenant, il chantait plutôt bien et j’arrivais à distinguer qu’elle était le hit qu’il chantonnais pour l’heure. J’avais souri en me passant la main au visage un air découragé.

Finalement un cri strident perse le silence et me fais figer sur place, le mec qu’y me servais de distraction pour le moment s’y élance rapidement, je le suis toujours impressionnés par son code vestimentaire et sa façon de se mouvoir. Je m'installe sur le toit d'une demeure que je m'empresse de fouillé. Je regarde l’échange avec la lunette de visé qui est installer sur le sniper qui me tien compagnie, installer sur le haut d’une maisonnette a quelques mètres je vois tout ce qui se passe avec un certain sourire. Je ne sais pas pourquoi mais ce mec me fait rire et c’est un vrai spectacle ambulant, j’ouvre grand la bouche quand je le vois se manger un couteau dans le dos et qu’il ne semble pas réagir, il continue d’échanger comme si rien voyant l’autre demander la paix puis se faire exploser la gueule et le trou de balle, j’éclate de rire.

Et ben merde alors… sa s’était super épique…

Je continue de l’observer dans ma visée alors qu’il se retourne vers la femme, une morsure évidente sur la nuque alors quelle se redresse du véhicule, poursuivant l’échange avec le clown. Visiblement elle ne s’est pas encore transformée mais ça ne serait tardé. Elle me fait dos la pauvre. Il ne semble pas s'en être rendu compte par contre. J’enclenche mon arme dans un cliquetis métallique, et BAM ! Je lui explose la tête, je vois le sang giclé contre le visage de son sauveur. Je pouffe de rire a nouveau, puis allume le viseur point rouge le posant sur la morsure de la nuque de la femme alors que son corps s'écroule au sol face première. Signalant à ce cher gentleman que son sauvetage était vain de toute manière. J’espère qu’il ne m’en voudra pas de lui avoir voler son possible coup du soir.

Je lui envoie la main alors qu’il regarde dans ma direction cette fois-ci, j’entend des rôdeurs qui semble finalement se réveiller tout autour de l’endroit où je me trouve. Ils viennent vers moi inévitablement, je remballe vite fait mes effets personnels puis prend mes jambes à mon cou. Je détale comme un lapin en fuite, passant par les toits des maisons en courant puis sautant avec agilité de l’une à l’autre, culbutant pour mieux réceptionner le sol. Poursuivant sur ma lancé, la dernière maison semble avoir subi les périples d’une ravageuse tempête et le toit ne soutient pas mon poids cette fois, je m’y enfonce dans un fracas retentissant.

Fuck lançais-je en tombant sur le dos, le souffle coupé. Je me redresse alors que je sens sur ma joue couler un liquide chaud. Je touche mon visage et me rend compte que mon front est légèrement ouvert et que mon visage se couvre de sang rapidement comme si c'était la blessure du siècle. Je range mon sniper a mon dos et sort mon sabre. Je ne sais pas si le mec ce pointeras parce qu’il n’y a pas de doute quant à la vision de ma chute, il doit tellement se foutre de ma gueule… Les rôdeurs ne semble pas vraiment m’avoir suivis, heureusement mais le son de ma chute pourrait les attirés, vaut mieux pas que je reste dans les parages.

(c) par elfyqchan pour Never-Utopia

Don't worry, be happy

Grand sourire ravageur et un coup de feu retentit. Un peu plus et je fais un petit pipi nerveux. La demoiselle n’a plus de tête et tombe au sol. Disons que pour le coup c’est moins attirant sans bouche. Heureusement que j’ai ma visière sur mon casque à bière. Je me retourne et voit une belle donzelle qui me fait un signe de la main. Son pointeur laser montre la morsure de saloperie. Je m’en suis tiré cette fois-ci. Car si on avait baisé, bien je me serais fait manger comme il faut. Quoique les convulsions de la transformation m’auraient surement plu. À essayer dans un avenir proche. Pour remercier le genre de femme qui me plait, sexy à mort avec un gros calibre à la main, je lui fais une révérence avec mon kilt comme une demoiselle de la haute. Plein de charme j'essuie le sang avec l'un des string qui dépose de la poche de mon kilt. Hors un bruit attire mon attention et en me retournant je vois une fillette sortir de la voiture. Elle regarde le corps de la femme en disant faiblement « maman ». Je me fige en voyant la petite figure terroriser de la fillette. Bordel de merde que fais une enfant perdu sur mon terrain de jeu grandeur nature? Aussi je dois faire attention de ne pas faire de flip ou de truc de ce genre car sous mon kilt c’est réserver pour du 18 ans et plus. Cette dernière à ramasser un gros couteau de combat et je lui fais un gros sourire confiant. J’arrive pour dire un truc, mais un des pourris lui attrapa le poignet avant que j’ai pu m’ouvrir la gueule. Si ce dernier avait fait le mort, je l’aurai laissé vivre pour qu’il puisse avertir ses petits copains de branlettes qu’il y avait un nouveau shérif en ville, un viril guignol en kilt dont ils ont fait la gaffe de vouloir faire du mal à une gamine sur son putain de territoire. Je sais ce n’est pas mon patelin, mais dès que je déposer ma pêche à un endroit je me considère en territoire conquis. Je lève mon marteau avec mon grand sourire mauvais « tu n’aurais pas dû te lever ce matin pour crever la gueule ouverte mon gland » numéro 21. Mais contre toute attente la fillette se dégage et plante le couteau de combat dans l’œil du type condamné. Je porte ma main armé de mon bec de corbin à ma lèvre inférieure dans une imitation de surprise confuse et je dis alors en voyant le défoulement de rage de la gamine avec une voix fluté d’admiration.

Bruce- Oh… le bébé est épicé comme un jalapenos et enrager comme un pitbull à qui on vient d’enlever une couille! J’adore ça!

Machinalement je compte les coups de couteau en rythme et je souris comme un épais. C’est bien qu’elle fasse ça, de se laisser aller son trop plein d’émotions car sinon elle va craquer. Je sais j’ai passé par là et sûrement que je vais repasser là aussi encore. Je laisse pendre mon bouclier par sa lanière de transport et place le Pénétrator dans son anneau. Je fais mine de frapper dans mes mains pour accompagner les bruits de succions de la lame dans la chair, mais je me retiens de force. Mais comme toujours l’épuisement arriva et la petite arrêta son poignardage en règle et essaya de reprendre son souffle. Comme de raison là les nerfs lâchent quand on vient de comprendre ce qu’on vient de faire. Moi aussi j’ai ai comme ça lors de mon dépucelage de meurtrier. Heureusement pour elle tonton Bruce est là et il sait comment gérer. Plus ou moins mais c’est mieux qu’un coup directement dans la fourche non. Je la laisse alors pleurer un peu te je lui effleure l’épaule alors qu’elle est toujours assise sur sa victime. Elle sursaute, merde j’ai oublié qu’on ne voit que son trouduc et plus rien à notre premier règlement de compte, et me regarde avec une rage latente dans son regard. Les autres trouveront ça pénible et brise-cœur de voir une gamine en fureur comme ça, mais mon petit cœur de papa en deuil craque totalement. Je voudrais lui laver son petit visage d’angelot du sang du pourri, lui expliquer comment poignarder proprement pour éviter de salir sa robe et la border le soir pour veiller sur elle. Comme j’ai fait dans un passé lointain avec mes propres filles. L’enfante devant moi se la joue sauvageonne, laissant son instinct de survie dominer. Je tends mes mains pour la calmer et elle lance une attaque qui me fait saigner le dos de ma paluche. Je m’en fous de la blessure, mon insensibilité à la douleur c’est le pied quand on est dingo comme moi, mais voir ma mitaine favorite percé me fait royalement chier. Je la regarde avec l’allure d’un père qui est sur le point de gronder sa progéniture.

Bruce- C’est ma paire de mitaines favorites! La calme-toi car Tonton Bruce est de ton côté. Tu es en colère et épuiser. Je sais car j’ai passé plus qu’une fois-là. Je suis ici pour t’aider.

Quand elle se calme et semble remettre ses armes par épuisement, je laisse l’instinct paternel qui m’habite encore la saisir doucement dans mes gros bras rassurant. Du réconfort et de l’apaisement prennent le pas sur ma folie, sur mon insouciance et ma provocation accompagné d’une libido qui cogne dans le tapis. Tout doucement je commence à chatonner une comptine que j’utilisais pour rassurer ma petite Molly.

Bruce- L’était une p’tite poule grise
Qui allait pondre dans l’église
Pondait un p’tit coco
Pour l’enfant s’il dort bientôt

L’était une p’tite poule noire
Qui allait pondre dans l’armoire
Pondait un p’tit coco
Pour l’enfant s’il dort bientôt

L’était une p’tite poule blanche
Qui allait pondre dans la grange
Pondait un p’tit coco
Pour l’enfant s’il dort bientôt

L’était une p’tite poule rousse
Qui allait pondre dans la mousse
Pondait un p’tit coco
Pour l’enfant s’il dort bientôt

Elle semble se détendre un peu et c’est là que les autres emmerdeurs de classe mondiales décident de se montrer leurs faces de plaies de guerre de sécessions qu’on on vient de chier dedans. Donc c’est laid et ça ne sent pas la rose. Il en un « frais » qui court, mais le reste essaient de démarrer un chant de gospel qui me saigner des oreilles. Je me redresse et me place devant la gamine. Elle voit parfaitement le couteau à cran d’arrêt dans mon dos, mais je m’en fous comme de mon premier slip. Rageusement je pointe la gang de morpions putrides avec un index accusateur et leur gueule dessus haineusement.

Bruce- Ma gang de bouffeur de phallus passé date! On ne vous a pas sonné! Et votre chant c’est de la merde en conserve.

Je me retourne alors vers la gamine avec un clin d’œil complice et encourageant.

Bruce- On doit courir un peu ça te dit. Je crois que je viens d’énerver un peu le groupe de glands défraichis. Le premier qui se rend à la ruelle gagne d’accord?

Je vois la trop canon sniper se sauver en sautant comme une grenouille partout. Wow elle doit valoir le coup dans la chambrette car elle semble flexible souple. Je dois la rattraper pour lui demander si elle vit encore chez ses parents histoire de savoir si ses parents et si ses derniers ont un ménage ouvert. Hors la sexy beauté fatale tombe au travers d’un toit et nous allons voir si ça va. Elle saigne du front et est en garde avec son sabre. Pour ma part je rigole comme un dingue. Un rire libérateur et bon enfant.

Bruce- Hello beauté fatale! Tu as fait un carton dans mon cœur! J’aimerais bien t’emmener souper aux chandelles, mais des puants vont rappliquer. Tu viens il y a une échelle de secours pas loin. On pourrait prendre de la hauteur et je pourrais te présenter… Bordel j’ai oublié de te demander ton nom fillette.

La petite murmure un Gwen. Je sais qu’elle est sine car je n’ai pas vu de morsure. Galamment je fais signe aux dames de passer devant et je cours avec elle. Nous courons, mais les enjambés de l’enfant ont moins de portés que les miennes. Et en plus elle est épuisée. Le zombie frais nous rattrape, les autres sont pas loin. Un coup de rage me fouette les sens et je me détourne pour foncer sur la tête de gland qui est en avance. J’adore le combat au corps-à-corps et je lui fais le coup de la corde à linge. Le zombie fait presque un tour complet autour de mon bras avant de s’écraser au sol. Aussitôt j’ai une idée rigolote et je lui fais tomber sur la tronche variolée par le virus une grosse boite à lettres en acier. La tête explose comme un melon et je rigole comme un con en faisant quelques pas de victoire qui va rendre Michael Jackson blanc de rage. Tiens je me demande si je pourrais faire une chorégraphie de Thrillers avec les zonzon? Prochaine quête pour moi me trouver le gant et le manteau du Roi de la Pop! Mais je reviens à ma victime au crâne ouvert.

Bruce- Tu vois mon vieux les lettres peuvent être mortelles. Je crois que les comptes de cartes de crédits sont lourds après Noël du temps des fêtes.

Je cours de nouveau et comme de raison on arrive dans un putain de cul-de-sac. Je regarde partout et voit une échelle d’incendie qui semble hors d’atteinte pour le commun des mortelles. Mais si je fais grimper la fillette sur mes épaules elle pourra la saisir et se hisser en sécurité. Comme ça moi je pourrais faire du tir à la cible et avoir les zonzons juste pour moi. Je sais je suis égoïste en matière de baston! Je mets le genou au sol et lui dépose mes mains sur les épaules de manières douces et réconfortantes.

Bruce- Écoute chaton je vais te faire grimper sur mes épaules. Comme ça tu vas pouvoir agripper l’échelle. En haut il y a un mécanisme de blocage. Ce sera très gentil d’aider tonton Bruce en descendant l’échelle. Tu vas y arriver car tu es courageuse d’accord?

Je la sers dans mes bras pour lui procurer un peu de courage et je la fais s’assoir sur mes épaules. Je me place près du mur pour lui permettre de saisir l’échelle en s’aidant et quand elle réussit je fais quelques pas de cheerleaders pour l’encourager. J'aurai sûrement battu les meneuses de claques des Cowboy de Dallas et en plus j'ai plus de sex-appel que ce groupe. En plus j'en ai sauté une partie après une prise d'otages que j'ai dû intervenir à titre de freelancers. Chez moi j'ai encore les pompoms et le costume que j'ai piqué à l'une d'elle.

Bruce- YES tu es la meilleure! Tu es la best!!!!

Je regarde la belle femme, bordel sexy et dur à cuir de quoi me rendre fou comme un chiot et pisser à terre. Un immmense sourire ravegeur se déposer sur mes lippes charnues et je lui dis un truc en faisant un clin d'oeil complice.

Bruce- Ça te dit de l’aider? Tu sautes comme si la terre est en lave et ça me fait travailler mon kilt.

Aucune inquiétude la belle devrait se rendre en haut très vite. Les zombies s’approchent et je fais mines de les compter. Pour la provocation je soulève mon kilt, en prenant garde que la gamine ne voit pas Brucie junior en dessous, et je fais l’hélicopqueue. Ensuite je fais basculer mon Garand pour me préparer à faire feu

Bruce- Qui veut gouter mon gros salami? Attention ça vient avec du plomb en accompagnement mes jolies!

Hors une nouvelle chanson résonne et je vais des tours comme un mannequin en suivant le tempo. Je suis anguicheur et trop drôle. Je reprend la position de tir classique debout et j'enligne la horde. Je commence à tirer dans le groupe de zombies comme si j’étais au champ de tir tout en bougeant la tête en suivant le rymthe. Calme et surtout en train de me marrer tout seul comme un grand. Car ou il n’y a pas de plaisir il n’y a pas Bruce dans le coin…

@Anaëlle Strom

Musique qui joue dans l'oreille de Bruce!:

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Ft. Bruce Smith

Tomber du toit en me retrouvant un étage en dessous avais légerement fracasser mon orgueil, je me redressais doucement en soupirant. Essuyant le sang qui me perlais au visage du mieux que je pouvais. J’allais quitter rapidement cet endroit quand le mec étrange et une jeune fille apparaisse dans l’établissement. Mais d’où elle sort cette gamine ?

Bruce- Hello beauté fatale! Tu as fait un carton dans mon cœur! J’aimerais bien t’emmener souper aux chandelles, mais des puants vont rappliquer. Tu viens il y a une échelle de secours pas loin. On pourrait prendre de la hauteur et je pourrais te présenter… Bordel j’ai oublié de te demander ton nom fillette.

Je ne suis pas certaine de ce qu’il est entrain de me dire mais le
« ils vont se rappliquer » ne passe pas inaperçu et je reprends mes choses éparpiller au sol. Je regarde la gamine alors qu’elle se présente faiblement. Gwen donc… Sans attendre on se met à courir le plus rapidement possible, la jeune a du mal à suivre et l’énergumène entame un combat pour ralentir un premier zônards. On tourne le coin d’une ruelle et nous voilà finalement fasse à un cul-de-sac. Reprenant notre souffle, le gars m’indique une échelle. Il prend la petite sur ses épaules en l’encourageant tel un père envers sa fille alors qu’elle abaisse l’échelle. Je monte à la vitesse de l’éclair à sa suite alors qu’il engage un combat au sol. Je m’assure que la petite est en sécurité et je sors mon sniper pour l’aider en venant en tuer quelques-uns en approche. Mes munitions se font de plus en plus maigre je me garde environ une dizaine de balles pour plus tard.

Ça va petite ? Osais-je demandé vers la fillette en rangeant mon sniper dans mon dos. Elle me répond par l’affirmative d’un simple hochement de tête. On attendit que le mec revienne nous rejoindre, j’observais son combat en m’assurant qu’il n’éprouvait aucune difficulté. J’avais repris mon sabre en main prête a toute éventualité, voyant visiblement que le taré au sol, semble avoir bien du plaisir en bougeant de la tête en écoutant de la musique, visiblement dans sa bulle.

Je regarde Gwen et lui lance une barre tendre, qu’elle s’empresse de manger rapidement. Mon regard parcours le toit où nous nous trouvons. Il y a une porte en métal qui mène sans doute vers les étages inférieurs un peu plus loin sur le toit. Je n’ai aucune idée sur qu’elle genre d’endroit on sais planquer et je n’ose pas ouvrir pour le moment, je toc à la porte en mettant mon oreille sur celle-ci. À l’affût du moindre bruit, il y règne un calme plat... du moins pour le moment.

Je n’entends plus les coups de feu en bas et je ne sais pas si c’est une bonne chose ou pas... Je m’approche de nouveau de l’échelle et tombe nez a nez avec Bruce en sursautant.

Putain de merde !!! Bon t’a fini ton spectacle? lançais un demi sourire aux lèvres en regardant en bas pour voir les morts s'empiler. Beau boulot!

Je me dirige à nouveau, d’un pas certain vers la fameuse porte. Par instinct sans doute je ne l’ouvris pas encore et frappa de nouveau sur elle, écoutant attentivement. J’entendais des bruits lointains mais rien de concret qui se frappais le nez contre la porte.

Je crois que c’est Clean... on y va ? Je tournai doucement la poignée alors que la porte semblait déverrouiller. La petite avais rapidement finaliser sa barre tendre et silencieuse nous suivais au cul comme une mouche à merde. Je lui fis signe de garder le silence et elle acquiesça de la tête alors que mon regard se posa sur l’énergumène.

Tu es capable de marcher sans faire de bruit toi ? Sérieusement je n’étais pas certaine sur qu’elle genre de mec je venais de tomber, il avait une belle gueule mais avais l’air dérangé mentalement. Il se croyais peut-être dans un scénario de film ou je ne sais pas ? La mort ne semblait pas l’effrayer et il se foutait carrément de la gueule de la vie en généralement aurait-on dit.

Tu as un nom ballerine? Avais je demandé avant de m’engouffrer dans la sombre descente d’escalier. Ha! En passant, tu as un petit quelques choses dans le dos... J'était vraiment impressionner par sa tolérance à la douleur ou bien il avais consommer une drogue vraiment dure pour pas se rendre compte d'avoir un couteau planté dans le dos.. Mais tu devrais la laisser là pour le moment, essayons de trouver une pharmacie. avais-je ajouter passant par la porte rapidement. M'engouffrant dans la cage d'escalier sombre, je descendit les marches silencieusement visiblement nous nous trouvions dans un petit immeuble a 6 appartements. Je chuchotai vers mon nouveau collègue du moment.
Tu veux fouiller? demandais-je en face de la porte numéro 6.

(c) par elfyqchan pour Never-Utopia

Don't worry, be happy

Je dégomme les affreux tous en rigolant comme un sale gosse. Mon exactitude va de pair avec Brucie junior, elle est énorme, vicieuse et dur à battre. J’écrase huit fois la détente de mon vieux Garand et huit zonzons mordent la poussière. Le claquement sonore m’indique toutefois que le chargeur est vide et je lève l’index pour commencer à compter mes possibles adversaires. C’est idiot, peu constructif mais ça me fait marrer et même danser un peu de joie provocante. Il doit en avoir une trentaine. Mais une fois que je pointe un zombie bien juteux la tête lui explose et je regarde mon index tout surpris en comprenant par après que c’est ma joolie sniper qui m’a en zigouiller un. Je vais lui dire de trouver les siens. Ça ce n’est pas trop gentil. Je laisse mon fusil se pendre à sa ganse et sort mon bec de Corbin. Je le lève haut comme Thor et gueule très fort comme un superhéros à la con!

Bruce- VENEZ VOS FROTTEZ AU PENETRATOR! VOUS SEREZ DÉFONCER PAR TOUS LES ORIFICES MA BELLES GANG DE BOUFFEUR DE PHALLUS PASSÉ DATE!

Je prends la pose « super-héroqiue-qui-faitmouiller-les-petites-dames-comme-les-chutes-du-Niagara », jambes bien ancré au sol et Brucie junior qui se balance hypnotiquement sous mon kilt, quand un immense claquement se fait entendre dans mon dos. Je sursaute vers l’avant tout en me tenant le cul comme une pucelle qui vient de se faire pincer les fesses pour la première fois. Désinvolte je balance un immense coup de mon arme sur la gueule défraichie d’un ancien postier et me retourne vers l’échelle en posant mes mains sur un visage à la fois ravis et gêner.

Bruce- Ma coquine! Tu viens me sauver les baloches?

Une petite voix hurle alors et me sort de mon jeu de séduction entre moi et l’échelle de secours aussi sec. Mon papa m’a déjà dit une fois toujours d’écouter une femme avec un gros calibre qui me gueule dessus de grimper à l’échelle pour me tirer d’un tas de groupie cannibales. Je m’élance et commence à grimper avec un bon rythme. Ben quoi pour avoir ce corps désirable et qui fait fondre n’importe quel nana je me garde dans une forme superbe. Mais un putain de zonzon décide de jouer les voyeurs et s’agrippe à ma jambe comme un macaque qui veut ma banane! J’ai les deux pieds dans le vide, un poids mort qui essaie de grimper le long de ma jambe et la brise de l’océan qui me caresse les couilles. Quoi de mieux pour se sentir vivant je vous le demande! J’essaie de le kicker directe dans sa face, mais je manque et ça ne fait qu’ouvrir davantage mon kilt. Les zonzons hurlent de gourmandise en voyant que je suis monté comme un âne et malgré la situation, je suis fier en cet instant! Mais je suis soudainement libre quand un pot de peinture frappe le zombie en pleine tronche pour qu’il me lâche. Je regarde la gerbe de peinture blanche s’étaler sur le groupe un peu plus bas et je regarde la gamine qui me fait signe de me grouiller le cul. La horde et la gamine. Plusieurs fois ma tête fait le mouvement et je songe un instant que c’est une idée à la con comme je les aime. Moi au-dessus de trois ou quatre danseuses exotiques infectés la bouche grande ouverte et moi qui me prépare à leur envoyer ma sauce spéciale Brucie… Bordel que j’ai le don d’avoir des images lubriques et perverses dans les pires moments. Je grimpe rapidement malgré les assauts des fans de grosses saucisses poilus en contrebas qui malmène l’échelle. Je vais sursauter la femme fatale et j’en profite pour lui embrasser le font avec un clin d’œil d’une pucelle qui use de son charme. Elle est si adorable! J’ai juste le temps de me basculer sur le toit avant que l’échelle sois arraché de ses support et tombe en écrasant la foule putride en bas. Je me mets à genoux à son niveau pour reprendre ma respiration et je plonge mon regard d’azur pétillant de fierté dans le sien. Mais c’est alors que je remarque un truc.

Bruce- Que le grand cric me croque les noix! Tu as des yeux phénoménaux! Je sais je suis bien placé pour les juger car j’adore le vert comme le tien!

Je vois la petite gamine et alors sans crier gare je l’enlace avec tendresse et chaleur.

Bruce- Merci petite fée tu as été super! Tu as été kickass et courageuse comme une petite superhéros!

Je me relève et l’entraine dans un tourniquet les plus amusants. Un peu comme je le faisais souvent avec mes filles. Je rigole et elle rigole à ma grande surprise. De soulagement d’être encore tous les deux en vie. Alors je la dépose et prend mon air le plus sérieux possible. Mais l’éclat d’azur de mon regard n’est qu’espièglerie et digne d’un gamin qui va dire une connerie.

Bruce- Maintenant Gwen j’ai une question sérieuse… (effet d’importance capitale en agrandissant les yeux et air sérieux) Il reste des galons de peintures à balancer sur les zonzons en bas?

Elle regarde un coin ou repose une douzaine de contenants. Je plisse des paupières d’amusement et hoche la tête pour passer mon idée de con. Je me relève et emmène le tout près du rebord.

Bruce- Je suis sûr que tu vas en avoir plus que moi!

J’en lance un et une gerbe bleue s’étend sur le groupe ce qui me fait rigoler. Mais la sniper trop torride annonce qu’on doit partir. De rage et l’air boudeur je botte les gallons et un arc-en-ciel de couleurs se dépose sur la marée de mes groupies qui voulaient me grignoter les fesses. Quand elle me demande si je peux me déplacer en silence, je hoche la tête et j’exagère mes mouvements comme les sournois dans les bandes dessinés. Mais dès qu’on entre elle voit que je ne rigole pas. Marine, SWAT et membre d’une unité spéciale. Je me mouvais dans un silence complet et couvre les angles comme un professionnel. Pour ma part j’aimerais mieux surveiller ses six heures, mais ce n’est pas le moment. On marche comme une horloge suisse, un véritable binôme. Inutile que ma grande aiguille adorait joué dans son mécanisme. Je m’arrête à un pallier et je tends l’oreille. Elle me cause et je luis fais un de ces sourires ravageurs qui ferait succomber même la Reine Élisabeth.

Bruce- Bruce ma toute belle! J’adore te voir courir partout! Tu es une ninja c’est ça? Moi je suis freelancer militaire et infirmier. Je suis spécialiste des piqures d’amour à répétitions et de béquer bobo!

Quand elle me dit que j’ai quelques choses dans le dos je me tourne comme un chien qui court après sa queue. Après quelques tours je vois le manche et rigole doucement.

Bruce. Tu as raison beauté fatale! Je te le donne tout à l’heure si tu veux. Mais ça me dit de fouiller. Attend.

J’arrache un 9 de la porte voisine et je le mets près du 6 en faisant un de ces sourire lubrique et totalement comique je possède en inventaire.

Bruce- Agent 69 pour votre plaisir mademoiselle!

Je tourne la poignée en rigolant car j’ai entendu le petit malin qui grogne derrière le battant. J’ouvre en grand et le sournois qui pue la tante Germaine s’écrase au sol. Avec nonchalance j’écrase mon Bec de Corbin sur la tête de l’ancien locataire et disant avec assurance.

Bruce- Ton loyer est dû depuis un an. Je suis le recouvreur et tu dois payer de ta personne désolé.

Je fais signe de je vais chercher dans la cuisine et le salon et la beauté fatale s’occupe de la chambre. Je savais que je lui plaisais la coquine. La petite la suit comme si elle avait décidé d’adopter la femme comme nourrice suppléante. Je trouve des conserves, assez pour un repas pour deux en amoureux et rien dans le salon. Pas de zonszons et c'est le bordel comme j'adore ce monde chaotique. Plus besoin de faire le méange. Tranquillement après avoir verrouillé la porte d’entrée et mis un meuble en guise de barricade, je m’assoie sur le sofa et rageusement je fais mine de zapper les postes.

Bruce- Bordel de programmation d’été de mon cul! Il n’y a que des reprises.

Je parle alors sans savoir ce qui se passe dans la chambre avec la beauté fatale qui est trop bandante.

Bruce- Et toi tu as un nom? Merci pour tout à l’heure. Je croyais que je devrais tous me les farcir….

Jet 1- Nombre de zombies.
1-2 : 0 amusement
3-4-5 : 1 Zombies
6 : 2 Zombies

Jet 2- Risque pour Gwen
1-2-3 : Rien
4-5 : Risque de blessure très légère
6 : Danger de mort si pas aider dans l'un de nos posts (Le tien et ensuite le mien)

Jet 3 et 4 - Touvaille
1-2-3 : Rien
4-5 : Article courant ou nourriture
6 : Arme ou truc trop bien

@Anaëlle Strom

Musique qui joue dans l'oreille de Bruce!:

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'Dé 6' : 3, 6, 2, 5

Don't worry, be happy

Ft. Bruce Smith

J'observe la gamine jeté des pot de peinture a semi-remplis et rouillés à la gueule des damnées en bas. Elle est douée la petite, me disais-je avant de me pencher aux rebords pour observer la scène, alors que le champion de la branlette est pendu a l'échelle les pieds dans le vide. Une belle peinture blanche s'étale au sol et le voila qui monte en me faisant sursauter. Me donnant un baiser sur le front il sourit à pleines dents. J'hausse simplement un sourcil en secouant la tête d'un ''je ne suis pas au bout de mes surpris avec lui''. L'échelle se détache et un bruit retentit dans la ruelle. Le voila qu'il me complimente sur mon regard. Je sourit en inclinant la tête comme pour le remercier alors qu'il se jette dans les bras de la petite.

Je les regarde tournoyer en me rappelant mon enfance et la manie que mes frères avaient de me faire cela au point d'en vomir presque. Je sourit en les voyants faire, ouais cette petite.. Qu'est-ce qu'on va bien pouvoir faire d'elle? me demandais-je la fixant cette fois d'un air plus sérieux. Malgré ma froideur dans certaine situation, je ne peu me résigner à l'amener chez les scabreux... Impossible ! Ce n'est pas une vie pour une enfant... Je me refuse catégoriquement de la prendre à ma charge, j'espère que le fameux Bruce à les couilles plus solide qu'il ne le dit et qu'il s'en occuperas.. Je suis prête a lui fournir des ressources mais sans plus, je ne suis pas sa nounou après tout.

Je les observes en silence alors qu'ils se font un jeu de vomis arc-en-ciel vers les zônards, j'attend quelques minutes avant de m'approcher d'eux observant les morts s'accumuler et se mouvoirs dans la peinture.

Beau boulot mais c'est Gwen qui a gagné d'ailleurs! Navré de gâcher votre plaisir mais on devrais y aller.

Il m'avoue finalement être militaire, je fais non de la tête, en me disant que c'est impossible.. Mais en le voyant se déplacer digne des films de guerre. Soit il se fou de ma gueule et est juste bon comédien soit il est vraiment dans l'armée et a perdu une... non plusieurs cases. Quoiqu'il en soit il est efficace et con à la fois, il me fais rire alors qu'on entre dans un appartement où il dégomme notre hôte dès qu'on entre dans le hall. Bruce se dirige vers la cuisine et le salon et je suit la gamine vers la chambre a coucher. Le lit est encore intact quoique poussiéreux mais il semble régner un calme plat. J'inspecte la chambre, sous le lit et derrière les rideaux, il n'y a rien. La gamine ouvre la garde-robe et jaillis de nulle part, un mort en sort. Je l'entend hurler et quand je me retourne elle le pousse de ses bras alors qu'elle tombe a la renverse se cognant lourdement la tête sur le rebord du lit.. Inconsciente. Je m'étais rapidement approcher dès le cri de frayeur qu'elle avait fait et n'ayant sous la main qu'une ceinture, je commence à étrangler le zombies au point de lui en arracher la tête. J'ouvre la porte patio et kick la tête au loin. Je me retourne sur la fillette, qui accumule une petite flaque rougeâtre sous sa tête.. Est-ce le sien ou celui du mort sans tête qui s'est retrouver coucher sur elle ? Je me penche vers la petite et je me rend bien compte que c'est le sien encore chaud.

BrUUUuuuce hurlais-je alors que je le vois entrer dans la chambre, je reprend mon souffle littéralement enduite de sang. Je pointe la petite alors que je luis explique rapidement ce qui est arrivé. Il faut la soigner dis-je entre deux souffles. Maugréant à moi-même de ne pas été voir là en tout premier lieu, je me mord la lèvre inférieur me sentant soudainement coupable de cet événement. Je fixe le corps inerte de la jeune fille avec nervosité un regard plein d'espoir sur Bruce..

Aide là je t'en prie. Il était temps de me montrer s'il était véritablement médic. Je priais presque le ciel que ce soit vrai et pas une foutu blague à la con. Étrangement Bruce n'avais plus le même regard, plus sérieux, moins blagueurs en cet instant.

Qu'est-ce que je peu faire pour t'aider ? Avais-je simplement dit, voulant offrir mon aide. Je repoussai le corps du zônards de sur la gamine en premier lieu.

(c) par elfyqchan pour Never-Utopia

Don't worry, be happy

Bien pénard sur le divan je zappe des postes de télé imaginaires. Je vois Dora, des soaps d’après-midi ringard et je grogne contre cette programmation de merde. Alors je tends l’oreille quand un cri se fait entendre dans la chambre. Mon prénom et là ça me fait vachement sourire. Je ne veux pas me vanter, mais entendre gémir mon nom ou bien le hurler de jouissance c’est rendu d’une banalité. Je me redresse comme un seul homme, enfin Brucie jr est plus vite à la détente que moi, et je me dirige vers la chambre avec un sourire salace. Il faut bien avouer que la snipeuse à un corps explosif et je suis sûr que je dispose du détonateur pour la propulser dans l’espace! Hors je perds mes idées lubriques quand je vois le désespoir dans le regard de la belle et le sang sous la tête de la petite. Ma folie disparaît alors de mon regard d’azur provoquant et flamboyant et à la seconde je sors une flasque d’alcool pour me rincer les mains. Aussitôt mon Brucie disparait pour démonter la tente de mon kilt. Je tombe à genoux et aussitôt je lance ma flasque dans les mains de ma superbe bad ass.

Bruce- Va chercher mon sac Dora dans le salon. Ensuite sécurise le secteur et renforce la porte d’entrée pour empêcher les charognards de venir me faire chier.

Tout en palpant la petite pour voir si rien n’était cassé je lui fais un clin d’œil complice pour l’apaiser car je n’ai pas besoin d’avoir une folle hystérique en ce moment. Le fou c’est moi et personne d’autre nom de Dieu de merde!

Bruce- Prend une gorgée beauté fatale pour te calmer et ça va aller. Bruce et là et plus tard je pourrais gouter tes lèvres par l’entremise du goulot!

Déjà la plie se colmate et les signes vitaux de la petite se stabilisent. Mais elle sera ko pour quelques heures. Dans mon sac à dos super branché je n’ai pas de pansements assez grands. Je grogne de dépit et j’avise dans un coin de la garde-robe un sac de magasin pour homme. De mon menton viril et d’une voix autoritaire je le pointe à ma bandante assistante.

Bruce- Fouille dans ça. Si un vêtement est dans un plastique sceller ce sera parfait pour un pansement!

Je suis un peu profiteur et pendant que la bombe sexuelle est penchée vers l’avant je lui zieute sa belle face nord. Ben quoi elle est magnifique et moi je suis voyeur qu’on je me gâte pour avoir des belles visions lors de ma branlette du soir. Elle me lance une chemise et je la récompense d’un immense sourire victorieux craquant.

Bruce- Bien jouer ma beauté fatale! C’est le mieux point de vue stérilité et propreté dans l’immédiat.

Je deviens sérieux et surtout songeur alors que je fais le pansement qui va faire ressembler Gwen à un hindou chauffeur de taxi à New York. Bordel si j’aurai une fausse barbe sous la main je lui mettrais pour détendre l’atmosphère.

Bruce- Hors de danger. Elle va rester sonner pendant quelques temps. Je pourrais lui faire des points de sutures plus tard quand tout sera bien coaguler. La plaie est propre, bien bander. Un genre de bandage médicale et non comme tu me fais ma belle tireuse d’élite! Tu sais que tu es superbe et dangereuse? Tout ce que j’aime chez une femme forte!

J’installe la gamine pour qu’elle soit bien confortable et je sors de la chambre en frôlant la trop canon brunette. Bordel ma verge aimerait bien lui frôler la cuisse, mais l’intervention à couper mes envies de cul pour quelques minutes.

Bruce- Je vais aller près de la porte pour écouter si des Michael Jackson viennent nous faire chier avec leur thriller à la con. Tu as juste à rester ici et la surveiller si tu veux bien.

Je dégage le cadavre de la chambre et je le balace sur le balcon pour faire le ménage un peu. Je vais à la toilette pour farfouiller la pharmacie et je ne trouve que de la crème à raser et un rasoir pour les poulettes de marque Venus. Tiens je pourrais utiliser la flotte de la chasse ‘d’eau, elle est plus très bonne à boire, pour me raser la gueule? En plus c’est super pour les cuisses des demoiselles ce truc donc si mes joues sont douces comme une peau de bébé je serais irrésistible pour Ana. Et qui sait elle pourrait se frotter l’intérieur de ses cuisses dans mon visage pendant que je discute avec ses lèvres? Sifflotant joyeusement je me rase la tronche et je rajoute de l’Aqua Velva comme après rasage. Un fond de rince-bouche et je le bois pour l’alcool et avoir l’haleine fraiche car le dernier dentiste vivant à vue de trop près les dents pourries d’un zonzon et il ne prend plus de rendez-vous. Je sors satisfait qu’aucun putride ne vienne casser l’ambiance. Je passe la tête par la porte de la chambre tout charmeuse et doté d’un sourire complètement charmeur et loufoque. Elle me donne des nouvelles de la petite. Elle respire bien et tout semble dans les normes. On doit juste attendre son réveil.

Bruce- Madame désire manger un peu? J’ai trouvé un ragout en conserve et une soupe si ça te tente. Je pourrais te proposer une saucisse, mais pas pour l’instant…

Je fais un clin d'oeil comique pour lui signifier que c'est une blague à la con... ou pas. Je suis obséder et je m’aime!

Jet pour trouver article de soin d'urgence
1 à 3 (rien)
4 à 5 (truc de fortune +1 au jet de soin)
6 (fourniture médicale +2 au jet de soin)

Jet de soin
1-2 Morte sur le coup
3-4-5 Inconscience et perte de sang mais survie
6 Bruce est le meilleur (il chante)

@Anaëlle Strom

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'Dé 6' : 4, 2

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Ft. Bruce Smith

Tout se passe si vite mais je suis heureuse de le voir dans l'embrasure de la porte, montrant son sourire charmeur qui s'estompe excessivement rapidement. Je le regarde s'exécuter et prend la bouteille pour me désinfecter les mains à mon tour avant d'y boire une longue gorgée en grimaçant. Je déteste la vodka, ce genre de boisson que je buvais avec de la lime dans des partys qui ne finissait pas toujours bien où je me retrouvais parfois avec des mecs dont je n'avais aucun souvenir. Bref la vodka était à éviter dorénavant. Mais bon je n'allais pas faire la fine bouche pour une alcool parfaite pour la désinfection.

Je retire ma veste noire que je noue à ma taille en dévoilant une fine camisole bretelle et
un large décolleté. Mon teint est légèrement brunis par les chaudes journées ensoleillés auxquelles nous avons droit tout les jours de la semaine. J'ai des chaleurs qui me prennent de cours à ce moment précis, incertaine que ce soit à cause de la température ou des événements et j'écoute ce que Bruce me dicte avant de me diriger vers le salon et prendre son sac Dora. Je le lui rapporte rapidement avant de sceller la porte d'entrée avec une chaise de la salle à manger, bloquant l'accès pour le moment.

Je continue de farfouiller l'endroit mon sabre en main afin de me rassurer que l'endroit est sécuritaire maintenant. Je m'en veux toujours et trouver quelques choses pour lui faire des pansements est dans mes cordes. Je trouve un tuxedo bien emballés dans sa toile originale, probablement pour un événement ou une cérémonie quelconque. Je regarde l'habit qui doit valoir dans les quatres chiffres puis la chemise blanche en main, je l'envoie a Bruce. Après avoir farfouiller à genou dans les recoins de la garde-robe, je tombe finalement sur une photo de la famille comprenant un homme et une femme d'un certain âge se blottissant l'un contre l'autre dans un parc de la région sans doute. Je soupir faiblement en laissant mollement tomber la photographie au sol.

Il m'explique que la petite est hors de danger, je rapporte donc mon attention vers eux deux et souris doucement visiblement soulager. J'acquiesce alors qu'il me demande de la surveiller, je prend doucement sa main et vint m'asseoir a ses côtés dans le lit poussiéreux.

je suis tellement désolé petite.. marmonnais-je vers son petit corps bredouille et paisiblement endormis.

Je me mord la lèvre, émotive et incompréhensiblement surprise par se flots d'émotions qui m'envahit. Qu'est-ce qui m'arrive ? Je ne peu pas m'en occuper.. IM-PO-SSI-BLE.. cette petite là.. je ne peu pas la ramener. Il ne faut pas que je la ramène, il est hors de question. Il faudrais que j'en discute avec Bruce d'ailleurs me disais-je à moi-même regardant la jeune fille comateuse, calme et paisible.

Je lui envoie un sourire amusé alors qu'il se remonte le bout du nez dans la chambre, proposant un repas rapide à sa façon et avec ses petites propositions subtiles à connotations sexuelles. Mon sourire laisse lentement place à un rire amusé, je me redresse doucement pour le rejoindre dans le salon à côté.

Tu es sûr que je peut la laisser seule ? Demandais-je en pointant du pouce derrière la chambre à côté d'un air interrogateur. Je sourit néanmoins comme pour cacher un angoisse présent puis m'assied auprès de lui. Lui offrant un baiser sur la joue en guise de remerciement sans doute.

Super boulot Bruce, sérieusement, je pensais que tu allais encore te foutre de ma gueule, mais tu m'as surprise et je suis franchement heureuse que tu sois à mes côtés en ce moment. Tu as un talent pour les soins y'a pas de doute.. la pauvre serais probablement morte ou j'aurais eu beaucoup de chance si je me serais retrouvée seule. J'arrive à me débrouiller, mais je suis pas médecin.

Je vint doucement me servir dans la conserve de ragout une fine portion que j'avale a même le cannage. Je le tend ensuite a Bruce en essuyant ma bouche du revers de la main.

Je suis vraiment désolé, j'aurais dû aller voir moi-même dans la garde robe...
Je prend un air plus sérieux et baisse le regard, attendant presque une punition de sa part. Après tout j'avais faillis à ma tâche et j'était habitué à différents châtiments quand je ne faisais pas ce qu'il fallait.

Tu était medic dans un unité de l'armée tu as dit ? Relevant le regard vers lui comme pour changer de sujet à présent, je l'observais intrigué. J'avais vraiment de la difficulté à visualiser comment Bruce pouvait être un médic au sein d'une armée... Ou il avait perdu une case ou quelques choses de graves lui était arriver et puis.. il était devenu.. comme ça... Quoiqu'il en soit cet homme m'intriguais et il était temps d'en savoir un peu plus.

(c) par elfyqchan pour Never-Utopia