J’ai un moment d’arrêt quand elle m’annonce qu’elle à hâte de buter un survivant avec la lame que je lui ai dégotté. Je lui dis alors avec un sourire charmeur et surtout séducteur à deux balles qui fait tant rigoler avant de gémir de désir.
Bruce- Utilise là comme tu veux ma sociopathe trop sexy favorite. Mais perso moi je m’en aurais servi sur les enculés qui te veule du mal et je graverais mon nom dans sa carcasse. Ça me rappelle ce que j’ai fait avec ce trafiquant de mon cul… On aurait cru à un joyeux Noël de Monsieur Jack avec des tripes comme guirlandes et les organes comme décoration de sapin! Ça à fait chié sur un moyen temps dans leurs frocs ses associées et après que j’ai passé ça sentait pire qu’une toilette chimique utiliser pendant une semaine non-stop d’un festival de musique.
Hochant la tête je commence à courir comme un rat totalement droguer vers le rayon des fringues et on rigole comme des enfants. Brucie Jr bien cacher dans l’énorme trompe de l’éléphant se dandine le petit coquin. Je dois bientôt ralentir car sinon j’aurai des bleus sur le gland et près des genoux. Après un arrêt en dérapage moindrement contrôler, bordel je vais surement sortir un panier dehors et me trouver une pente pour faire une course de dingue, j’aide la bandante asiatique à descendre et aussitôt elle s’engouffre dans l’amas de vêtements avec l’adresse d’un furet dans un poulailler. Pour ma part je me sens attirer vers les slips pour homme et j’en prends deux ou trois normaux vu que je devrais porter des habits banals. Moi dès qu’elle ne brule pas ma collection rigolote et mon kilt je peux faire des concessions. Je me retrouve alors des vêtements dans mes bras et même une paire de godasse chic. Je souris en grand devant le commentaire de ma Perle d’Orient légèrement perturbé.
Bruce- Tu veux encore une petite danse ma coquine!
J’enfile l’habit et je roule les manches de la chemise pour me donner un look d’un figurant dans Smooth Criminal. Brulant et sexy à souhait. Alors la musique s’élève et je souris d’un bonheur communicatif. J’ouvre la porte d’un violent coup de pied et alors je me donne en spectacle. Des mouvements sensuelles et provoquant qui font saliver autant les zombies que les nanas. Une chorégraphie presque similaire à la Britney Spears, j’envie le zombie qui l’a dévoré elle, car ma fille l’adorait et le vidéoclip jouait non-stop. Ce que je ne ferais pas pour la faire sourire cette beauté meurtrière. Je l’effleure et je lui jette des oreillardes gourmandes tout en me déhanchant.
Un zomzom arriva alors, attirer par la musique et mes mouvements trop sexy, près de l’asiatique et je passai mon bras autour du cou, sans le toucher, du Michael Jackson comme je l’aurai fait avec un pote pour zieuter un cul d’enfer dans un pantalon de cuir moulant. Le pourri se tourne la tête vers moi et je lui fais un de ces sourires lubriques et loufoques.
Bruce- On veut tous lui croquer les fesses Roméo, mais désolé elle n’aime pas trop ce genre de comportement… Tu vois moi-même je joue ma vie en la zieutant de manière innocente et d’une chasteté exemplaire.
Je rigole en le repoussa et j’utilise un morceau de métal pointu, surement une pole pour suspendre le linge, pour tuer ce méchant voyeur sans me salir mes vêtements trop classe. Je me redresse et lui pointe les vêtements féminins.
Bruce- Il est louche ce type! Wow je suis aussi sexy qu’un camion d’incendie! Merci ça fait une paye que je n’ai pas fait de shopping, à part les armes et les explosifs… Alors tu aimes ce que tu vois? Pour ma part je n’ai jamais vu une meurtrière aussi sexy… Alors on te trouve des fringues d’extra et on se fait un repas sur un toit avec de la bonne musique?
Je vais quelques pas de danses en étant si charmeur et loufoque...
S'il prend Tsuka pour une justicière et du genre à uniquement tuer ceux qui s'en prennent à elle, il a tort. Elle tue n'importe qui, quand l'envie est là, difficile de résister. Alors, ce qu'il dit n'a pas vraiment de sens pour elle, bien qu'elle s'amuse de son histoire de trafiquant qui a dû finir façon tableau Picasso. Son objectif du moment, c'est de faire de lui un type qui aurait l'air respectable et moins clownesque. Parce que ce string à trompe d'éléphant... c'est drôle deux minutes, mais voir son cul nu, c'est pas vraiment son délire. Et puis, elle aimerait voir de quoi il a l'air une fois habillé avec des vêtements digne de ce nom. Car le kilt et le t-shirt qu'il avait... hormis lui donner air de cas social, ce n'était pas du tout sexy. Après un tour dans les rayons, elle avait fait sa petite sélection en jugeant plus ou moins sa taille. Techniquement, elle ne devrait pas avoir fait d'erreur, à présent s'était à lui de jouer.
Le temps qu'il se change, elle avait trouvé de quoi mettre de l'ambiance et s'était là, une superbe idée. Sous la voix de Britney, il sortit de sa cabine et bon sang, il était plus beau que jamais. Elle savait que derrière ce clown se trouvait un type vachement sexy. Peut-être pas autant que Nicky, il faut dire que l'infirmier est plutôt ultra beau gosse, mais depuis son départ des États-Unis, elle n'a pas vu ce dernier. Peut-être qu'il finira par la retrouver. Mais l'heure était à mater ce bellâtre devant elle. Il continuait naturellement à faire le clown et danger, il trouva même l'occasion de tuer un zombie avec une classe qui ne lui échappa pas. "Tu sais que ton cul est quand même vachement mieux mis en valeur dans ce pantalon que dans ton string ridicule !" Observe t-elle histoire de lui dire qu'il était plutôt canon. Elle se leva de son banc pour s'approcher et faire le tour du jeune homme en le regardant de haut en bas. "Canon... J'ai été enfermé pendant plus de dix ans, alors je préfère voir quelqu'un habillé "normalement" les blouse de docteur me sont en horreur et les fous qui se ballade à moitié à poil j'en ai marre." Imaginez plus de dix années derrières les murs d'un asile... c'est pas toujours cool. Oubliez les vêtements normaux et dite bonjour au pyjama de patient, blanc, bleu, ou à pois. Quant aux infirmiers, tous en tenue verte médicale et les docteurs en bleu avec leur blouse blanche. Autant dire qu'elle avait besoin de voir quelque chose de différent. Elle s'arrêta devant lui et ajusta son veston pour qu'il soit parfaitement en place, laissant sa main caresser sensuellement une partie de son torse. "Voilà qui est mieux !"
Bruce avait proposé de lui trouver des vêtements, pourquoi pas, tant qu'ils n'ont rien de ridicule ça lui va. "Je veux bien te laisser me trouver une tenue, mais faudra que ça soit beau !" Elle approcha sa bouche de son oreille pour lui murmurer : "Beau et sexy, alors pas de tenue ridicule s'il te plait ! Je vais faire un tour au rayon lingerie, le temps que tu trouves ma tenue." La demoiselle fit frôler sa joue contre la sienne et se recula puis s'en alla dans le rayon qu'elle avait cité. Elle choisit plusieurs ensembles. Changer ne lui fera pas de mal et elle aime la lingerie fine et les dentelles, à l’hôpital, elle n'avait pas ce genre de chose. Puis une fois tout trouvé, elle retourna aux cabines d’essayages pour attendre son nouvel ami.
Bruce Smith
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Sam 3 Oct - 15:10
Doc Maboule Bonjour
La main baladeuse et délicate de ma Perle d’Orient me fait tester la solidité du pantalon avec une attaque soudaine de Brucie Jr. Ça fait une bosse, mais je suis déçu que ça ne craque pas pour laisser apparaître mon amie le boa à un œil. Mais je la suis dans son compliment, ça me fait un cul d’enfer et je fais des poses tentatrices et provocatrices dans les miroirs en dansant sur les hits de la canon Britney Spear. Elle déclare lorsqu’elle va dans le rayon lingerie et me donne l’opportunité de faire un couturier de haute couture. Avant qu’elle ne quitte je mets mes mains sur sa taille pour évaluer sa grandeur de robe et je lui fais un sourire désarmant en secouant la tête.
Bruce- Je dois trouver un truc qui te fait et je dois avoir ton tour de taille. Belle tenue à tes ordres…
Je lui fais un signe de la main, salut militaire impeccable car elle me fait littéralement aligner ma grosse artillerie, et je cours littéralement dans le rayon pour dame. Une tornade sera moins active que moi bordel. Je balance les leggings, les shorts et les joggings. Elle m’a trouvé de la classe et je ne crois pas qu’on va faire du cocooning devant un film à pleurer de donzelles avec ces acteurs belles gueules mais qui ne sont pas foutu de faire autre chose que tu charme à deux balles. Je vois un repas gastronomique au rations de combats succulentes, pas de la bouffe de chien ni de la simili nourriture d’hosto infecte. Un truc bien en hauteur pour avoir la paix et donner le goût à ma Perle déranger mais si sexy de se sentir bien pour une putain de fois. Je farfouille dans les robes et je lui en trouve deux qui sauront la rendre aussi bandante que deux playmates en train de s’embrasser. Rayons chaussures pour trouver des escarpins magnifiques qui vont avec les deux toilettes et je reviens vers la cabine d’essayage. De nouveau je suis attiré par le rayon plein air et je prends un dernier ajout pour elle et pour moi. Un ciré jaune avec chapeau. Pour ma gueule j’aimerais bien en avoir un quand je rencontre une femme fontaine. Donc j’arrive avec un grand sourire ravis et je lui tends avec galanterie et élégance, tout en zieutant ce cul incroyable, les robes.
Bruce- Voilà ma Perle! La première met en valeur ta peau de porcelaine et la délicatesse de tes traits. Pour la seconde c’est quand je vais rêver de toi la nuit alors que tu sembles confondre la voie lactée avec ta beauté! Que le ciel étoilé suffit pour t’habiller.
Ensuite vint les chaussures.
Bruce- Des escarpins pour te faire sentir comme une princesse ou une star de film… Bordel tu as tout pour faire du cinoche…
Pour la fin le ciré jaune canard.
Bruce- Pour te protéger quand tu vas tuer un connard ou un Michael Jackson… Le sang c’est tellement dur à faire disparaître au lavage…
La musique est calme et je m’assoie dans un fauteuil en lui faisant un clin d’œil complice et charmant. Pour l’encourager à essayer le tout pendant que moi j’espère que aucun visiteur qui pue moins que ma tante Germaine arrive pour nous faire chier royalement.
Après avoir prit une pseudo mesure de la taille de la demoiselle, mais entre nous, c'était plus un moyen de profiter de son corps et de la toucher un peu, l'homme s'en alla à la recherche d'une tenue qui sera parfaite pour la demoiselle. Quant à elle, elle était partie dans le rayon lingerie, histoire de renouveler les quelques soutient gorge et culotte qu'elle avait. Depuis sont départ elle n'avait pas grand chose et n'avait pas prit le temps de chercher. Là, elle voulait enfin se sentir femme avec autre chose qu'une culotte Dim à l'allure de culotte de grand mère au tissus uni et tout simple. C'est qu'elle veut de la dentelle, du sexy, quelque chose d'affriolant, juste pour ne plus avoir l'impression d'être une vulgaire patiente d'un hôpital et qui n'a le droit à plus aucune liberté. Elle trouva un ensemble noir, un rouge et même un bleu nuit ultra charmant.
A son retour, Bruce était déjà là et il avait deux jolies robes en main. Une noire assez courte, assez cintré, mais qui devait être assez sexy. Une autre bleu et pailleté, du style robe de soirée qu'on met pour le bal de promo. "Okay, tu as mon goût, c'est un bon point pour toi. Je vais essayer ça !" La folle s'empara des deux vêtements et des chaussures avant de disparaitre de la cabine et de fermer le rideau. Là, elle retira ses vêtements et enfila la première robe, la noire, en soit c'est un classique, toute femme ce doit d'avoir une robe noire, cela peut servir pour n'importe quelle occasion. La taille collait parfaitement à son physique, c'est qu'il est chanceux dit donc ! Une fois prête, elle ouvrit le rideau et resta dans l'encadrement de celui-ci, quelque peu déhanché pour former une jolie courbe sur son corps. "Qu'est-ce que tu en penses ?" demande t-elle, puis elle s'avança vers lui, ses talons claquant au sol. Elle fit un tour sur elle même, histoire qu'il voit ce que ça donnait et s'arrêta non loin de lui. "Tu valides ? Personnellement, j'aime bien !" D'ailleurs cette robe était pratique et surtout elle s'associait très bien à la tenue de Bruce. On pourrait croire qu'ils se rendent à une fête pour une grande occasion. "Dois-je tout de même essayer la seconde ?" le questionne t-elle. C'est là qu'un grognement indiqua la présence d'un mort ambulant. Ceci lui fit prendre l'impair jaune qu'elle enfila rapidement. "Tu me permets de tester !" Avant même sa réponse, elle s'avança, récupéra son nouveau couteau et vit ou se trouvait l'intrus. Sans pitié, elle s'approcha et le taillada avant d'enfoncer son couteau dans son crâne. De la matière grise gicla un peu, du sang coagulé aussi, mais le ciré jaune avait fait son travail. De retour vers Bruce, elle dézippa la veste et se tourna en lui demandant : "Tu m'aides à retirer cette veste s'il te plait !" C'est qu'elle ne voulait pas de sang sur ses mains qui pourrait ensuite tacher sa robe.
Bruce Smith
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Ven 30 Oct - 12:36
Doc Maboule Bonjour
Je suis foutrement bien assis dans le fauteuil devant les cabines d’essayage. Une jambe repliée sur l’autre, viril en me tenant le menton d’excitation, je suis littéralement sur un putain de nuage. Une sexy tueuse qui peut me faire la peau à tout instant est en train de s’habiller comme une trop hot demoiselle pour qu’on s’amuse et qu’on rigole! Enfin du compte la bouffe du resto chic que j’ai ramassé la vieille et le vin sera utile je le sens. Et si je mort attacher à un lit poignarder à mort par ma Perle de l’Orient, j’espère que ce sera dans l’extase la plus totale. Au moins j’aurai baisé et rigoler un bon coup avant de rejoindre les miens et de m’expliquer à Zayan le pourquoi que j’ai mené cette vie fabuleuse de débauche et d’insouciance! Je prends même une revue ringarde pour cacher mon enthousiasme et jouer le rôle du gars blasé par les séances d’habillage de sa petite amie. Hors dès que le rideau s’écarte et j’entends la petite voix de fée clochette qui m’allume se manifester je lève mon regard qui s’illumine totalement. Je balance littéralement la revue par-dessus mon épaule malgré le test du mois qui pouvait me faire savoir si j’étais une super copine et je fais presque la planche en sifflant mon admiration. Je cogne du pied en hurlant à la lune, je tape du poing sur la table basse pendant qu’elle fait sa petite parade de mode. Elle est trop sexy et elle m’incendie littéralement le Brucie Jr! Elle me demande si elle doit essayer la robe de gala et si j’aimais sa tenue. J’arrive pour lui répondre mais un connard de putride sur deux pattes se dandine son cul bouffé par les asticots dans l’intention de croquer mon spéciale 2 pour 4 asiatique avant moi! Je suis indigner et je veux lui ouvrir la gueule à grand coup de Penetrator. Mais ma poupée de porcelaine trop sexy prend le ciré jaune et s’occupe de manière satisfaisante. Elle me fait littéralement songer à Gorgie qui prend sa revanche contre ce putain de clown cannibale dans la bible de Stephen King IT!
Je cache ma grande excitation en prenant un air blasé et suffisant qui est complétement nulle. En vérité je dois serrer les jambes pour éviter que Brucie Jr ne défonce la braguette du pantalon trop chic qui me serre les reins. Je me relève alors pour la débarrasser de l’imperméable et le placer dans un sac de plastique. Je n’y peux plus et je fais un de ces sourires lumineux et complétement rigolo que j’ai le secret. En plus il est charmeur et craquant. Que voulez-vous, je suis un parfait imparfait des plus assumé.
Bruce- WOW tu es canon! Une star de tapis rouge et en plus qui ne se laisse pas marcher sur les pieds! Je peux être le président de ton fan club? Garde l’autre robe pour une autre fois.
Je prends notre barda et lui fait signe de me suivre d’un signe de tête invitant.
Bruce- Si tu veux que je te montre d’autres techniques au couteau ça me ferait plaisir. J’ai passé plusieurs années chez les Marines avant d’être flic et de retourner dans une unité de botteurs de cul spécialisé dans la merde internationale. En échange…
Je laisse planer un long silence qui pourrait être aisément remplit d’allusion à deux balles sexuelles.
Bruce- Du shopping comme aujourd’hui et qu’on se marre comme maintenant.
Je lui tends le bras comme un galant même si je me doute qu’elle fera sa dominatrice et lever le nez sur cette courtoisie. Nous sortons et je lui fais signe de la tête vers une voiture luxueuse, une putain de Mercedes, stationné tout près. Je sors une clef de mon sac à dos Dora et je lui lance avec un sourire ravi.
Bruce- J’ai trouvé ça dans les poches de ton dernier prétendent. Tu as déjà conduis? Car il n’y a plus de trafic à part que les piétons sont complétement taré.
Je lui offre la portière de son choix et je lui dis tout heureux en prenant place.
Bruce- Dans un kilomètre il y a une maison luxueuse qu’on pourrait prendre possession. Un repas gastronomique. Une grosse bibliothèque et un système de son de malade avec cinéma maison. Il y a encore de l’électricité et on pourrait se fendre la gueule. Tu en dis quoi ma Perle de l’Orient?
Je soulève un sourcil comique et inquisiteur a souhait pour la faire rire. Bordel que son rire de sociopathe est une pure merveille!
HRP Attitude de Bruce devant la parade de mode!!!!
On dirait bien que cette robe est au goût de Bruce vu la réaction démesuré qui s’empare de lui. Il est comme un fou, il tape du pied et hurle presque tel un loup qui a repérer une louve en chaleur. C'est à la fois déroutant et drôle. Ce type est vraiment plus fou qu'elle à le voir agir de cette manière. Ce n'est pas elle qui aurait dû être enfermé dans un hôpital psychiatrique, à coté, elle a l'air bien plus saine d'esprit. Mais il faut croire que la folie est différente pour tout le monde. Quoi que Setsuka ne se pense pas folle, juste différente, avec des envies meurtrières qui font d'elle une personne dangereuse qui aurait dû passer l’entièreté de sa vie dans un lieu sécurisé sans pouvoir en sortir. Une chance que la fin du monde soit arrivée pour la sortir de ce trou.
Son défilé terminé et ce vilain zombie hors d'état de nuire, elle ne peut qu'accepter les compliments de son acolyte. Il parle de devenir le président de son fan-club, c'est bien la première fois de sa vie que quelqu'un voudrait créer ce genre de chose en ce qui la concerne. Elle qui était traité comme la peste, voilà que quelqu'un l'adulte telle une déesse de la destruction. "Fais ce que tu veux, mais je doute que tu aies beaucoup de membre dans ton club !" Souligne t'elle simplement. L'autre robe fut rangée dans son sac bien qu'elle doute la mettre un jour, celle là, reste bien plus pratique quoi qu'il arrive. Bruce lui proposa de lui apprendre de nouvelles technique avec son couteau, mais sincèrement, elle n'avait pas besoin d'aide pour ça. "Je m'en sortirais sans tes conseilles. Mais c'est gentil de proposer." Elle n'a pas besoin de technique militaire, c'est une tueuse, elle se débrouille très bien comme ça.
La demoiselle suivi l'homme jusqu'à l'extérieur, il avait trouvé la clef d'une voiture et proposa d'aller plus loin avec pour profiter d'un bon repas. Pourquoi pas. Elle monta du côté passager, s'installant confortablement. "Je te laisse nous conduire à destination." Un sourire et elle mit sa ceinture, on ne sait jamais, s'il joue au auto-tamponneuse avec les zombies, elle n'a pas envie de s'écraser le nez contre le pare-brise.
Bruce Smith
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Lun 16 Nov - 12:27
Doc Maboule Bonjour
Je referme la portière à ma sociopathe trop bandante et je fais le tour de la voiture de luxe qui n’est pas trop mon genre. D’un geste de la main je salue ma Rosie, mon scooter rose bonbon bien dissimulé. Je lui jure que c’est passager cette relation avec Mercedes et que demain je vais venir la chercher pour la chevaucher avec adoration! Je m’assoie et lance le moteur et comme de raison j’allume la radio pour mettre un peu d’ambiance. Je dévore des yeux ma Perle de l’Orient pour la faire marrer et je fais même mine de la toucher sans y parvenir car j’enlève mon index et le secoue comme si je m’étais brulé. Clin d’œil complice et complétement loufoque.
Bruce- Tu es si brulante dans cette robe! Heureusement que je ne sens pas la douleur car je vais fondre!
J’arrive alors pour enclencher la première vitesse mais la musique me fait sourire en grand comme le dernier des connards.
Bruce- C’est ma chanson!!!!
C’est la mélodie de ‘’a thousand miles’’ et comme de raison j’adore tellement Terry Crew dans cette scène. Bordel c’était ma motivation numéro un pour faire de la fonte. Être capable de faire danser mes pectoraux comme lui pour déconner grave. Comme lui je fais un peu de chansonnette comique et surtout je fais des gestes de la tête pour entendre rire ma belle invitée.
J’évite les obstacles de la vie comme sur la route avec vitesse et folie. Je suis habitué de conduire en cinglé vu mon passé de flic honorable, de médic de combat loyale et de mercenaire complètement taré qui coursait pour rattraper ces pleutres du cartel et leurs éclater la tronche en rythme sur le bitume. Les Micheal Jackson je les évite sans problème et les carcasses de voitures aussi.
Bruce- Tu t’amuses ma Perle? Tu aimerais que je ralentisse et que je conduise comme mon grand-père qui se promenait comme un escargot asthmatique ou bien je continue?
Je me plie à sa demande, je dois être gérer par une dominatrice car sinon je fais n’importe quel connerie, et on arrive enfin à la piaule de luxe. Je me stationne dans la cours et je cours pour fermer la grille et rendre les lieux sur. Rien n’a bougé depuis hier en fait. J’ouvre la portière et comme un anglais de mon gland je lui tends mon bras pour l’escorter.
Bruce- Voilà ta maison ma Perle. Tout es clean j’ai fait le ménage hier. Pour la clef elle sous la roche ici.
Je prends la pierre et je fais mine de vouloir fracasser la fenêtre. Clin d’œil complice et rigolo tout en zieutant le décolleté et je sors la clef de sa cachette sans problème. Je la lui tends comme si je ferais une demande à mariage avec le genou au sol et tout le bataclan.
Bruce- Setsuka ma toute belle tueuse au couteau acérée tu voudrais prendre possession de cette demeure et l’honorer de ta présence? Je te laisse la bagnole aussi.
Je la laisse ouvrir la porte et lui fait le tour du proprio. Deux immenses chambres pour accueillir des partouzes, une cuisine avec quelques victuailles, un salon avec cinéma maison, deux salles de bain, une piscine et une bibliothèque. Tout le luxe pour quelques jours. Les proprios pourrissent avec la ville et comme c’est assez éloigné c’est encore sain. En plus des murs d’enceintes pour éloignés les Michael Jackson. Ma bandante demoiselle sera en sécurité ici.
Bruce- Il y a encore l’eau et l’électricité, mais je ne sais pas pour combien de temps. Je commence le repas. Tu aimerais quoi je vais essayer de te le faire…
Je rigole en lui montrant ce que nous avons et je lui sers un verre de saké que j’ai découvert dans le mini bar.
Bruce- Va explorer l’endroit et je crois que la garde-robe de la dame est dans la même taille que toi. Elle semblait être à la carte. Prend un bain, une douche ou ce que tu veux faire pendant que je fais flamber la cuisine…
Je lui prends la main pour y faire un baisemain et une révérence rigolote.
Bruce- J’adore me baigner e si ça te dit on pourrait faire trempette…
La voilà dans cette voiture qui autre fois devait être hors de prix. N'ayant jamais quitté son hopital psychiatrique depuis plus de dix, on ne peut pas dire qu'elle soit très au courant de ce qu'il se fait niveau véhicule. Les lignes ont changés, elles sont plus douces, plus courbés, plus féminine et bien moins masculine que par le passé. A croire que le sexe fort c'est la femme... Confortablement installé, elle mit sa ceinture. C'est peut être une folle, mais elle tient à la vie et un vulgaire accident, il faut l'avouer, ça serait franchement nul comme mort lors de l'apocalypse. Bruce allait à vive allure, il zigzaguait entre les voitures qui étaient stationnées au milieu de la route et les zombies qui erraient en se demandant à quoi pouvait ressembler leur nouvelle vie. Le conducteur comme à son habitude, ne cachait pas à quel point il appréciait la demoiselle et la trouvait attirante. Quel flatteur ! Il a de la chance d'être à moitié taré, sinon ses petites voix l'auraient trouvé lourd. Mais lui... lui il était intéressant et unique en son genre. En fait, c'est la première fois qu'elle croise quelqu'un qu'on pourrait vraiment dire fou. A coté, elle se trouve plutôt normal, mais elle ne s'est jamais considéré comme une folle. Mais bon ce n'est pas l'avis des docteurs qui l'ont étudié pendant tellement d'année. La musique crachait une chanson que son comparse avait l'air d'aimer, c'était sympa, même si ce n'était pas son genre. En même temps, elle a raté une bonne décennie de musique, difficile de dire ce qu'elle aime ou pas. Il lui demanda s'il n'allait pas trop vite, il aurait pu ralentir, mais elle secoua la tête négativement. D'ailleurs, elle glissa sa main gauche sur la cuisse droite du jeune homme, comme pour l'encourager à aller plus vite. "Montre moi ce qu'elle a dans le ventre !" sa voix était empreinte d'une touche de perversité et de provocation. Libre à lui de l'écouter ou pas.
Un petit moment après, les voilà arrêté devant cette immense baraque digne des maisons Hollywoodienne que les acteurs aimaient s'acheter. La clef était vulgairement caché sous un caillou, elle n'a jamais comprit les gens qui font ça, c'est tellement classique et prévisible, mais c'était une opportunité pour eux. Avec toute une cérémonie, il lui donna la clef et elle ouvrit la porte. L'intérieur était grandiose, de grands espaces et sa sentait la richesse à plein nez. "Wow et dire que j'ai passé presque la moitié de ma vie dans une pauvre chambre de moins de neuf mètres carré..." Jamais elle ne regrettera cette "cellule" ou elle avait un pauvre chiotte à la vue de tous. Tsuka s'avança et tourna les bras écartés au milieu de ce hall d'entrée qui faisait surement une multitude de fois la taille de son ancienne chambre de folle furieuse. L'endroit possédait encore de l'eau et de l’électricité, en somme s'était un véritable palace qui lui offrait. Bruce voulait cuisiner, sauf qu'elle n'avait aucune idée de ce qu'elle avait envie de manger. "Impressionne moi ! Fais ce que tu veux. Même un vulgaire sandwich aura des goûts de luxe dans cette endroit de toute manière !" Telle une enfant, elle se mit à courir pour aller découvrir le salon, c'était tellement grand, puis elle découvrit la cuisine digne d'un restaurant quatre étoiles, s'il vous plait. "J'ai du mal à imaginer que des gens pouvaient habiter ici !" Ayant la permission d'explorer l'endroit, elle ne se fit pas attendre, laissant Bruce à la cuisine, qui lui avait dit qu'il ne serait pas contre le fait de faire trempette un peu plus tard.
Dans le couloir, elle abandonna ses talons pour se retrouver pieds nus et ainsi marcher et courir plus facilement. Elle visita les chambres, sautant sur les lits telle une enfant n'ayant pas peur d'être punis. Cet endroit était superbe. Bientôt elle découvrit le dressing de la femme qui habitait ici. Les tenues étaient superbe, elle fouilla et trouva plusieurs maillots de bain. Elle jeta son dévolu sur un deux pièces assez sexy, avec quelques dentelles de couleur noir. Une fois sa robe sur le sol, elle enfila le maillot qui lui allait comme un gant. Autour d'elle elle ajouta un paréo noir transparent, elle remit ses talons qui l'attendait sagement dans le couloir et arriva dans la cuisine telle une vile tentatrice. "Alors, prêt pour une petite baignade ?" demande t-elle en se rapprochant de lui en faisant claquer ses talons sur sol. Arrivé à son niveau, elle passa ses mains sur son torse et vint détacher son veston, comme une invitation à aller justement dans cette piscine ou jacuzzi peu importe.
Bruce Smith
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Lun 23 Nov - 12:23
Doc Maboule Bonjour
Quand la main gracile de ma Perle de l’Orient à caresser ma cuisse lors de la promenade digne d’un putain de Fast et Furious, elle a touché mon Brucie Jr qui était tout content. Je porte èa droite et bordel dans un pantalon je laisse mon petit cerveau s’étendre sur ma cuisse pour ne pas finir tout replier comme un serpent dans son trou. Donc la Belle en a eu des émotions fortes et la voir agir je crois que ce n’est pas fini. Maintenant je suis exciter et même si on ne baise pas, pas grave je m’amuse comme un fou. Maintenant la cuisine et je l’entends rire comme le son du cristal. Beauté. Et folie, un duo de choc de plus pervers selon moi.
Bruce- Et un repas pour la jolie demoiselle qui rigole comme un canari. Tu vas voir que Chef Bruce va bien te nourrir.
Et Chef Bruce va tenir sa parole même si je ne suis qu’un pied dans le domaine de la bouffe. Je suis plus dans mes forces dans lécher, faire crier de plaisir et rigoler les gens. Mais çca je ne pousse personne à faire le pas avec moi et les putains de violeurs qui auraient pris leur pied si je les chope ils vont finir avec les petites couilles en guise de boucles d’oreilles et leurs queues dans le fond de la gorge en train de s’étouffer avec. Tiens une bonne soupe et un ragout nourrissant en conserve ce serait parfait ça. Tout à feux doux pour pouvoir mettre de la musique et danser comme un sensuel con et m’amuser alors que ma bandante demoiselle s’amuse èa exploré son petit coin. Car oui je lui laisse avec plaisir. Pour ma gueule j’aime mieux faire le moine missionnaire, promener mon moineau pour porter la parole de Brucie le tout puissant au travers des groupes de survivants et de faire crier Amen les demoiselles qui le veuille bien.
Alors je danse sur un vieux tube que mon cellulaire crache doucement alors que je profite de l’électricité pour le recharger, je me déhanche de manière autant loufoque que sensuelle. Comme micro je saisis une immense poivrière qui ressemble à un godiche pour amatrice de première de taille Brucie Jr. Mais des claquements de talons hauts m’arrêtent dans un flip arrière et je reste complétement béat devant la beauté de porcelaine. Un deux pièces sexy à mort couvrait ses arguments d’être la dominatrice qui se joue d’être et le paréo noir ressemblait à une nappe qui annonçait que le dessert était servi. Ses mains courent sur mon torse musculeux et elle détache ce gilet de manière provocatrice et qui m’allume comme un lance-flamme qui va rôtir des connards planqué dans un bunker. A son invitation soufflé pour attiser les cendres de mon désir je laisse paraître mon sourire charmeur et séducteur numéro 45 qui pourrait mettre le feu au cul d’une femme fontaine et qui aura alors un immense banc de vapeur dans la pièce.
Bruce- Avec toi à chaque moment de cette soirée ma belle. Tu es magnifique et trop sexy et ça me tente de l’être aussi…
Pour l’allumer aussi je laisse mes mains caresser son dos avec des mouvements incendiaires tout autant qu’elle. Je passe à un millimètre de l’embrasser, mais je joue le jeu que c’est elle qui dicte le pas de la soirée. C’est bien plus classe et surtout gentleman. Et si demain elle ne peut plus marcher car elle va avoir le bassin en miettes ce sera de sa faute. Je laisse mijoter le repas et je la soulève alors pour l’assoir sur le comptoir. Alors vint la partie que je préfère. Celle de me foutre presque à poil de manière aussi sensuel que loufoque. Je me déhanche, je fais des grands écarts, des mouvements provoquants et des sourires charmeurs à deux balles. Je ne déchire pas les vêtements car je sais qu’elle aime bien le look. Je dévoile alors ma musculation de Dieu Grec en maraude sexy, mes tatouages loufoques et mes implants corporels que j’ai fait sur un coup de tête. Me voilà alors en boxer moulant et sur ma cuisse repose la forme de mon anaconda à un œil perso. Brucie Jr aime les entrées remarquées donc il est tranquille pour le moment. D’un pas glissant je me propulse pour me retrouver tout près de ma bandante amie et je lui fais un clin d’œil complice et amusant.
Bruce- Tu es prête pour que l’Orient et l’Occident se rencontre dans la piscine? Je t’emmène dans mes bras ou bien tu marches comme une grande?
Je fais selon son désir, un bras galant pour la marche ou bien la transporté comme une mariée en gambadant joyeusement pour la faire rigoler. Je désigne la chambre des maîtres comme sa chambre et la suivante la mienne. Oui je vais dormir dans un lit auto de course. A moins qu’elle désire que je l’enlace toute la nuit. Mais ça c’est elle qui décide car j’adore un peu de domination et elle semble bien aimer ce rôle avec ma gueule de porte-bonheur. Nous arrivons à la piscine et je la laisse s’installer sur la chaise longue alors que je découvre un système de son qui produit une douce ambiance nulle à chier. Je lui emmène la manette pour sélectionner les choix musicaux et pour ma gueule je vois des poids et haltères. J’adore pousser de la fonte et plus tard je coule un merveilleux bronze d’avoir trop forcé. Je prends un poids lourd et je souris tout heureux de faire un peu d’exercice.
Bruce- Désolé j’adore ça… On va piquer une tête histoire de rendre l’eau bouillante? Tu aime l'endroit? C'est a toi ma perle d'orient...
La demoiselle avait bien assez fait le tour de la demeure pour trouver ce qu'elle voulait et savoir ou se trouvait les pièces intéressantes. D'ailleurs, elle était parvenue à trouver un maillot de bain à sa taille dans le dressing, ce qui n'était pas mauvais du tout il faut le dire. Une fois ce vêtement sur elle, elle avait rejoint Bruce dans le cuisine qui visiblement d’ambiance seule sur de la musique. Avant qu'il ne la voit, elle a pu le voir s'éclater à bouger son corps dans une danse des plus étranges mais qui ressemble finalement plutôt bien au garçon. Quand il se retourne et la voit, il semble surprit, mais pas par sa venue... Plus par la manière dont elle est habillée. Comme toujours, il a l'air plus que ravis de la voir et s'enflamme, c'est comme ça qu'elle l'imagine quand il est tout excité, telle une torche humaine, mais sans le feu au final. Il la dépose sur le comptoir et commence son strip tease. Setsuka commence à se dire qu'il aime un peu trop se mettre nue et qu'il profite de la moindre occasion pour le faire. C'est qu'il n'a peur de rien. Toujours amusé, elle l'observer faire sa pseudo danse tout en retirant les vêtements qu'il a sur lui, hormis son boxer pour cette fois. Elle qui pensait qu'il allait sortir le grand jeu ? Mais c'est peut-être pour ressembler à un baigneur qui va bientôt piquer une tête dans la piscine.
Bruce proposa de l'emmener à la piscine. Elle avait le choix, soit d'y aller à pied ou en étant porté. Sincèrement, Tsuka n'a rien princesse et n'a pas envie d'être considéré comme telle. Elle préfère largement se débrouiller par elle même et se servir de ce qui lui sert de jambes pour marcher jusqu'à l'extérieur. Ainsi, elle sauta du comptoir, attérissant avec légèreté tel un félin et accepta le bras de l'homme. Adieu la cuisine, du moins pour le moment et bonjour le jardin et la terrasse qui donne sur une piscine bien trop grande pour une maison qui ne devait contenir qu'un couple au vu des quelques photos qu'elle a pu voir affiché ça et là sur les murs. La demoiselle s'installa un instant sur un transat encore en place au bord de l'eau, histoire de tester le confort de ce genre de chose. Dans les films, les femmes aiment passer du temps là dessus. Le confort n'est pas si fou que ça et devoir rester étendue au soleil pendant des heures... mon dieu c'est d'un ennuie. Les femmes modernes n'ont vraiment rien qui plait à la demoiselle. Tel un enfant, son comparse à l'air heureux devant les quelques appareils de musculation qu'il découvre. On aurait pu mettre un sapin de Noël à coté et il aurait eu l'air d'un gamin qui ouvre le plus beau cadeau de sa vie. C'est vrai qu'il est musclé et pas mal foutu, le genre qui entretient son corps, malgré sa folie qui n'est pas passagère. La folle souris et s'approche de lui. Sa main glisse jusqu'à son paréo pour en défaire le petit noeud. Le léger tissu glisse sur sa peau, elle retient se dernier d'une main et le tend à Bruce sans rien dire. Puis, elle lui tourne le dos pour faire face à la piscine. Elle s'en approche et exécute un magnifique plongeon qui ne laisse presque aucune vague ou éclaboussure derrière elle. Sans même remonter à la surface, elle parcoure presque la totalité de la longueur du bassin avant de ressortir. "Lâche la fonte et montre moi comment tu entres dans l'eau tel une diva !" s'amuse telle à dire en l'observant. Sur ce coup, elle s'attend à peu près à tout. Il pourrait faire une bombe, un plongeon, un plat ou simplement passer l’échelle ou l'escalier pour la rejoindre dans l'eau.
J’ai un moment d’arrêt quand elle m’annonce qu’elle à hâte de buter un survivant avec la lame que je lui ai dégotté. Je lui dis alors avec un sourire charmeur et surtout séducteur à deux balles qui fait tant rigoler avant de gémir de désir.
