Aujourd’hui j’ai le moral directement dans le fond de mes chaussettes. Brucie Jr ne fait que se pendouiller mollement la tête basse et j’ai carrément la queue entre les jambes. Tout est noir dans ma tête et je ne pense même pas à me déplacer en gambadant joyeusement pour tout dire. Il y a tellement de trucs qui me sont arrivé dernièrement que je ne sais plus dans quelle direction bander. J’ai besoin de me confier et bruyamment je frappe du pied une conserve vide au sol. Habituellement j’attends avec intérêt. Même espoir, qu’un Michael Jackson vienne montrer sa gueule de porte-bonheur pour que je lui fracasse en rigolant comme si j’étais à la fête foraine au jeu de tape la taupe. Mais même mes plus fidèles admirateurs de mon corps d’apollon semblent avoir foutu le camp je ne sais pas où. Et ça me fait encore plus de peine car ils n’ont pas invité leur vieux pote Bruce à se joindre à leur soft parade. Alors je vois une tour médicale avec clinique, pharmacie et divers bureaux de spécialistes pour la santé en général. Je me dirige la tête basse, les épaules tombantes et les mains sur les flancs en maudissant l’imbécile qui n’a pas mis de poches dans la fabrication du kilt. Je regarde alors la liste des bureaux et un attire mon regard de pervers somnolent. Je monte trois étages et je massacre avec une certaine douceur et poésie les zonzons que je rencontre. J’espère qu’il aura de la place chez le psy pour m’aider à surmonter ma détresse passagère.
J’entre dans l’accueil bordélique et ne voyant pas de sexy Money Penny cadavérique je regarde le planning du bon docteur. Dieu merci il n’a plus de rendez-vous cédulé depuis trois semaines. C’est peut-être mon jour de chance qui sait? Je cogne poliment à la porte et j’entre quand j’entends un bruit invitant. J’entre et je vois le doc zombifier attacher à sa chaise et dont plusieurs couteaux sont ficher dans son corps en décomposition avancé. Je lève un sourcil inquisiteur et je lui dis sous le ton de la conversation la plus platonique qui soit.
Bruce- Hello doc. Je crois que vous avez manqué de bien aider un patient et ce dernier vous à fait la passe de l’apache furieux. Mais je dois parler à un type et vous êtes là donc…
Je laisse la chanson help des Beatles se propager dans mon oreille et je fais quelques pas de danses mollasson alors que je suis la fièvre du samedi soir. Je chantonne faiblement plus par habitude pour tout dire.
Bruce- I need somebody (Help!) not just anybody (Help!) you know I need someone Help!
I never needed anybody's help in any way But now these days are gone, I'm not so self assured (but now these days are gone) (And now I find) Now I find I've changed my mind and opened up the doors Help me if you can, I'm feeling down
And I do appreciate you being 'round Help me get my feet back on the ground Won't you please, please help me?
Je m’allonge alors sur le sofa de consultation en soupirant à fendre pierre. J’ai tout déposé près de moi pour être confortable et le doc Maboule qui manque plusieurs kilos de chair semble s’intéresser à moi. Un souvenir de sa passion de psychiatre ou bien par gourmandise, je ne sais pas et je m’en moque.
Bruce- Pourquoi tout n’est pas comme avant doc? Que ma famille soit encore là ou bien encore que je m’amuse à faire exploser des connards des cartels en faisant du moonwalk?
Je soupire et j’ajoute alors mes putains de préoccupation.
Bruce- Il y a une gamine qui me voit comme son père… On doit n’avoir pas eu de paternel si on préfère un guignol qui s’amuse comme un taré à la place. Aussi point de vue femmes ça commence à être compliquer.
Je prends une balle de Garand pour jouer pensivement avec. C’est ça ou bien je console Brucie Jr et ça ne se fait pas devant un confrère du réseau de la santé. Le doc grogne et essaie de se libérer, mais ça devait être un foutue rat de bibliothèque autrefois et son effort du jour c’était lever une tasse de café.
Bruce- J’ai des baises pas de problèmes, mais là il y a la sexy trop canon Riley qui est revenu dans le décor. Je l’aimais d’une forte amitié doc. Bordel je l’ai aidé à se reprendre, soigner sa mère malade et elle était même la marraine de ma dernière. Putain de merde ma femme et elle étaient les meilleures copines qui soient… Mais…
Car à chaque trouble il y a toujours un putain de mais…
Bruce- La revoir m’a fait un coup direct dans le foie et les parties. De voir tout ce que j’avais perdu et de comprendre qu’elle est la dernière personne qui sait voir le véritable Bruce caché sous ce barjo sympathique et sensuelle que je suis. En plus elle est totalement bandante et à tomber… Mais elle aime mi8eux brouter le gazon dans le champ droit que manier le bâton au marbres si vous voyez ce que je veux…
Je grogne de frustration en même temps que le doc soupire de faim.
Bruce- Et ça ne se fait pas… Bordel c’est ma meilleure amie, un binôme de combat aussi pro que ma gueule et je vais trahir Zayna. Les femmes que je vais grimper au rideau c’est pour nous amuser et il n’y a rien de sérieux. Mais avec Riley si on serait ensemble… Bordel de merde je ne baiserais plus tout ce qui bouge… Je serais l’homme d’une seule femme et ça me ferait planer poupée.
Est-ce un certain instinct de protection qui revient pour le doc car à l’instant il ne bouge plus du tout. Je devrais lui dire que Brucie Jr adore explorer les cavernes humides des demoiselles et il n’aime pas le poil masculin. Mais j’aime mieux laisser planer le doute car un zombie qui a peur est rare comme de la merde du Pape.
Bruce- Bon doc selon vous je devrais en parler avec elle au bon moment et m’occuper de ma amine adoptive? De faire le bon médic comme autrefois et d’essayer d’aider le maximum de personnes pour que plus tard quand vous autres les Micheal Jackson seront en amas de pourritures on puisse refaire un monde de paix et de licorne? Que je pourrais faire travailler Brucie Jr à la renaissance de l’humanité?
Je médite sur ces paroles en laissant le zombie bien enlacer par du cordage et des lames de couteaux…
Les jours passaient et la demoiselle n'avait pas vu âme qui vivent depuis un moment. Il faut qu'elle avait zigouillé le dernier type qu'elle avait croisé. Au départ, elle l'avait suivi, feignant d'être une pauvre demoiselle en détresse apeuré qui ne savait pas se défendre. Bon sang, il tombe toujours tous dans le panneau. Cet imbécile avait couru tout du long, fier de pouvoir protéger la donzelle des vilains mangeurs de chair. En même temps, qui ne serait pas content de protéger Setsuka, c'est un joli brin de fille et ses traits asiatiques lui donne ce petit côté exotique que les pure américaine n'ont pas. Ce type, un peu ventripotant, d'une cinquantaine d'années s'étaient surement imaginé que la proximité lui donnerait l'occasion de goûter au corps de la demoiselle qui lui serait reconnaissante d'être protégé. Eh bien non ! Tsuka peut-être une fille facile, mais pas avec tout le monde. Ce type là ne lui inspirait que dégout. Il avait cette tendance à transpirer beaucoup trop et à sentir le phoque après. Au départ, elle n'avait pas l'intention de le tuer, juste de se servir de lui assez longtemps pour se reposer. Mais au bout de trois jours, elle en a tout simplement eu marre de son odeur encore plus pestilentiel que celle des zombies et de ces pectoraux qui ressemblaient à des seins rebondissant mollement à chaque pas. Oui, il ne lui inspirait rien et depuis le début, les voix ne cessait de lui demander de trancher la chair de ces horribles pectoraux pour que ça ressemble enfin à ce que ça devrait être.
Alors la dernière nuit, elle lui a fait croire qu'elle succombait à son charme... Mais elle voulait faire ça à sa manière et attacha les mains et les pieds de l'homme, trop heureux de pouvoir tirer son coup, ne se méfiant de rien. Même si les tendances SM sont vieille comme le monde, se faire attaquer à un lit en plein invasion zombie... c'est loin d'être intelligent, non ? Une fois main et pied attaché, elle l'avait enfourché, comme s'il n'était qu'un vulgaire cheval et au lieu de commencer à faire des choses excitantes, elle sortit la lame de son couteau avec un sourire de démente. Au début, il croyait qu'elle jouait un rôle, il faisait vraiment pitié ce type. Mais quand elle commença à découper le muscle pectoral, il se rendit compte que les zombies n'étaient peut-être pas les pires. C'était tellement plus marrant de jouer avec quelqu'un de vivant. Une fois les pectoraux coupé, elle s'attaqua à cette horrible bedaine pour lui donner un ventre plat. Les cris de l'homme était comme une douce chanson aux oreilles de Setsuka, mais aussi pour les zombies qui étaient en train de venir dans le petit motel. La démoniaque psychopathe s'éclipsa dans la salle de bain, entendant les cris d'agonie et de douleur de sa victime alors que les zombies venaient finir le travail. C'est pas la fenêtre de la salle de bain qu'elle avait quitté la chambre pour s'en aller. Depuis plus rien... et c'était d'un ennuie. Mais pour se réconforter, elle pensait à la jouissance de ce moment où elle avait tranché la chair du gros. Le simple fait d'y penser ça émoustillait.
Au détour d'une rue, elle aperçu un type en jupe... Okay c'est l'apocalypse et peut-être que quelqu'un devait lui dire que c'est ringard d'être habillé comme ça ? Pour sa part, après son petit massacre, elle avait dû faire les boutiques pour trouver des vêtements propre. Ainsi, elle portait un pantalon en cuir brillant et moulant avec une paire botte noire plate. Un t-shirt à manche longue également noir, mais dévoilant une partie de son ventre. La tenue en question. Elle décida de suivre l'homme qui entra dans ce qui était un hôpital. Son couteau était toujours bien solidement attaché à sa ceinture et son sac contenait quelques provisions, objet utile et affaire de recherche, le minimum syndicale. Elle voyageait de manière assez légère pour le suivre rapidement, sans être repérée. L'homme s'arrêta à un étage et entra dans un bureau. Qu'est-ce qu'il foutait ? C'était peut être un camé qui cherche sa dose ? Discrètement, elle s'approcha de la porte pour écouter, il y avait les bruit d'un zombie, puis le gars ce mit à taper la causette. Bordel, ce type est cinglé ? Tsuka écouta un moment, blablabla, il parlait de sa vie, d'une fille et compagnie. Levant les yeux au ciel, elle poussa la porte, entra sans la moindre gène s'approcha du bureau du docteur pour y poser ses fesses et sans regarder retira son couteau et le planta machinalement dans le crâne du zombie. "Désolé, le docteur a dû annuler sa séance, il a un imprévu !" Elle afficha un sourire digne de celui d'une petite fille puis retira son couteau, elle l'essuya la lame avec une feuille de papier et le remis à sa ceinture. "Tu m'as l'air d'avoir de sacrés problèmes... T'as besoin d'une psychanalyse, je t'écoute ?" ajoute t-elle toujours avec ce grand sourire qui la rendait à la fois terrifiante et magnifique. Qui entrerait comme ça dans une pièce ou se trouve un inconnu qui parle à un mort ? Seulement une psychopathe.
Bruce Smith
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Mer 26 Aoû - 4:14
Doc Maboule Bonjour
Je tourne en rond en essayant de découvrir les sens profonds de ce que je viens de raconter à Freud ressusciter. Pauvre doc Maboule il semble encore plus perdu que moi. Alors tout à coup la porte ouvre et je vois le fantasme de n’importe quel pervers entrer avec une de ces démarches féline. Une asiatique totalement bandante et vêtu d’un pantalon de cuir qui forme une paire de fesses parfaites. Je la regarde s’assoir sur le bureau du psy et pour ma gueule je laisse mon regard d’azur troublant et provoquant laisser un étonnement et surtout la question muette au zonzon. « Pardon Doc c’est votre assistante? Vous l’avez eu par l’internet? Vous avez le site? » Mais la demoiselle fait un geste rapide et plante la lame dans la gueule du doc et je tombe à genoux dans une démonstration digne d’un film de série B tout à fait loufoque.
Bruce- NON! Doc… C’était son dernier jour avant la retraite, il avait 18 enfants et trois femmes à charges, un chien et un rat obèse! J’étais son dernier client et j’étais à deux doigts de savoir pourquoi des fois je me sentais comme un pogo et d’autre jour comme un hot dog entre un pain chaud!
Je me redresse en rigolant alors qu’elle me sourit et me demande de lui parler de mes problèmes. Ma foi c’est devenu normale qu’une asiatique canon entre dans une pièce avec un type qui discute avec un zonzon et elle bute le macchabé pour une seconde fois. L’ancien Bruce aurait posé des questions, mais pour moi je trouve ça tout à fait géniale.
Bruce- Tu aimerais que je m’étende pour te parler de mon obsession pour les pendules et de rechercher la mort à m’amusant le plus possible? Mais un canon comme toi qui veut m’aider j’adore cela. Attend je me présente selon les formes de l’art.
Je me sens d’humeur coquine et surtout extravagante. Je la contourne pour bsalancer un coup de pied au cadavre et faire semblant de prendre sa place. Bordel elle est tellement chaude que Brucie Jr s’élève encore plus haut que le mercure. Sélectionnant une musique, juste l’instrumentale, sur mon cellulaire je le pose tout près de ce fessier ma foi fort agréable à dévorer du regard. J’ai fait ceci pour casser la glace avec Charlie et on s’et bien amuser. Donc je retente le coup avec cette superbe femme au sourire sadique et angélique comme j’aime. Je prends une grosse voix intimidante qui me rappelle un putain d’irlandais de ma connaissance.
MUSIQUE QUI JOUE DU TÉLÉPHONE:
Bruce- Dieu que tu répugne En te voyant Bruce En vérité tu es aussi inutile Que mes couilles cachées par le bureau Tu viens de me gâcher la vue De cette sexy beauté Il n’y a pas un homme dans cette ville qui n’est pas révulsé par toi Et tous souhaite que tu crève Tu as prouvé à tous que tu es dur à tuer Mais chacun va essayeeeeeeer!
D’une traction souple je me propulse de l’autre côté du bureau, dévoilant que je porte le kilt intégrale et que mon marteau piqueur perso fait l’hélicoqueue. Si un jour je perds mon Bec de Corbin dans un combat, promis je matraque à mort le type avec ma queue. Mourir battu à mort par un phallus ça doit être la honte suprême. Je m’appuie alors nonchalant près du divan de consultation. Je prends ma voix de ténor et commence à chanter. Je fais les mimiques et surtout je rigole comme un charmeur à deux balles. Bruce- Personnnnnnne Ne gifle comme Bruce Personne n’est rapide comme Bruce Personne ne frappe directement dans les parties comme Bruce Il n’y a aucun homme dans cette ville qui m’arrive à la hauteur de mon kilt Vous pouvez demander à tout le monde car c’est vraiiiiii!
Je prends une cannette de bière et une bouteille de gin, de mon sac Dora, dans chaque main et je gambade joyeusement pour déposer le tout près de la table où se trouve la coquette demoiselle bandante. Je reprends le chant en faisant une chorégraphie loufoque et déjantée.
Bruce- Personnne Ne s’amuse comme Bruce Vide ses armes comme Bruce Personne ne tue pas tout ce qui fait chier comme Bruce Mon tableau de pourritures buter est intimidannnnnt…
Alors je prends la posture d’un type menaçant et reprend la grosse voix du sergent Murphy.
Bruce- Il faut tuer ce Type Qu’on lui tire dans les couilles Qu’on lui tranche la gorge Le premier qui bute Bruce Gagne le grand prix!
Je me place tout près de la belle et prend un regard faussement effrayé tout en essayant de zieuter de manière aucunement subtile son fessier qui me rend dingue. Bruce-Si une alliée sexy voudrait bien m’aider À me motiver Ce sera très apprécier…
J’imite un peu le ton de la sexy girl en me plaçant tout près.
Bruce- Tu es chanceux je n’étais pas loin.
Je reprends ma voix en lui zieutant le derrière de la beauté asiatique dans le cuir moulant en me prenant le visage à deux mains complètement émerveillé.
Bruce-Ta tenue te fait un cul superbe Et provoque une tente dans mon kilt…
Je me décale alors d’elle pour qu’elle puisse profiter du show. Je suis un spectacle de burlesque au complet à moi seul. Je reprends alors l’air de la chanson et je fais les actions du couplet. Un saut périlleux en arrière, je lance deux slips de ma collection dans les airs et montre mon t-shirt qui me déclame comme un donneur d’orgasme. Bruce- Personnnne ne fait Des culbutes comme Bruce Changer de slip comme Bruce Personne ne se bat avec son gros marteau comme Bruce Mais je suis particulière bon pour provoquer des orgasmes…
Je réponds alors avec une voix aguicheuse. Bruce- Brucie c’est le pied!
Je continue à chanter joyeusement tout en gambadant comme une écolière allant à l’école. Mon kilt montre un peu la peau de mon cul ou bien ma devanture à l’occasion. Les tatouages sont à l’honneur aussi et les piercings scintillant ici et là et même les implants corporels. Bruce- Depuis que je suis tout petit Je me branle à chaque matin Pour bien me réveiller Mais maintenant que je suis membré comme un taureau J’ai besoin d’autres mains et tu voudrais m’aideeeer
Personnnnnnnne Ne blague comme Bruce Ou provoque comme Bruce Personne n’a un si gros égo que Bruce Personne ne dispose d’un si gros zizi que Bruce
Je suis tout ça et même plusssssssssssssssss!
Je finis alors en levant les mains au ciel et en tournant sur moi-même. Je suis flamboyant et merveilleux. Ensuite je m’assoie à mon tour sur le divan de consultation et lui fait un sourire ravageur en croisant mes jambes d’un air innocent.
Bruce- Bruce c’est moi! Et toi c’est quoi ton joli nom? Aussi tu peux me dire ce qu’un trou pareil fait dans une belle femme comme toi? Oups, une belle femme fait dans un trou pareil. Et bien sûr je peux te parler de ce que tu veux j’adore discuter…
Si seulement elle savait où elle avait mis les pieds... A l’hôpital psychiatrique, on la disait folle, mais elle était tombée sur le gros lot, ce type est certainement bien plus barré qu'elle, mais à un niveau différent. Là ou Setsuka et machiavélique, violente et sanguinaire, lui est un parfait guignol, à moitié débile et surement un bras exhibitionniste et pervers. A chacun sa folie n'est-ce pas. Déjà, il n'avait pas peur de l'arrivée soudaine de la demoiselle, qui était entrée sans demander pour enfoncer son couteau dans le crâne de celui qui fut un jour un docteur. Pour toute réaction, il joua une sorte de scène pseudo comique en se mettant à genou par terre, comme ce que l'on pourrait voir dans un film pour donner un effet dramatique, sauf que vu son discours, le tout était plus que risible. Ceci la fit vaguement sourire, au moins, il ne sera pas ennuyeux celui là, surement plus amusant que le dernier vivant qu'elle a croisé qui lui ne parlait que de survie et du fait qu'il protégerait la petite asiatique.
Toujours assise sur le bureau, elle observait cet inconnu qui se leva et décida qu'il allait se présenter. Il sortit un téléphone, ça faisait longtemps qu'elle n'en avait pas vu un de près. Depuis plus de dix ans qu'elle était à l’hôpital, elle n'avait pas le droit d'en avoir. La demoiselle pouvait constater que ça avait beaucoup évoluer depuis son époque et qu'aujourd'hui ça se réduisait à un simple écran sans touche. D'ailleurs... elles sont où ? Il touchait l'écran, alors elle imagina que tout était devenue tactile, dommage ce genre de technologie finira par ne plus marcher d'ici peu. Tant qu'il y a du courant ça va, mais quand la batterie ne pourra plus être rechargé, ça sera la fin d'un passé qui de toute manière ne l'intéresse pas. Il fit jouer une musique et commença à toujours plus ou moins autour d'elle en dansant et chantant des paroles qu'il avait lui même créer. Ami de la poésie bonjour... il était vraiment toute en finesse. Vu qu'il prononça plusieurs fois le nom" Bruce", elle en conclut que cet étrange personnage était peut être cette personne. C'est qu'il devait avoir un sacré égo pour créer ainsi une chanson sur lui et déclarer qu'il était le meilleur en tout point. Elle nota également, qu'il avait visiblement une relation particulière avec ce qu'il a entre les jambes. Quel égocentrisme, elle a rarement vu ça de toute sa vie. Mais ayant passé une bonne partie de celle-ci derrière les quatre murs de sa chambre d’hôpital, difficile de rencontrer des gens. Elle était souvent privée de salle commune, car les rares fois ou elle y allait, elle s'arrangeait pour faire joujou avec les autres à l'aide de crayon ou même de pièce d'échec. Vous seriez surpris de la manière à laquelle on peut blesser quelqu'un avec un simple roi ou un cavalier.
Setsuka le regardait en rigolant, elle était amusée, même si elle le trouvait grotesque. Bien qu'elle soit adulte, folle et qu'elle entende des voix, elle a un coté enfantin qui ne la quitte pas. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait autant rigolé. Bruce était absurde et loufoque, mais il avait l'art et la manière de l'être. D'ailleurs, elle pouvait voir qu'il lorgnait de manière non discrète sur son corps, mais ceci ne la dérangeait pas, au contraire, elle aime être désirable, c'est d'ailleurs l'un de ses meilleurs atouts quand elle doit jouer avec une victime. Un corps de rêve et vous rendez fou n'importe quel homme qui pense avec autre chose que son cerveau.
Une fois sa petite chansonnette terminée, il alla s’asseoir de nouveau sur le canapé. La poitrine de la sociopathe se soulevait encore, secoué par son rire. "T'es un bien étrange de numéro, Bruce !" Inutile qu'il compte sur elle pour lui faire un show de ce genre. Chanter et danser ne sont pas dans ses cordes. La tueuse se leva et fit quelques pas vers le gai luron, l'observant de haut, elle se décida à répondre. "Je m'appelle Setsuka, mais on me nomme en général Tsuka ou Setsu. Elle fit un simple sourire et lui tourna le dos, lui offrant une vue imprenable sur son derrière parfaitement moulé dans ce pantalon. Approchant de la porte, elle la ferma et la verrouilla. Pour l'heure, elle ne sait pas encore ce qu'elle va faire de lui, mais l'empêcher de fuir semble une bonne idée. Du moins, ça le ralentira de devoir la déverrouiller et surtout ça empêchera des intrus de s'inviter. "Je me disais que tu as surement besoin d'une leçon de style... un kilt, c'est pas un peu ringard, ça ?" demande t-elle se fichant pas mal que ça puisse le vexer. Elle retourna vers lui et sans hésiter, un air dominateur sur le visage, elle vint s'asseoir sur lui, ses genoux de part et d'autre de son corps. "Alors, quel genre de problème tu as ? Tu dois être un peu fêlé pour parler un cadavre, non ?" demande t-elle, mais avant d'attendre une réponse, elle vint susurrer à son oreille : "J'adore ça, ton petit côté timbré !" Doucement, elle s'éloigna de son oreille, réfléchissant à quel jeu elle pourrait jouer avec lui, c'était toute une conversation dans sa tête avec ses petites voix qui fourmillait d'idée.
Bruce Smith
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Jeu 27 Aoû - 21:48
Doc Maboule Bonjour
Un immense sourire lumineux, joyeux et complètement amusé se dessine sur ma gueule si charmeuse et magnifique. Setsuka pour une poupée de porcelaine d’Asie complètement bandante dans ce pantalon de cuir qui me rend complétement fou. Je pourrais la passer à la casserole alors qu’elle va verrouiller la porte du cabinet du Docteur Maboule, mais Riley me retient. Bizarrement ça me tente moins de planter Brucie Jr n’importe où. C’est comme la revoir m’a fait éveiller à quelques niveaux et passer à autre chose. Je sais que j’adore baiser et faire grimper dans les rideaux les femmes, mais je dois lui prouver que je ne suis pas un baiseur compulsive qui baiserait une zonzon trop en état encore. Je déconne pour la zombie. Quoi ça bouge donc Brucie Jr est un chasseur. La voix de la japonaise, merde je suis prêt à parier mon slip favori dessus, me dit que mon kilt n’est plus vraiment tendance. Je soulève mes épaules en exagérant la frustration comique à son meilleur. J’allais lui répliquer mais elle s’assit alors en califourchon sur mes cuisses et aussitôt comme un Alien dans le film du même nom Brucie Jr se redresse pour la saluer. Elle me domine et c’est mon point faible ça. Dans un autre sens dès que c’est une femme bandante c’est mon point faible donc… Pour l’empêcher de tomber je déposer mes mains enflammés sur ses cuisses pour la retenir et mon sourire est aussi dingo que le sien. Enfin une femme qui sait que je suis légèrement timbré mais si attachant! Je plonge mon regard d’azur troublant et espiègle dans ses yeux sombres et de promesses d’un temps inoubliable pour lui répondre avec mon franc-parler si flamboyant.
Bruce- Je suis comme une céréale Mini-Wheats. J’ai un côté nutritif et sérieux, mais mon côté givrée et plus alléchant! J’adore ton côté qui semble être tirer d’Alice au pays des merveilles et de Psycho jumeler à une dominatrice. Un mélange totalement explosif.
Je rigole pour réussir à prendre mon cellulaire et je bascule vers le mode photo.
Bruce- Un Selfie avec ma sexy psy qui veut que je lui raconte mes problèmes? Ce sera une belle photo!
GRIMACES DE BRUCE:
Comme de raison je fais huit ou neuf photo en faisant des grimaces pour la faire rigoler car j’adore voir ce sourire qui me fais glacer l’échine et ensoleiller ma journée. Je colle ma tête près de la sienne et voilà l’amusement commence. Après je lui montre les photos et je sors en rigolant joyeusement.
Bruce- J’ai vu qu’un Wal Mart avait encore de l’électricité et les bornes de photos rapides fonctionnent. Si tu veux on va aller chercher des photos pour nous pour montrer ce que ça ressemble quand l’Occident rencontre l’Orient et il n’y a pas que le soleil qui se lève dans le coin.
Déposant l’appareil sur mon t-shirt de donneurs d’orgasmes officiels je prends un air sérieux.
Bruce- Les Michael Jackson sont des êtres pensant qui ont encore des émotions ma belle perle d’Orient. Tu sais les zombies recherchent le cerveau et non le physique des gens. Ils gueulent quand ils s’ennuient et sont déterminés à nous rencontrer. En plus ils ont faim de rencontre et font des kilomètres pour rencontrer une âme qui vit.
Je fais un clin d’œil espiègle et je replace mon kilt avec une pudeur de jouvencelle.
Bruce- J’avais besoin de parler et il n’avait que lui qui faisait du bureau. Disons que je suis comme un moine et je me promène le moineau partout en aidant les gens car je suis médic.
Je soupire et en la regardant. Sait-elle qu’elle a le cul sur un volcan qui va exploser? Heureusement que je suis capable de me contrôler et tout car un homme moyen lui aura sauté dessus en la désarment pour la faire gémir. Moi je suis un gentleman cinglé et flamboyant. Rien avant le consentement des parties présentes. Même là Riley en pensée va peut-être m’en empêcher.
Bruce- Tu connais le Punisher la bande dessiné? Ben j’ai perdu ma famille par un cartel et j’ai allumé chaque membre et maintenant ils se font enculer à sec par des démons. J’ai pu y arriver car j’ai été médic dans les marines, flic pas de cuisse dans la Grosse Pomme qui sent maintenant le pourri, Swat et membre d’une unité spéciale qui touchait les enfoirés de manières bien profondes et définitive. J’ai roulé ma bosse partout et gouté à bien des cultures…
Je la regarde alors et sourit avec affection et douceur.
Bruce- Voilà une nana de mon unité est revenue… Elle broute du gazon et joue dans son équipe mais je la comprends un corps de femme c’est-ce qu’il y a de mieux… On est très proche et j’aimerais bien lui avouer ce que je commence à ressentir. Mais elle est lesbienne et en plus c’était la meilleur copine de ma femme donc je crois que ça ne le fait pas. Et depuis le départ des miens je cherche juste à m’amuser à la dernière seconde avant de les rejoindre…
Suicidaire bonjour quoi. Je lui laisse le temps de s’exprimer et quand elle a fini je prends un air offusqué tout à fait hilarant.
Bruce- Ça laisse respirer Brucie Jr et j’adore l’air frais qui me caresse la raie! Mais si tu crois m’aider à me mieux me fringuer je ne vois qu’une solution…
Je fais alors jouer mes doigts devant elle comme si je lançais un sort en disant avec un sourire lumineux.
Bruce- SHOPPING POST APOCALYSPE BABY!!!
Je démarre la CHANSON des collégiennes qui désirent aller cambrioler un mail! Je fais les montions amusantes du visage en faisant le lips sing ridicule et je dis avec un charme flamboyant complétement rigolo.
Bruce- Il y a des soldes mortelles et les tendances survivalistes sont à l’honneur. Ça te dit de venir me fringuer à ton goût? C’est le grande solde de fermeture de l’humanité!
Alors en la regardant je rajoute.
Bruce- Et toi Setsuka c’est quoi ton histoire ma dominatrice favorite? Si tu veux je pourrais te montrer des techniques de couteaux et on pourra te dégotter une lame pour planquer dans des longues bottes qui me font saliver?
Ma maman m’a toujours dit de connaître les femmes qui ont des couteaux sur elles avant de sortir pour avoir une idée…
En l'étudiant, les docteurs ont déclaré que Setsuka était une psychopathe avec des tendances sociopathe. Certains ont même dit que les voix qu'elle entendait dans sa tête était peut-être une schizophrénie voir un dédoublement de la personnalité. La demoiselle est vraiment un cas étrange, mais visiblement, ils n'ont jamais rencontré Bruce qui semble être le type le plus fou de ce monde. Après pour le monde entier Tsuka est folle, mais elle s'est toujours sentit normal. Les voix qu'elle entend dans sa tête font partie d'elle depuis toujours, elle a toujours pensé que les gens en entendait aussi, mais on dirait bien que non. Bruce était un drôle de numéro, il était surement la première personne qu'elle n'a pas envie de tuer. Du moins, il était assez drôle et divertissant pour l'occuper et lui donner envie d'en apprendre plus sur lui. Bon, il était un peu pervers sur les bords, elle pensait que ça la rebuterait, mais le tout mélangé à cet étrange personnage ça collait plutôt bien. Il se résuma à une céréale qu'elle ne connaissait pas et avoua qu'il aimait bien la demoiselle. Sincèrement, elle ne pense pas du tout ressembler à Alice au pays des merveilles. Mais son côté enfantin doit donner cette impression. Pour ce qui est du côté dominatrice, ça dépend des gens. Avec lui, elle n'a pas peur d'être elle-même. En général, elle joue la fille sans défense qui à besoin qu'on la protège. Sauf que lui est dingue ça ne servirait à rien de jouer à ça.
Il sortit de nouveau son téléphone, voulant faire un selfie, comme si ce genre de chose avait encore de l’intérêt de nos jours. Tel un singe voulant amuser la galerie, il fait tout un tas de grimace. Setsu en est amusée et laisse un petit rire enfantin s'échapper de ses lèvres. Puis tout comme lui, elle fait des grimaces quand il commence à les prendre en photo tous les deux. Juste après, il montre le résultat et c'est plutôt sympa. Ceci lui donne l'impression d'être "normal". Du moins, d'avoir une vie, car pendant plus de dix ans, elle est restée enfermé dans les murs d'un hôpital psychiatrique et ça n'avait rien d'amuser du tout. Bruce indique qu'il est possible de les imprimer dans le supermarché d'à côté qui à encore de l'électricité. Ceci serait un "souvenir". De sa vie, elle ne semble pas en avoir eu de réel, du moins de manière physique. "Oh intéressant. On pourrait en effet les imprimer. Par contre, désolé de te décevoir, mais malgré mon apparence, je suis uniquement d'origine asiatique, j'ai vu le jour aux états-unis et je n'ai jamais mis les pieds en Asie... Mais je sais parler Coréen et Japonais grâce à mes parents." Au final, qu'importe l'endroit ou elle est née, son apparence fait penser à une asiatique. Logique, ses parents étaient Coréen et Japonais. Si elle aurait eu un des deux étant américain, ses traits auraient surement été moins marqué. Mais sa culture, ça reste l'Amérique. Hormis les langues de ses parents, elle n'a jamais mis les pieds dans leur pays natal.
Bruce parla des zombies comme si s'était des êtres vivant doué de penser. Hormis suivre les vivants pour les bouffer, ils ne sont pas doué pour grand chose. Dans tout ça, elle apprit qu'il était médic et ceci la fit beaucoup rire. C'est qu'il n'en avait pas l'air du tout. "Au risque de t'offenser, tu as une case en moins pour être médic. T'es du genre quoi... docteur Frankenstein qui découpe ces patients pour créer un mutant ?" Des docteurs et compagnie elle en a vu toute sa vie. On l'a ausculté tant de fois... Mais aucun ne semblait avoir une case en moins, tous étaient sérieux et appliqués dans leur travail. Du coup, elle a du mal à imaginer l'énergumène devant elle en train de soigner des vies. "Il faut croire que l'habit ne fait pas le moine..." conclut-elle simplement.
Ensuite, il lui parla de lui, du fait qu'il avait soit disant perdu sa famille à la manière du Punisher, un personnage de comics qu'elle ne connait que de nom. Ce n'était pas le genre de chose qu'elle lisait et derrière les murs blanc de sa prison psychotique, elle lisait divers romans, du coup elle est plutôt larguée à ce niveau là. Il avait fais tellement de chose qu'on dirait la vie d'un vieil homme. Puis il parla d'une fille, visiblement une qui l'intéresse mais qui n'est pas de son bord, pauvre de lui. Il est amoureux ou du moins attiré, mais n'ose pas lui dire, surement de peur de se faire rejeter. La fameuse peur du râteau ! "Ou est le problème ? Sois tu l'aimes, sois tu l'aimes pas ? T'as qu'à continuer à t'amuser avec d'autre, surtout si les mecs c'est pas son truc. Quoi que... essayer de l'avoir ça pourrait peut-être faire relever ta femme de sa tombe... Personne ne sait comment les premiers zombies son apparu, peut-être que c'est à cause d'un mari qui décide de se taper la meilleure amie de sa femme morte..." N'espérait pas un brin d'empathie de la part de la jeune femme, elle en est incapable. Quelqu'un pourrait mourir devant elle qu'elle n'aura pas plus de réaction que ça. Elle n'a pas de réel attache ou de sentiment de ce style là. D’où son côté sociopathe. Le sujet parla d'aller faire du shopping et ceci la fit grandement sourire. Elle pourrait peut-être faire quelque chose de lui. "Ceci me semble être une idée sympathique. Mais si tu veux que je devienne ta styliste... il faudra me promettre de bruler cet affreux kilt et ce t-shirt. Je vais faire de toi... une bête de sexe !" Sa main vint caresser son menton avec un petit air taquin.
Malgré tout ça, le jeune homme lui demanda quelle était l'histoire de l'asiatique. Souhaite t-il vraiment savoir ? Elle posa ses mains sur son torse, caressa brièvement ses pectoraux avant de se rapprocher, collant presque sa poitrine contre lui. Ses lèvres vinrent frôler les siennes avec une certaine provocation avant de s'arrêter devant son oreille droite. "Moi... je suis une tueuse psychopathe d'après les médecins, avec des tendances sociopathe. Mon infirmier m'a libéré de ma chambre à l’hôpital dans lequel j'étais prisonnière depuis plus de dix ans et aujourd'hui..." elle vint lui mordre l'oreille pour souligner ses futurs propos, "je mords la vie à pleine dents !" Elle se recula et afficha un sourire légèrement machiavélique, libre à lui de la croire ou pas. Sa main vint attraper son couteau toujours à sa ceinture et elle posa cette dernière sur la joue de Bruce pour la faire glisser doucement. "Et... je te garantis que je n'ai aucunement besoin qu'on m'apprenne à jouer avec mes couteaux. Je suis une experte en la manière." Sa main tourna légèrement la lame du couteau pour que le tranchant entaille un tout petit peu le visage du médic, assez pour faire couler un peu de sang. Toujours provocante, elle essuya le sang du gout des doigts sur le visage de Bruce avant de le porter à sa bouche pour le sucer. "Lève ton joli petit cul, c'est l'heure de faire de toi un sex symbol..." confit telle en rangeant son couteau juste avant de se lever pour laisser l’opportunité à Bruce de faire de même. "Si tu veux bien faire le guide... ça t'évitera de mater mon cul pendant ce temps là !" La demoiselle ne connaissait pas localisation du supermarché, alors il devait passer devant. Avec lui, elle se sentait obligée d'être provocatrice, peut-être parce qu'il l'était aussi ? Mais en plus, elle était dominante, devoir jouer le rôle de la pauvre petite, c'était fatiguant à force.
Bruce Smith
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Jet de de
Vêtements 1-2 Vêtements pour lui et elle 3-4 Vêtements pour lui et elle plus bonus
Arme
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Le membre 'Bruce Smith' a effectué l'action suivante : Votre vie est en jeu...
#1 'Dé 6' : 3
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#2 'Armes' :
Bruce Smith
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Ven 28 Aoû - 14:49
Doc Maboule Bonjour
Les mains sur les cuisses de la dominatrice nippone, je m’en fous qu’elle soit américaine comme moi elle est trop parfaite en asiatique mystérieuse, je l’écoute me parler de cette petite voix chanté si mignonne. Je soulève mes larges épaules en rigolant doucement quand ma Perle affirme connaître le japonais et le coréen.
Bruce- Moi aussi vu que j’ai trainé mon cul partout. Je me débrouille donc si ça te branche nous pourrions roucouler en la langue de ton choix.
On parle de mon problème avec Riley et je m’étouffe de rire pour le truc de la résurrection de Zayna. Je me passe une main de la chevelure aussi naturellement que c’est sexy pour mon flamboyant caractère.
Bruce- Ma femme ne risque plus de revenir vu les quelques morceaux qu’ils ont été retrouvé après l’explosion du bâtiment. Même là ma famille a été incinérer. Ma j’adore ton idée. Imagine on aurait eu des problèmes de zombies depuis la nuit des temps.
Elle m’avoue être une évadée de l’asile et la morsure sur mon oreille m’excite énormément. Ce n’est pas une nana, c’est une vampire mutante de Venus qui est doublé d’une mante religieuse. L’ancien Bruce aurait tout fait pour prendre ses distances avec une psychopathe doublé d’un sociopathe. Mais le nouveau et breveté 100% cinglé Bruce adore ce rapproche sensuelle et ces sourires à faire froid dans le dos. Nos lèvres s’effleure et tout. Disons que Brucie Jr essaie de diriger, mais j’ai encore un moment de contrôle. Je la laisse faire mumuse avec son couteau si c’est pour lui plaire, moi je m’en cogne le coquillard si c’est superficielle. Je ne sursaute pas et aucune grimace de douleurs n’apparaît sur mes lippes charnues à souhait. Je ne fais que caresser avec une lenteur incendiaire ses cuisses pour rendre sa dégustation encore plus intense. Bordel que j’aime cette dominatrice qui n’a pas froid aux yeux et si je crève aujourd’hui je vais mourir heureux et bander comme un âne. Elle se redresse alors et m’ordonne d’en faire autant. Aussitôt comme un bon soldat je saute sur mes talons et je la salut en rigolant comme le dernier des crétins. J’adore l’entendre rire et avec sa vie d’avant elle doit s’être emmerdé de manière solide. À l’instant j’enlève alors mon t-shirt de donneurs d’orgasme dévoilant mon torse musculeux qui ferait rendre vert de jalousie les connards de dieux grecs. En plus on voit mes piercings, j’ai un flanc qui ressemble à une côte de maille en fait. Mes tatouages et mêmes mes implants sous-cutanés qui sont trop cool. Je mets mon t-shirt dans mon sac à dos Dora et je sors une douzaine de strings masculins aussi cocasses que sexy.
Bruce- Ça ne me dérange pas d’enlever mon kilt et mon t-shirt, mais je les garde ils sont importants pour ma gueule. Donc dès que tu es dans le coin je vais me changer pour ce que tu préfères. Mais là Brucie Jr va jouer la pendule car mes chaps de cuir ne me couvre pas l’aire de jeu ni la vallée venteuse.
Je prends mon favori, la tête d’éléphant en léopard et sans aucune pudeur j’enlève mon kilt. Je mets le string et la trompe se remplis trop bien. Je fais un tour sur moi-même pour tester la marchandise et je hoche la tête d’un sourire satisfait.
Bruce- Bon c’est mieux? Tu viens ma Perle c’est le temps du shopping! Oh j’y pense un médic de combat qui a une case en moins c’est utile pour ne pas se chier dessus sous le feu ennemi ou bien quand il rencontre une évadée de l’asile qui mord à pleine dent la vie en plus d’être un psy sexy dominatrice qui sait parler aux gens. J’adore ton style et pour moi l’important c’est qu’on s’amuse et qu’on rigole.
Je m’équipe avec mes armes, mon matos de moyen-âge vu que je n’ai plus d’armes à feu et après avoir mis un écouteur dans mon oreille et après avoir proposé un le second à la japonais torride pour participer à mon délire musicale de vielles musiques des années 70 à 80, j’ouvre le chemin tout en dansant comme un Dieu du Samedi soir. Mais mes mouvements semblent aléatoires, c’est que je couvre le périmètre. Je dois utiliser deux fois mon marteau et une fois je reviens vers la trop sexy demoiselle en me déhanchant. Mais au dernier moment je décroche un de ces coups de pieds à un rampant et sa tête s’envole loin. Aussitôt je fais de la course sur place avec un regard plein d’espoir comme un botteur professionnelle et après quelques instants je prends Setsuka dans mes bras pour une danse de la célébration autant amusante que festive. On arrive alors au petit centre d’achat où il y a une grande variété de vêtements pour homme et pour femme. Même si c’est saccager je suis persuadé qu’on va trouver notre petit bonheur.
Bruce- Voilà ma Perle d’orient. Tout ce que tu veux sous le même toit. Même pour faire nos photos en plus. Je prends un caddy et je te suis… Tu m’as maté le cul pendant le trajet à mon tour de te surveiller le six heures.
On entre et aussitôt la chance me sourit. Je prends ma découverte qui était planqué sous une étagère et je rattrape la belle avec l’air tout heureux d’un chiot devant sa maitresse.
Bruce- Attend Setsuka. J’ai trouvé un truc pour te remercier de me filer un coup de main et en plus d’être ma superbe sexy psy!
Bruce- Une lame solide, tranchante, superbe et mortelle pour une dangereuse demoiselle et qui est une femme fatale comme je les aime! Si tu veux je vais lui rajouter une garde en laiton pour t'empêcher de te couper la main quand le sang est trop lissant... Je ne sais pas quand c’est ta fête, mais bonne fête quand même ma Perle d’orient.
Je lui donne un baiser sur la joue pour ensuite l’étreindre avec affection avant de reprendre les rênes du caddy pour pointer le rayon des vêtements et photo.
Bruce- Prête pour ce shopping?
Je m’amuse trop pour songer qu’avec cette lame la japonaise folle à lier pourrait faire des trucs de dingue… Mais je ne veux que la voir heureuse et souriante…
Bruce indique qu'il parle d'autres langues pour avoir voyager dans le monde. Elle serait surprise qu'il parle vraiment Coréen et Japonais, surtout que ce ne sont pas des pays où les forces armées Américaines sont dépêchés. Certes, il y a bien une base en Corée, vis à vis des problèmes avec le Corée du Nord, mais il n'y a en soit aucun conflit. De plus, ce ne sont pas des langues faciles à apprendre vu qu'elles n'ont aucune racines communes avec l'anglais. Apprendre le Coréen ou le Japonais, c'est comme entrer dans un autre monde. Mais certes, peut-être qu'il connait tout ça...
Étrangement, il s'amusa de ce qu'elle avait dis à propos de sa femme qui pourrait revenir en morte vivante, s'il se décidait à coucher avec la meilleure amie de cette dernière. Il disait qu'il ne restait plus grand chose de la défunte après qu'elle soit morte. Une personne normal aurait regretté d'avoir dis ça, mais pas Tsuka qui n'eut aucune empathie particulière, elle n'était même pas désolé. Et puis pourquoi l'être ? Elle morte, non ? A quoi ça sert d'être triste pour ça.
A son comportement et la manière qu'il a de lui caresser les cuisses, elle sent bien qu'il a comme une attirance pour elle, mais pour l'heure elle s'amusera juste à le charmer et le faire tourner en bourrique. Une fois debout, il se leva tel un soldat et ceci la fit rire. Ce type est incroyable et intenable. ET quand elle parlait qu'il retire son kilt... elle ne parlait pas de là... maintenant... tout de suite. Mais plutôt quand ils seraient sur place au supermarché. Elle eut le droit à un pseudo strip-tease, Bruce retira son t-shirt et son kilt pour mettre un string ridicule. Mon dieu... il lui manque plus d'une case. Et après le monde entier disait qu'elle était folle, bon sang ils n'ont jamais rencontré Bruce ça c'est certain. "Finalement... je me demande si je ne préférerais pas la vision de ton kilt. Tu sais... les fesses à l'air, le corps quasiment nu... Tu fais une cible de choix et facile pour les zombies qui trainent un peu partout. Tu n'aurais pas des tendances suicidaires ? Car si tu veux mourir, dis le moi et j'arrange ça !" C'est vrai, s'il cherche à se tuer, Setsuka est une experte dans l'art d'assassiner, ça serait dommage de gâcher une occasion d'étriper, taillader et même poignarder.
Très enthousiaste, il invita Setsu à le suivre pour aller faire ce shopping. En chemin, il butta quelques morts vivants. Elle n'eut pas besoin de se fatiguer. Une fois de plus, il faisait son show et l'invita même à danser dans la rue au dessus des cadavres. Quel drôle de personnage. Une fois au supermarché, il attrapa un chariot tandis qu'elle commençait à entrer. C'était grand et il devait y avoir tout ce qu'il faut malgré un bordel monstre que la population locale à dû mettre au début de la fin du monde. Quand il arriva vers elle, il tenait un magnifique couteau de cuisine qu'il lui offrit. Elle regarda l'objet, sa lame glissant entre ses doigts, c'était un beau travail et la qualité était au rendez-vous. La demoiselle se mordilla la lèvre inférieur quelques secondes, personne ne lui avait rien offert depuis si longtemps. "Oh je l'adore ! J'ai hâte de tuer un survivant avec !" dit-elle avec une certaine excitation qu'elle ne pouvait pas cacher. Voilà qu'elle s'imaginait déjà planter la lame dans le ventre d'une pauvre victime consciente, remonter la magnifique lame pour couper la peau, l'ouvrant jusqu'au thorax pour en sortir tous les organes internes et jouer avec. Oh ça sera du grand art. Il avait déposé un baisé sur sa joue avant de l'enlacer comme si s'était une amie. Ce n'était pas un geste qu'elle avait prévu, elle était même surprise. D'ordinaire, tout le monde évite de trop s'approcher d'elle, du moins ceux qui savent ce qu'elle est. "Bon, assez trainé ! Allons trouver de quoi faire de toi un homme respectable !" Avant ça, elle monta dans le chariot et son couteau dans sa main, elle leva son bras comme pour sonner la charge. "En avant rayon fringue !" Un magasin, un chariot... ça donne envie de s'amuser comme des enfants avec.
Après un petit moment à faire n'importe quoi dans les allées, ils finirent pas trouver les vêtements. Là, elle sauta du chariot et se mit à farfouiller. La demoiselle s'intéressa à un pantalon qui faisait habillé, de couleur marron clair, voir même un peu gris, le tout avec une chemise blanche et le petit veston assortie. Ça c'est pour lui donner l'air d'un homme respectable et hyper classe, genre pour une soirée (la tenue). Pour la seconde tenue, elle opta pour un blue jean, avec un t-shirt à l'effigie du célèbre groupe AC/DC, une veste en cuire et une paire de lunette rayban du même genre que Tom Cruise porte dans Top Gun. "Et si tu allais essayer ça dans un premier temps, princesse !" Elle s'amusa du dernier mot utilisé et le poussa vers les cabines. "Ça manque... de fun ici. Bouge pas, je vais voir si on peut mettre de la musique." Rapidement, elle s'éloigna pour trouver un rayon proposa multimédia et compagnie. Il y avait des postes radio rétro qui fonctionnait à pile. Elle en prit un avec un paquet de pile, puis un CD et retourna au cabine. Une fois le tout installé, elle lança le CD, c'était une compilation de vieille musique et le premier titre n'était autre que du Britney Spears avec le titre Baby one more time.
[pardonne mon retard, j'étais sur la MAJ design/codage d'un forum et ça m'a prit beaucoup de temps]
Aujourd’hui j’ai le moral directement dans le fond de mes chaussettes. Brucie Jr ne fait que se pendouiller mollement la tête basse et j’ai carrément la queue entre les jambes. Tout est noir dans ma tête et je ne pense même pas à me déplacer en gambadant joyeusement pour tout dire. Il y a tellement de trucs qui me sont arrivé dernièrement que je ne sais plus dans quelle direction bander. J’ai besoin de me confier et bruyamment je frappe du pied une conserve vide au sol. Habituellement j’attends avec intérêt. Même espoir, qu’un Michael Jackson vienne montrer sa gueule de porte-bonheur pour que je lui fracasse en rigolant comme si j’étais à la fête foraine au jeu de tape la taupe. Mais même mes plus fidèles admirateurs de mon corps d’apollon semblent avoir foutu le camp je ne sais pas où. Et ça me fait encore plus de peine car ils n’ont pas invité leur vieux pote Bruce à se joindre à leur soft parade. Alors je vois une tour médicale avec clinique, pharmacie et divers bureaux de spécialistes pour la santé en général. Je me dirige la tête basse, les épaules tombantes et les mains sur les flancs en maudissant l’imbécile qui n’a pas mis de poches dans la fabrication du kilt. Je regarde alors la liste des bureaux et un attire mon regard de pervers somnolent. Je monte trois étages et je massacre avec une certaine douceur et poésie les zonzons que je rencontre. J’espère qu’il aura de la place chez le psy pour m’aider à surmonter ma détresse passagère.
